Take shelter (7,5/10) : Un scénario peut être un peu frustrant mais l'interprétation est purement fascinante. Polisse (5,5/10) : Trop de stéréotypes, trop narcissique, trop hystérique, j'ai vraiment du mal avec le cinéma de Maïwenn.

La guerre des boutons (3/10) : copie faiblarde rythmé par des mouvements de caméra fatigants malgré une direction d'enfants convaincante.

R.I.F : (5,5/10) : polar mollasson malgré un Ivan Attal hargneux qui aurait mérité un scénario un peu plus consistant.

Les Boloss (5,5/10) : Totalement régressif, parfois drôle, rarement surprenant.

Impardonnables (4/10) : Malgré son duo d'acteurs attachant, le film se perd dans un dédale d'intrigues secondaires ou l'ennui s'installe inexorablement.

Il était une fois en Anatolie (5/10) : Des îlots d'extase dans un océan d'ennui.

J. Edgar (5,5/10) : Biopic inégal, rarement passionnant, mis à part peut être l'épisode de l'affaire Lindbergh ou l'on retrouve un peu la force narrative de l'échange. Les aller-retour temporels sont bien trop nombreux et n'aident pas la à fluidité du scénario qui finalement nous apprend peu sur le personnage politique, préférant s'appesantir sur une histoire édulcorée de relation homo entre deux personnages momifiés par leurs masques de latex.

Les bien-aimés (5/10) : une scénario qui malgré ses plus de 2H00 ne nous dit pas grand chose, des chansons parfois chantées faussement, une photographie plutôt terne, j'en suis sorti assez déçu de cet Honoré malgré quelques scènes touchantes entre mère et fille Deneuve.

Switch (4/10) : Une certaine efficacité dans l'action mais un scénario abracadabrantesque qui transforme une quidam en super Jack Bauer finissant par anéantir toute crédibilité à l'histoire.

Présumé coupable (7/10) : Un scandale judiciaire traité avec justesse grâce à une énorme prestation de P. Torreton.

La nouvelle guerre des boutons (4,5/10) : Si le casting est à la hauteur, le film est plombé par le détournement de l'oeuvre originale au profit d'une vision stéréotypée de la France sous l'occupation.

Le cheval de Turin (5/10) : L'ennui jusqu'à l'épreuve physique. C'est souvent plastiquement splendide mais cette austérité du récit proche de l'ascétisme a-t-elle un sens ? Je reste dubitatif.

Trust (6,5/10) : Sujet casse-gueule mais traité avec sobriété, peut être même parfois trop didactique. L’interprétation est à la hauteur du sujet et sauve une mise en scène un peu terne. Pas un grand film, mais un film malgré tout utile.

Et maintenant on va où ? (4,5/10) : Malgré des personnages attachants, une fable souvent caricaturale qui cherche, comme son titre, une direction entre drame et comédie.

Anonymous (5/10) : Une thèse fumeuse sur l'origine de l’œuvre shakespearienne par le roi du blockbuster : ça ressemble souvent à un gros épisode des Tudors, les acteurs sont bons, les décors numériques assez réussis mais l'histoire est tellement embrouillée, pleine de personnages secondaires et de flashbacks, qu'on finit par regretter les scénarios cataclysmes, marque de fabrique du réalisateur.

Turn me on (6,5/10) : Le script est assez pauvre mais il se dégage une certaine fraicheur de ce petit film norvégien sur les fantasmes adolescents qui n'est pas sans rappeler le cinéma de Sofia Coppola. L'actrice principale est adorable.

Restless (6/10) : L'histoire est jolie mais l'émotion reste superficielle à vouloir rester trop pudique.

Un heureux événement (5,5/10) : Louise Bourgoin s'y révèle une vraie actrice mais le film abuse un peu trop des clichés pour espérer une véritable adhésion.

L'étrange affaire Angelica (5/10) : Original du point de vue des idées et de la mise en scène mais bien trop statique, voir grabataire, avec ses plans fixes interminables et son jeu d'acteurs assez peu convainquant.

Tu seras mon fils (6/10) : Un énorme Niels Arestrup dans un scénario qui manque de rebondissement.

Un été brulant (2,5/10) : Poseur, maniéré et insipide, un film agaçant.

Sherlock Holmes : A Game of Shadows : 5/10 L'ordre et la morale (6,5/10) : Instructif, voir nécessaire, bien que parfois trop manichéen.

A dangerous method (4,5/10) : Sujet filmé sans réelle passion et une Keira Knigthley aux grimaces agaçantes.

50/50 (6/10) :

Blackthorn (6,5/10) :

Les acacias (7/10) : Beaucoup de tendresse dans ces regards captés avec humanité par le réalisateur mais le film par sa parcimonie d'action et de dialogues s'avère très exigeant pour le spectateur.

Millenium (6,5/0) : Certainement mieux filmée que la version suédoise, l'adaptation de Fincher ne s'impose pourtant pas forcément face à la précédente ou Noomi Rapace personnalisait bien mieux la Lisbeth Salander du roman.

Le pacte (3/10) : Grosses ficelles et cabotinage. Un nanar de plus pour Nico.

The descendants (7,5/10) : Émouvant, plein d'humour décalé et surtout un Clooney tout en finesse.

Tucker & Dale fightent le mal (5,5/10) : Une parodie de slashers forestiers parfois loufoque mais assez prévisible. La taupe (6,5/10) : Reconstitution remarquable et une belle brochette d'acteurs pour un scénario un peu trop alambiqué. El Chino (6,5/10) : Burlesque et émouvant malgré quelques baisses de rythme, le film tient surtout par la performance du génial Ricardo Darín La dame de fer (4,5/10) : La performance de Meryl Streep peine à cacher un scénario hagiographique centré sur la vieillesse de "Maggie" ou les quelques images d'archives qui parsèment le film se révèlent pratiquement les plus intéressantes. Underworld : Nouvelle ère (4/10) : Scénario bas du front mais une certaine efficacité dans les scènes d'actions. Café de flore (6/10) : Porté par sa bande de son haut de gamme, un film intriguant mais pas toujours lisible. Amador(6/10) : Entre mélo et drame social, le film offre un joli portrait de femme qui aurait mérité un montage un peu plus concis. Dos au mur (4,5/10) : thriller au manque flagrant de crédibilité. Voyage au centre de la Terre 2 (2,5/10) : Jurassik Park en toc. Cheval de guerre (7,5/10) : Quelques longueurs mais une aventure épique assez émouvante. Félins (7/10) : Sans doute un peu trop scénarisé mais la beauté des images est purement époustouflante. Albert Nobbs (6,5/10) : Si la réalisation est un peu engoncée dans un académisme de rigueur, les jeux nuancés de Glenn Close et de Janet McTeer rendent leurs personnages attachants. Bullhead (8/10) : Une première œuvre à la noirceur impressionnante et à la qualité visuelle indéniable, qui offre une véritable révélation dans la composition brutale de Matthias Schoenaerts. Chronicle (6/10) : Si le début façon Jackass est assez amusant et innovant, la conclusion peine à surprendre en usant des vieilles ficelles du film de super héros. Jack et Julie (1/10) : Tout simplement affligeant, Razzies mérités. Ghost Rider : L'Esprit de Vengeance (2,5/10) : Un nanar de plus pour Nico avec en plus Christophe Lambert comme cerise on the cake.

