L'Homme aux poings de fer (4,5/10) : Estampillé production Tarantino, un premier film qui ressemble plus à un gros clip de groupe de rap qu'à un hommage au cinéma d'action, faute à un scénario neuneu. Reste des bonnes surprises au niveau du casting comme Lucy Liu, toujours superbe, un Russell Crowe venu cachetonner et une apparition très furtive de Pam Grier.

Le monde de Charlie (