Young Adult (6/10) : Scénario un peu tiède sauvé par la prestation de Charlize Theron, à la fois horripilante et touchante dans un rôle de pétasse pathétique. Perfect sense (7,5/10) : Terrifiant et sensuel, parfaitement servi par le duo Eva Green/Ewan McGregor, un film qui ne ménage pas nos sentiments. Bonne surprise. Bellflower (4,5/10) : Malgré l'audace esthétique, on peine à s’intéresser à cette histoire de geek bavarde et brouillonne. Terraferma (5/10) : Un traitement trop simpliste pour un sujet trop vaste qui bénéficie cependant de somptueux paysages et d'un vrai sens de la lumière dans sa mise en scène. La dame en noir (4,5/10) : Un hommage poussiéreux aux films de la Hammer qui, malgré quelques sursautements et les efforts de Radcliffe pour faire oublier Harry Potter, n'arrive jamais à surprendre. Elena (6,5/10) : Un sens épurée de mise en scène pour une vision glaciale de la société russe contemporaine. Le Territoire des Loups (7/10) Malgré quelques longueurs un survival efficace porté par un magistral Liam Neeson . John Carter (5,5/10) : Derrière le vernis des décors et des effets spéciaux restent des personnages assez ternes et un scénario laissant une forte impression de déjà vu. La vérité si je mens ! 3 (2/10) : Du réchauffé sans saveur. Oslo, 31 août (7/10) : Une intrigue minimaliste mais une mise en scène inspirée et un acteur à fleur de peau. Sécurité rapprochée (5,5/10) : Quelques scènes d'action spectaculaires mais un scénario qui ne s’affranchit jamais du déjà vu. Extrêmement fort et incroyablement près (5/10) : Extrêmement bavard et incroyablement maniéré. Pourtant fan des précédents Daldry, celui-ci joue trop sur le chantage au pathos, avec un gamin tête à claque et une musique omniprésente. Seul Von Sidow apporte un peu de sobriété dans ce jeu de piste émotionnel. Martha Marcy May Marlene (8/10) : Subtilement dérangeant, un drame psychologique excellemment porté par sa comédienne principale. Les géants (5/10) : Un "stand by me" belge un peu vide. Toutes nos envies (8/10) : Poignant et très bien interprété. La brindille (6,5/10) : Christa Théret porte avec conviction un sujet rarement abordé au cinéma. On ne choisit pas sa famille (2/10) : du lourd ! De force (3/10) : un mauvais téléfilm policier, sans direction d'acteurs et à l'histoire invraisemblable malgré un beau casting. Le skylab (6/10) : Il y a un certain plaisir nostalgique à feuilleter cet album de photos jaunies qui n'est pas sans rappeler l’hôtel de la plage mais le scénario manque un peu de consistance ( les Dead Kennedy's en générique de fin, fallait oser... ). J'aime regarder les filles (5/10) : Une certaine fraicheur dans cette suite de saynètes mais les personnages sont un peu creux et le scénario décousu.

My Week With Marilyn (5,5/10) : Si Michelle Williams est convaincante de mimétisme, la chronique reste anecdotique et la mise en scène assez lisse. Hollywoo (2/10) : Humour paresseux pour une comédie américano-franchouillarde qui aurait pu se contenter d'un sketch de 10 minutes.

Les Lyonnais (6,5/10) : Polar couillu entre la rigueur d'un "Mesrine" et à la grandiloquence d'un "Grand Pardon".

Les neiges du Kilimandjaro (6/10) : Une fable humaniste interprétée avec justesse mais dont l'utopisme béat s'avère parfois agaçant.

L'art d'aimer (4,5/10) : Du badinage bien moins convainquant sur le fond que les précédentes réussites du réalisateur.

Oh my god ! (6/10) : Comédie théâtrale sans prétentions avec quelques passages croustillants et une Maggie Gyllenhaal enthousiasmante.

Or noir (5,5/10) : Une fresque assez lisse hormis quelques scènes de batailles et le charme de Freida Pinto.

Hunger games (5,5/10) : Film assez frustrant dans sa façon d'édulcorer le thème de base au fort potentiel. Reste, en compensation, le côté "wild" de Jennifer Lawrence qui livre une performance plutôt séduisante.

Eva (6/10) : Correctement filmé avec de jolis moments poétiques auxquels il manque un peu de tension dramatique

Nouveau Départ (4/10) : Une romance tiédasse qui malgré un casting alléchant et une B.O. sympathique s'avère quelque peu ennuyeuse. Et si l'on aime les animaux mieux vaut revoir un épisode de Daktari.

Hasta la vista (7/10) : Même si la réalisation n'est pas exceptionnelle, un road-movie émouvant avec des acteurs crédibles.

The Lady (5/10) Une vie meilleure (6,5/10) 17 filles (5,5/10) Des vents contraires (6,5/10)

Viva Riva (6,5/10) : Même si le scénario est un peu bordélique, ce thriller congolais séduit par son dépaysement, sa violence brute dans ses références aux classiques du genre, et l'érotisme envoutant qui se dégage de son actrice principale.

The darkest hour (4/10) : Scénario nanardesque et dialogues indigents mais une certaine efficacité dans les sfx et l'originalité du lieu de tournage sauvent un peu le film.

Tyrannosaur (7,5/10) : Sombre et violent mais surtout magnifiquement interprété.

Twixt (5,5/10) : Assez remarquable dans son esthétique gothique, le scénario foutraque empêche cependant toute immersion dans l'histoire.

Les adieux à la reine (7,5/10) : Excellemment servi par ses actrices, la modernité de sa mise en scène permet aussi de trouver un écho dans l'actualité contemporaine.

Margin call (6/10) : Plutôt bien filmé et interprété, le film reste un peu abscons pour le néophyte des milieux financiers. La Cabane dans les bois (6,5/10) : Astucieux mais pas toujours surprenant. Babycall (6,5/10) : Un suspense psychologique qui doit beaucoup à Noomi Rapace, l'actrice confirmant ici sa performance du Millenium suédois. Miss Bala (6/10) : Un constat implacable sur la corruption au Mexique dont le traitement clinique laisse peu de place à l'émotion. Une vie meilleure (7/10) : Un drame touchant sur l’endettement qui, malgré quelques longueurs, doit beaucoup à l'interprétation de Guillaume Canet. Parlez-moi de vous (5,5/10) : Malgré les efforts de Karin Viard et d'un excellent Nicolas Duvauchelle, le film peine à trouver sa place entre comédie stéréotypée et drame social sur la solitude. 10 jours en or (5,5/10) : Road-movie gentillet ou seule la prestation à contre-courant de Dubosc constitue une surprise. Contrebande (5/10) : si le casting tient la route, le scénario prévisible et ponctuellement grotesque ( la toile de Pollock ) en fait une banale série B. Je te promets (5,5/10) : Comédie romantique "gros sabots" qui s'avère parfois assez poignante. De rouille et d'os (8,5/10) : Un mélo intense, solaire et brutal, et surtout deux énormes comédiens. Une nuit (5,5/10) : C'est filmé comme du Michael Mann, mais le "DSK tour" des coins chauds parisiens manque quelque peu de rebondissements pour accrocher sur la longueur. Dark Shadows (7/10) : Fidèle à l'univers gothique burtonien, le film vaut surtout pour son casting féminin assez savoureux. W.E. (4/10) : un biopic embrouillé par une histoire contemporaine secondaire, filmé comme un gros clip sophistiqué et superficiel. The Avengers (6,5/10) : Divertissement honnête par son casting et ses scènes d'action malgré un scénario pas vraiment transcendant. Le Jour où je l'ai rencontrée (4/10) : Romance bobo plutôt pâlichonne. B.O. assez recherchée. The day he arrives (6/10) : Ca clope, ça picole, on y parle du temps qui fait, des lâchetés amoureuses, des coïncidences de la vie. Bref, Hong Sang-soo, nous invite à prendre et reprendre un coup avec ses potes et on s'ennuie parfois du côté répétitif des scènes de bar. Reste un superbe noir et blanc, des jolies scènes d'intimité et le charme indéniable des actrices. Moonrise Kingdom (7/10) : Un film récréatif à la mise en scène inventive qui s'avère ponctuellement émouvant. L’amour dure trois ans (4,5/10) : Et l’intérêt du film dure 30 minutes, le film prenant le ton de son auteur : branché, désinvolte et rapidement agaçant. Recherche bad boys désespérément (2/10) : Recherche scénario désespérément. Disparue (3/10) : Un thriller psychologique qui n'a vraiment rien pour lui, mise à part la présence de Amanda Seyfried et Jennifer Carpenter, mal maquillées. On baille devant un scénario qui enchaine les invressemblances et les dialogues creux. Un DTV aurait suffit. Intruders (2,5/10) : Quelques rares pointes de tensions dans un scénario des plus nanardesque.

The deep blue sea (5,5/10) : Si le scénario semble former une métaphore du chef d’œuvre de Sirk ("Le Temps d'aimer et le Temps de mourir"), on est assez loin du lyrisme du maitre du mélodrame. La photographie est souvent magnifique, rappelant par endroit la solitude des tableaux de Edward Hopper ; Rachel Weisz est, comme à son habitude, convaincante ; mais l'ensemble est étouffé par une mise en scène qui inhibe toute émotion. The raid (7/10) : On peut lui reprocher le côté répétitif d'un jeu de plateforme ultra-violent, enchainant les niveaux sans véritable scénario, mais outre la chorégraphie des combats, le film s'avère souvent accrocheur dans ses respirations, au moment ou il faut choisir entre ouvrir la porte gauche ou ouvrir celle de droite. La colère des titans (2,5/10) : un navet soulant et bâclé. Blanche-Neige et le chasseur (5/10) : A la fois trop proche du conte original et usant de trop d'emprunts à d'autres classiques de l'heroic-fantasy (LOTR), le film peine à trouver une originalité, pas vraiment aidé par la pâle prestation de Kristen Stewart et les bouffées hystériques de Charlize Théron. Prometheus (2D) (6,5/10) : Malgré son scénario bancal et son interprétation inégale, un divertissement qui tient la route grâce au savoir-faire du réalisateur en matière d’esthétique visuelle. Une bouteille à la mer (6/10) : Un conte un peu naïf sur le conflit israélo-palestinien. Ça ne fera pas avancer le schmilblick mais c’est assez bien interprété pour qu'on s'y attarde. Sport de filles (4/10) : Malgré quelques beaux plans de chevaux en mouvement, un film peu aimable à l'image de son héroïne, qui finit par laisser le non initié au bord du manège. Ma première fois (2,5/10) : La boom à Janson-de-Sailly. Plus gnangnan que les 4 twilight réunis. Peace, Love et plus si affinités (4/10) : Vague remake des babas cool avec Clavier, une comédie qui enchaine les clichés et semble se satisfaire de l'accumulation de dialogues bien gras. Une nouvelle production Apatow bien faiblarde. 21 Jump Street (3,5/10) : Acteurs énervants et gags lourds. Pas du tout accroché. Dans la tourmente (3,5/10) : Les acteurs en font des tonnes pour rendre crédible un scénario improbable qui délaisse peu à peu l'aspect social qu'il revendique. Et si on vivait tous ensemble ?(5/10) : Si le scénario a le mérite d'aborder la vieillesse et la dépendance grâce a l’abatage d'une troupe de comédiens au diapason, la mise en scène reste laborieuse et aussi rythmée que la vie dans une maison de retraite. Les papas du dimanche(4,5/10) : Réunissant le couple vedette de la série Mafiosa, un téléfilm paresseux enchainant les banalités sur le divorce qui offre cependant quelques sourires et quelques touches d'émotion grâce aux acteurs. Elles (4/10) : Le quotidien d'une bobo journaliste ( boulot, ado, frigo ) confronté au quotidien d'une étudiante prostituée ( pipo, sodo, uro ) : bref, on évite aucun poncif, ni aucune provocation gratuite, dans ce premier long métrage au féminisme maladroit. Anaïs Demoustier reste cependant convaincante. Almanya (7,5/10) : Comédie pleine de finesse sur l'intégration et la quette d'identité même si certaines situations pêchent par excès d’angélisme. Men in Black 3 (6/10) : Le retour dans le temps est plutôt sympathique ( j'ai bien aimé l'épisode à la Factory ) mais l'humour reste assez poussif et les surprises visuelles limitées. Projet X (4/10) : Une ode à l’irresponsabilité, mélange improbable de jakass et girls gone wild. Limité.

The Dictator (2/10) : Lourd et sournois. Target(2/10) : Raté sur toute la ligne. Indian Palace (6/10) : Un voyage (un peu trop) organisé au casting attachant. La vie d'une autre (5,5/10) : Assez maladroit et horripilant dans son entame, le film se révèle un peu plus émouvant sur la fin malgré des acteurs en roue libre. Les infidèles (4,5/10) : Des sketches inégaux aux personnages plus pathétiques qu'humoristiques. Inside (5,5/10) : Le twist central qui révèle l'autre côté du miroir dynamise un peu une histoire au départ pas très inspirée qui semble se contenter de dévoiler les plastiques parfaites de ses actrices. JC comme Jésus Christ (2/10) : Jésus crie, la caravane passe. Une private joke de lycéen narcissique et rasante qui aurait pu se contenter d'un sketch de 2 minutes au petit journal. La mer à boire (4/10) : Drame social d'actualité qui loupe son coup en multipliant des sous intrigues inutiles, forçant parfois sur le cliché des rapports patrons-ouvriers, et semble se suicider dans un épilogue qui ressemble fort à un pétage de plombs. Bel ami (3,5/10) : Pattinson trimballe sa tête de vampire anémié et Thurman fait sa vamp façon Schweppes dans une adaptation insipide de Maupassant ou seule Christina Ricci apporte un peu de fraicheur. La colline aux coquelicots (7/10) : Une chronique nostalgique et touchante qui manque peut être un peu de personnalité. Au Pays du Sang et du Miel (6/10) : Un première réalisation sans concession de A. Jolie qui prend le parti de la dénonciation de la violence faite au femme en tant de guerre quitte à abuser de scènes provocantes et d'un certain manichéisme historique. Les scènes d'actions sont efficaces mais l'histoire sentimentale manque d’ambigüité. The Devil Inside (4/10) : Difficile de faire mieux que le chef d’œuvre de Friedkin même si la tentative de found footage pouvait apporter des options intéressantes. Pas forcément honteux mais arrive sans doute trop tard pour se rendre remarquable. Piégée (5,5/10) : Du savoir-faire, un casting, une b.o lounge, mais ... une histoire sans intérêt particulier dont le seul objectif est d'enchainer des scènes de baston avec une fille. Kill List (7/10) : Un épilogue un peu frustrant, mais des pics de violences physiques et verbales qui remuent les tripes. Il était une fois, une fois (2,5/10) : Mauvaise blague belge. The Amazing Spider-Man (5/10) : Ca se regarde, mais rien de mémorable à part peut être les bottes de Emma Stone Nos plus belles vacances (1/10) : Même si la reconstitution des années 70 apporte son lot de nostalgie, ses personnages suffisants et son scénario qui se se complait dans un ramassis consternant de clichés grotesques sur la Bretagne, finissent par le rendre détestable. Sur le même thème le "Skylab" de J. Delpy était cent fois plus réussi. A l'aveugle (4,5/10) : l'affrontement Gamblin / Wilson est relativement convainquant mais le scénario alambiqué désamorce tout suspens. 38 témoins (6,5/10) : Assez brillant dans son analyse de psychologie collective, le film pêche cependant par une sur-écriture de certains dialogues. Chroniques de Tchernobyl (4,5/10) : Une première partie qui fonctionne en grande partie grâce à ses décors extérieurs puis on se retrouve dans le tout venant du survival avec des scènes nocturnes peu lisibles, des courses poursuites dans des couloirs sombres façon Fort Boyard de l'horreur, et au final un épilogue torché. Moyen. After.Life (4/10) : Un thriller semi-fantastique qui a toutes les peines du monde à se rendre crédible. Reste à admirer la superbe plastique de Christina Ricci ... Effraction (2,5/10) : Le nanar Cagien de l'été. Pas grand chose à sauver dans ce sous Panic Room sauf peut être son final portnawak à grand coup de cloueuse qui apporte son lot d'hilarité involontaire, et la présence de Liana Liberato ( remarquable dans Trust ) la seule à offrir un prestation digne de ce nom. Mais qu'est venue faire Nicole Kidman dans cette galère ? A.C.A.B (All Cops are bastards) (7,5/10) : Une vision sans pincettes de la violence et de la haine raciste à travers un groupe de CRS italiens. Accompagné d'une excellente B.O. ( White Stripes, Joy Division, Pixies, ... ), un film déstabilisant à la mise en scène fluide. Jane Eyre (6/10) : Une adaptation un peu routinière du roman de Brontë qui bénéficie pourtant d'un casting convainquant. Mince alors ! (3/10) : Une histoire qui s'éparpille, des dialogues souvent plats, une cure de fitness qui manque de finesse. Les 3 corniauds (2/10) : Un hommage pathétique ou le burlesque se dissout dans des bavardages fatigants. La vie sans principe (6/10) : Se révélant vraiment dans son dernier tiers, un polar financier avec quelques bons moments de cynisme bancaire mais qui peine à se rendre passionnant. Des saumons dans le désert(4,5/10) : Si Ewan McGregor et Emily Blunt forment un couple assez émouvant, l'intrigue capillotractée ne permet pas d’élever le film au delà de la bluette naïve et convenue. L'oncle Charles (1,5/10) : Cette tentative de renouveler le thème de la vie est un long fleuve tranquille est un vrai naufrage : mise en scène paresseuse, dialogues datés et surtout une interprétation souvent à côté de la plaque. Les Pirates ! Bons à rien, Mauvais en tout (7,5/10) : Inventif, burlesque et d'une grande fluidité, les studios Aardman n'ont pas perdus la main. Le lorax (5,5/10) : Coloré et tonique, le film pèche cependant par ses intermèdes musicaux pas toujours du meilleur gout et d'un message écolo un peu trop appuyé.

L'ombre du mal (5/10) : Malgré une ambiance gothique assez bien reconstituée, le manque de consistance des personnages ne rend pas le film suffisamment passionnant pour rester dans les mémoires. Annalisa (4,5/10) : Si la photographie rend hommage à l'Italie du Sud et la b.o. s'avère attachante, le scénario passe un peu à côté de son personnage central, délivrant un portrait plutôt convenu d'adolescents en pleine crise de libido. My soul to take (4/10) : Le début fait craindre le pire, le tout reste médiocre malgré quelques fulgurances en forme de réminiscences du premier épisode de Scream. Friends With Kids (4/10) : Script paresseux et fin totalement prévisible. Starbuck (7,5/10) : Un scénario malin, des dialogues qui font mouche et beaucoup d'humanité. Battleship (2/10) : Une grosse pub ridicule pour jouet Hasbro. Terri (5/10) :Quelques scènes touchées par la grâce et beaucoup de longueurs à l'image de la mollesse de son personnage principal. Torpedo (3,5/10) : Un road-movie extrêmement laborieux, ou François Damien fait ce qu'il peut pour sauver un scénario à grosses ficelles. Le fils de l'autre (6/10) : Plaidoyer humaniste qui évite parfois d'aller au fond des choses pour bousculer les certitudes. Bonne interprétation. Sur la piste du Marsupilami (4/10) : Une bonne modélisation du personnage mais un scénario décevant et un humour assez inégal : entre sourire et ennui. 5 ans de Réflexion (6/10) : Une comédie romantique un peu longue mais plutôt réussie grâce à une convaincante Emily Blunt et un humour qui évite les grosses lourdeurs. Blanche Neige (3/10) : Le conte de Grimm revisité par Tarsem Singh : cabotinage en règle et surdose de kitch. Detachment(6,5/10) : Un peu surchargé dans ses effets de style, un constat pessimiste du système éducatif actuel. Paris-Manhattan (5,5/10) : Une comédie romantique qui manque de personnalité malgré la fraicheur apportée par Alice Taglioni et le caméo Woody Allen. L'enfant d'en haut (6,5/10) : Entre Ken Loach et les frères Dardenne, une oeuvre qui tarde un peu à rentrer dans son sujet mais qui séduit par son lieu de tournage et son interprétation. Aux yeux de tous (5/10) : Un film qui a les limites de son concept. Si la musique électro et le montage soutenu maintiennent un certain rythme, l'accumulation d'invraisemblance et la répétition de certaines séquences finissent par lasser. Expendables 2 (4/10) : Le retour des gros bras ressemble beaucoup à un pétard mouillé. Une suite de caméo pour sortir une vanne vaseuse et vider un chargeur constitue l'essentiel du scénario, c'est vraiment léger,léger. 30°couleur (2,5/10) : Long, criard, et truffé de clichés. Une mauvaise pub pour les Antilles. Total Recall (4,5/10) : Même si le scénario n'a rien à voir, on à l'impression d'être dans un énième épisode de Underworld : une histoire lisse pretexte à enchainer scènes d'action et SFX spectaculaires mais sans âme. La Terre outragée (6,5/10) : Une première partie très convainquante dans son pouvoir de suggestion qui s'étiole un peu dans son épilogue ; le scénario préférant s'attacher au choix personnel de son personnage plutôt que sur les conséquences globales de la catastrophe.

Possessions (6/10) : Un polar chabrolien qui colle peut être trop au fait divers de l'affaire Flactif mais le couple Rénier/Depardieu est convainquant dans sa représentation de l'avidité et de la jalousie. Jason Bourne : l'héritage ( 5/10 ) : Malgré une excellente Rachel Weisz, le film s'avère rarement prenant, n'arrivant pas à retrouver le souffle de la trilogie originale. Savages (5/10) : Un film globalement trop long, au scénario qui manque d'ambition, tout juste sauvé par ses seconds rôles dont un excellent Del Toro. Resident Evil : Retribution (3,5/10) : Enchainement de scènes d'actions plus ou moins chorégraphiées sans l'ombre d'un scénario : on s'ennuie. Exam (5,5/10) : Un huis clos ludique (à la Cube) qui maintient son intrigue jusqu'au bout mais qui déçoit un peu dans sa conclusion. Damsels in distress (4,5/10) : Comédie décalée qu'on pourrait rapprocher de celles d'Emmanuel Mouret, mais ou la naïveté est remplacée par une sorte de préciosité et de niaiserie assez horripilante, le tout accompagné par de la musique d'interlude. Quelques dialogues font mouche mais c'est globalement trop bavard. Bref, j'ai pas accroché. Arrête de pleurer Pénélope (2/10) : Personnages stéréotypés et situations convenus, adaptation ratée. Bye, bye, Blondie (4/10) : Si l'évocation des années punk et la bande son d'époque donne une certaine énergie au film, les séquences mamours entre les 2 plus grosses paires de lèvres du cinéma français finissent par exaspérer. La désintégration (6/10) : Sociologiquement bien vu, interprété avec justesse, on pourra cependant lui reprocher une tendance à trop de didactisme dans ses dialogues. L'hiver dernier (4/10) : Austère et contemplatif, le film génère peu d'émotions sur la fin du monde paysan. Mieux vaut voir un Depardon. Cosmopolis (3,5/10) : Entre dialogues abscons et superficiels, on reste dubitatif sur la finalité du film, même si Pattinson livre une composition assez intéressante. La cerise sur le gâteau (2,5/10) : Un quiproquo de départ étiré jusqu'à la rupture pour aboutir à un film bavard et ennuyeux. Le Paradis des bêtes (6/10) : Des personnages forts et une tension soutenue même si le trait est parfois un peu forcé. Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare (5,5/10) : Plutôt attachant malgré un scénario un peu bordélique. Abraham Lincoln : Chasseur de Vampires (2,5/10) : Et pourquoi pas Alien vs JFK ?. Le concept est foireux et le film aussi. On s'ennuie vite dans cette enchainement de scènes d'action filmées au ralenti ou le héros dégomme du vampire en manipulant sa hache comme un bâton de majorette. Le grand soir (4,5/10) : Quelques sourires, mais cette dénonciation du système capitaliste par un punk à chien est finalement assez convenue et laborieuse dans son épilogue. Sur la route (4/10) : Images léchées et acteurs bien propres désamorcent toute émotion : on finit par s'endormir au volant. Taken 2 (3,5/10) : Quelques plans interessants sur la ville d'Istambul, sinon c'est plutôt le vide sidéral au niveau originalité du scénario. Ted (5/10) : Comédie adulescente pour public adulescent. Si on s'amuse des références aux 80's, on finit par se lasser de l'humour régressif et lourdingue de l'ourson mal léché. Bachelorette (4/10) : Vendu comme un Very Bad Trip féminin, le film enchaine des situations plutôt convenues jouant la carte du dialogue trash au cynisme souvent affligeant. In another country (4,5/10) : J'avais déjà été un peu déçu par le côté répétitif de Matins calme à Séoul mais le charme des actrices fonctionnait pour faire émerger une certaine émotion. Ici, la pauvreté des dialogues en anglais, le brouillon de scénario, et la relative froideur du jeu de Huppert ont inhibé toute étincelle d’intérêt pour ces trois histoires assez anecdotiques. Magic Mike (6/10) : La mise en scène est plaisante, le traitement du sujet superficiel. Les vacances de Ducobu (4,5/10) : La chasse au trésor développe positivement un côté aventure au film mais l'humour premier degré le réserve à un très jeune public. Barbara (7/10) : L'interprétation remarquable de Nina Hoss et le soin particulier mis dans la reconstitution de la RDA d'avant la chute du mur sont les principales qualités d'un film malgré tout assez exigeant par son minimalisme. Un bonheur n'arrive jamais seul (3/10) : On arrive pas vraiment à croire à ce couple improbable dont le fil rouge de l'histoire est l'enchainement de "gamelles" assez grotesques, Elmaleh confondant souvent interprétation et one-man-show, Marceau semblant se contenter d'un rôle de MILF flamboyante. L'oiseau (5/10) : Sandrine Kiberlain excelle dans ce rôle de mère enfermée dans son deuil mais le mutisme continuel de son personnage rend le film rarement émouvant et un peu ennuyeux. Skyfall (7,5/10) : Si le scénario peut se révéler d'une relative déception et les James Bond Girl un peu rare en présence (M prenant tous les draps), on se délecte de la mise en scène ( épisode dans un immeuble à Shanghai, paysages écossais revisitant le western ... ) et d'un Javier Bardem aussi magistral que chez les frères Coen. Bienvenue parmi nous (4/10) : Un téléfilm convenu malgré un Patrick Chesnais plutôt bon en bougon de service. Quand je serais petit (6/10) : Malgré un manque de rythme et une fin trop appuyée, le film reste attachant par la nostalgie qu'il dégage et le choix de certains second rôle. La clinique de l'amour (3,5/10) : Un long sketch étiré ne fait pas un film. Une parodie assez fade avec quelques trouvailles loufoques (les ours). Elle s'appelle Ruby (5,5/10) : Une idée originale au départ auquel il manque un peu d’impertinence, le scénario s'écartant rarement du chemin de la "rom com" conventionnelle. Le couple (à la ville comme à l'écran) Dano/Kazan fonctionne presque trop bien, la pétillante petite fille d'Elia Kazan offrant cependant la dose de naïveté qui était l'un des atouts de Little Miss Sunshine. Into the Abyss (8/10) : Au delà de la capacité d'Herzog à générer des moments bouleversants par la simplicité de ses questionnements, ce sont les parcours de certains protagonistes, que même la fiction n'ose imaginer, qui étonnent. Dans la maison (7,5/10) : Ozon réussit une comédie-thriller à l'écriture ludique et savoureuse qui n'est pas sans rappeler le meilleur de Chabrol. Looper (6,5/10) : Avec des moyens plutôt limités, un film de SF qui intrigue sans pour autant étonner.

Go go tales (4/10) : Les filles sont belles, la musique est sympa, mais, à part l'hommage à Cassavetes, le film semble, comme William Dafoe, en manque d'idée pour intéresser le spectateur. Amour (7/10) : Bouleversant à plus d'un titre, même si parfois un peu long mais quand même un peu déçu par sa fin elliptique. The campaign (4/10) : Moins drôle que le feuilleton UMP. Royal Affair (7/10) : Si la mise en scène s'avère un peu académique, la photographie est soignée, l'histoire instructive et les acteurs convaincants. The dark knight rises (7/10) : Spectaculaire bien qu'un peu long, une trilogie qui se termine avec brio. Twilight - Chapitre 5 (3,5/10) : Ouf, c'est fini. Toujours aussi mou et gnangnan à part son final un peu gag. Killer Joe (6,5/10) : Je ne regarderais plus un pilon de poulet de la même façon ... 360 (4,5/10) : film chorale trop inégale malgré un bon casting. Adieu Berthe ou l'enterrement de mémé (5/10) : Quelques passages loufoques pour un ensemble un peu mollasson. Bowling (4/10) : Tentative de comédie sociale à la Ken Loach qui sonne faux malgré son casting solide et son sujet inspiré d'un fait réel. Les Kaïra (5/10) : Une comédie trash au trait à peine forcé qui fonctionne essentiellement à coup de surenchère de vulgarité. Des hommes sans loi (7,5/10) : Casting impeccable et très belle mise en scène même si le scénario reste assez classique. Paranorman (7/10) : Une réussite visuelle incontestable malgré quelques baisses de rythme. Rebelle (6,5/10) : Les petits défauts des productions Disney sont compensés par une technique toujours aussi accrocheuse. L'âge de glace 4 (6/10) : Des nouveaux personnages (mémé) font mouche mais l'ensemble tourne un peu en rond God bless America (5,5/10) : Un doigt d'honneur à la télé réalité qui se révèle à la fois jubilatoire et aussi un peu réac. Chercher le garçon (7/10) : Une comédie sur la génération meetic aux accent rhomerien qui doit beaucoup au naturel de son actrice et à des personnages ancrés dans le réel. Ici-bas (6,5/10) : Céline Sallette est l'atout majeur de ce drame historique qui ne brille pas par sa mise en scène mais se rattrape par son interprétation habitée. Chroniques sexuelles d'une famille d'aujourd'hui (2,5/10) : Sitcom érotique dont la seule prouesse est de montrer du sexe sans en monter (des sexes). Paradis perdu (4,5/10) : Bonne interprétation mais trop de non-dit finissent par étouffer toute émotion. Tous les espoirs sont permis (4/10) : Une thérapie pour vieux couples qui joue sur les situations embarrassantes et le cabotinage de son couple vedette. Sinister (6,5/10) : Nième variation sur le thème du found footage qui maitrise particulièrement bien ses effets grâce une excellente bande son. Dommage que le script soit un peu plus paresseux en particulier dans son épilogue prévisible. Voisins du troisième type (3/10) : Une idée de départ qui aurait pu fonctionner, mais le scénario est creux, les dialogues navrants et l'humour essentiellement graveleux. La part des anges(7,5/10) : Une des meilleures cuvées de la comédie sociale britannique. Mains armées (5,5/10) : Le scénario est assez immersif mais les personnages manquent d'ampleur et la fin est des plus frustrantes. Holy Motors (3,5/10) : De rares moments formellement réussis ( La Samaritaine ) côtoient des tranches fortement ennuyeuses ( discours abscons sur la mort, le cinéma, ... ) voir franchement ridicules ( pauvre Eva Mendes). Un objet visuel qui aurait bien sa place dans la galerie d'art de Kristin Scott Thomas dans "Dans la maison" de Ozon ( ceux qui l'on vu comprendront l'allusion ). Cassos (3/10) : Une tentative de faire du Lautner à la sauce Kaamelott qui ne fonctionne pas faute de moyen et de dialogues assez paresseux. N'est pas Audiard qui veux. Argo (6,5/10) : Indubitablement un certain savoir faire dans le travail de reconstitution, une bonne maitrise du suspens dans son épilogue, mais aussi un certain manque de rythme par une sous-exploitation du contexte historique de l'événement et un attachement à des détails assez superficiels. Finalement il y a un peu trop d'air dans Argo. Couleur de peau : miel (4,5/10) : Si la forme, mélange d'animation et de film d'archive, est plutôt originale ; le sujet, à la fois trop superficiel et trop personnel, s'avère rarement touchant. N'aie pas peur (6,5/10) : Une approche frontale du drame de l'inceste avec une actrice convaincante, le film aurait pu cependant se dispenser des témoignages réels qui parsèment le scénario. Headshot (6/10) :Un polar thaïlandais assez simpliste sur le fond mais dont la forme alambiquée en fait une vraie curiosité. Les enfants de Belle Ville (6,5/10) : Moins abouti et moins subtil que "une séparation", le film reste intéressant pour sa transcription du poids des traditions dans la société islamique iranienne. Lola Versus (5/10) : Chronique sentimentale sans grande originalité qui permet à Greta Gerwig de retrouver un personnage ingénue assez proche de Damsels in Distress. Silent Hill 2 (3/10) : Un "train fantôme" inconsistant. Marley (6/10) : Bio instructive bien qu'un peu longue du pape du reggae. Je me suis fait tout petit (4/10) : Malgré des acteurs performants (Denis Ménochet), une comédie sentimentale qui manque d'ambition. A perdre la raison (6,5/10) : Drame oppressant qui doit beaucoup à l’implication d'Emilie Dequenne. Les hauts de Hurlevent (5,5/10) : Adaptation brutale et pas très "aimable" du roman de Brontë. Si la photographie est superbe ( rappelant parfois le récent Cheval de Turin dans son dépouillement ), la distance maintenue vis à vis des personnages ne laisse aucune place à une quelconque empathie. Une nouvelle chance (6/10) : Un film ou Amy Adams vole la vedette au vieux Clint. Sans prétention mais sympa. Les Bêtes du sud sauvage (6/10) : Une gamine avec de l'énergie à revendre dans un bric-à-brac qui atteint assez vite ses limites. 4h44, dernier jour sur terre (5,5/10) : Si les acteurs sont plutôt bons, le manque d'enjeu du scénario qui consiste à attendre passivement la fin du monde est plus générateur d'ennui que d'émotion. Frankenweenie(6/10) : Fidèle à l'univers de Burton, le film constitue un agréable divertissement mais manque un peu de surprises. Cornouaille (4/10) : L’interprétation de V. Paradis est à l'image du scénario, hésitant et insipide. Dommage pour les paysages bretons, seuls véritables atouts du film. Possédée (4,5/10) : L'exorciste version hébraïque : pas spécialement mauvais mais terriblement prévisible. L'Odyssée de Pi (5,5/10) : conte initiatique longuet bien que joliment kitch avec une conclusion métaphorique à la limite du pétard mouillé. Le hobbit (5/10) : Peut être à réévaluer sur l'ensemble de la trilogie, mais ce premier volet déçoit par son manque d’innovation et de fluidité narrative. Une heure de moins aurait suffit. Tabou (7,5/10) : Une première partie un peu austère auquel succède une émouvant mélodrame pour un des films les plus audacieux de l'année. Du vent dans mes mollets (6/10) : Un scénario un peu mou du genou mais des acteurs qui ont de la cuisse. Alex Cross ( 2,5/10) : Un beau nanar en mousse ou seul Matthew Fox détonne un peu en tueur halluciné. Le guetteur (3,5/10) : Un polar à la Marchal avec un solide casting mais dont le scénario s'éparpille façon puzzle en perdant quelques morceaux au passage. End of watch (6,5/10) : Un thriller viscéral et percutant qui en fait parfois un peu trop dans sa volonté de coller au réel. Margaret (7/10) Jack Reacher (7/10) : Thriller efficace au rythme équilibré entre intrigue et scène d'action. Hit and Run (2/10) : Scénario crétin et acteurs transparents : un bon candidat aux razzies. ( les points vont au Voodoo child de Hendrix dans la B.O. ). La 7ème victime (6/10) même les assassins tremblent (7/10) Hanezu, l'esprit des montagnes (3,5/10) : Quelques plans poétiques dans un ensemble fortement soporifique. Superstar (2,5/10) : Giannoli utilise les mêmes artifices que la médiatisation qu'il dénonce : on finit par subir le film comme Martin/Merad subit sa célébrité. Little Bird (6,5/10) : Filmé à hauteur d'enfant, un film plein de sensibilité sur les traumas de l'enfance ( qui n'est pas sans rappelé le récente Tomboy ) sans pour autant être totalement bouleversant. A cœur ouvert (3/10) : Un couple de chirurgiens se déchirent sur fond d'alcoolisme et de grossesse involontaire : franchement on s'en fout de ce roman photos bobo. A pas de loup (4,5/10) : Pas vraiment convaincu par ce conte initiatique à la voix off omniprésente. Compliance (7/10) : Huis-clos réussi que ce fait divers adapté ou l'on passe de l'incrédulité à la consternation devant cette démonstration de soumission à l'autorité. Anna Karenine (6/10) : Malgré une belle palette de second rôle féminin ( Kelly Macdonald, Alicia Vikander, ...), la mise en scène excessivement virevoltante et kitch laisse peu de place aux acteurs pour exprimer de sincères émotions. En secret (5,5/10) : Un témoignage notable sur les interdits de la société iranienne un peu gâché par le côté artificielle de la réalisation qui abuse de ralentis et images esthétisantes. Les chants de Mandrin (3/10) : Dialogues alambiqués, situations anachroniques, scénario bricolé à partir de vignettes illustratives : pas grand chose à sauver à part les costumes et une photographie assez soignée. Broken (6/10) : Un ton intéressant mais des ficelles scénaristiques un peu glauques nuisent à la crédibilité du récit. Wrong (3,5/10) : une collection de situations absurdes qui n'aboutit à rien : ennui. David et Mme Hansen (2,5/10) : Un téléfilm sans intérêt et rapidement insupportable malgré Adjani qui fait ce qu'elle peut pour pimenter un scénario creux. Les Saphirs (5,5/10) : Une réhabilitation de la situation des Aborigènes et des performances musicales de haut niveau compensent le manque d'audace du scénario. The impossible (6,5/10) : Un film de survie qui prend aux tripes, dommage qu'une surdose de pathos ternisse la fin. Course contre la mort (Premium Rush) (3,5/10) : Si la mise en scène des poursuites à vélos est assez spectaculaire ; le scénario, lui, pédale dans la semoule. Chercher Hortense (4/10) : Bacri ronchonne, le scénario ronronne, le spectateur abandonne. Stars 80 (2/10) : Un non film ou au mieux un making-off de la tournée de ces "stars" inécoutables à jeun. Allez 2 pour les (*)(*) de Sabrina ... Vous n'avez encore rien vu (3/10) : C'est bien joli toutes ces mises en abîmes, ces expérimentations, ces excellents acteurs (mention spéciale à Amalric), mais bon, se taper l'Anouilh pendant 2 heures, ça m'a tué. Camille redouble (5,5/10) : Découvert Peggy Sue s'est mariée dans la foulée (6,5/10) : à part le changement d'époque, on peut pas dire que le scénario se démarque de beaucoup, en tout cas je ne me suis pas retrouvé dans cette adaptation au rythme inégal. Alyah (4/10) : L'interprétation est plutôt remarquable mais le scénario piétine et débouche sur pas grand chose. Associés contre le crime... ( 3/10) : Intrigue inexistante, personnages ridicules, l'épisode de trop. Les seigneurs (2/10) : un nanard à 18 millions d'euros, dommage que Depardieu ait loupé le rendez-vous ... Les saveurs du palais (6/10) : Un scénario qui aurait pu être un peu plus mitonné mais ses recettes du terroir sont un plaisir des yeux. The we and the I (3,5/10) : Gondry transforme un ticket de ciné en ticket de bus en nous imposant presque 1H30 de gamineries de lycéens. Barbant. La maison au bout de la rue (4/10) : Thriller sans grande envergure qui met un temps fou à démarrer. Mobile home (5,5/10) : Road-movie jamais commencé mais parfois assez juste dans sa nonchalance. Pauline détective (4,5/10) : Le scénario est vraiment léger, léger et il ne reste pas grand chose au final malgré les efforts de S. Kiberlain. Astérix et Obélix : au service de Sa Majesté (6/10) : Divertissement familiale honorable, bien meilleur que son prédécesseur, grâce à une fidélité à l'esprit de la BD et une certaine finesse dans les dialogues. Robot & Frank (6/10) : Si la mise en scène manque d'envergure sa vision d'un proche avenir est assez fine et l'interprétation à la hauteur. Paperboy (4,5/10) : Un mélange de genre raté qui passe à tout moment du coq à l'âne. Reste la prestation de Nicole Kidman. 7 jours à la Havane (4/10) : Des histoires inégales qui n’évitent pas les clichés ( celle de G. Noé sort du lot). Kirikou et les hommes et les femmes (5,5/10) : La formule a son charme mais elle commence à tourner en rond. Do Not Disturb(1/10) : what the fuck ? Le magasin des suicides (2/10) :Une adaptation ratée accompagnée de ritournelles insupportables. Ma bonne étoile (3/10) : Téléfilm naïf qui passe par tous les poncifs du film équestre. A moi seule (4,5/10) : Bien interprété mais des situations trop invraisemblables pour convaincre. Bovines (7/10) : La vie des vaches en 1 heure. Malgré son absence totale de commentaire, un docu qui est "meuh". La traversée (3,5/10) : Les grosses ficelles scénaristiques ne fonctionnent pas et M. Youn est à la peine dans un rôle dramatique de père à la recherche de son enfant disparu. Augustine (6/10) : Bonne interprétation mais le sujet aurait mérité un peu plus de profondeur. Le capital (4,5/10) : Trop démonstratif et caricatural. Thèrèse Desqueyroux (6,5/10) : Une réalisation académique pour un personnage tout en nuance. Populaire (7/10) : Une vraie comédie populaire illuminée par Déborah François. La chasse (7/10) : Scénario prenant et un grand Mads Mikkelsen. Nous York (0,5/10) : Ce sont les critiques des spectacteurs d'Allociné qui en parle le mieux : c'est une dobe. J'enrage de son absence (5,5/10) : un début convainquant mais qui tourne un peu en rond faute d'une situation de moins en moins crédible. Comme des frères (6/10) : des personnages parfois irritants mais une histoire d'amitié qui semble sincère. Captive (4,5/10) : Du reportage-fiction dépassé par son sujet.

De l'autre côté du périph (4,5/10) : Version parigot de Taxi, un buddy-movie paresseux malgré un duo plutôt sympathique. Télé gaucho (4/10) : L'aspect bordélique qui, au début, peut séduire finit par devenir agaçant surtout que les personnages ont du mal à sortir des stéréotypes. Ernest et Célestine (7,5/10) : C'est frais, plein de poésie et joliment mis en musique. Une réussite hexagonale. Mes héros (4/10) : Du Jean Becker "like" avec une dose de bien-pensance qui frôle l'indigestion. Mephisto Waltz (6/10)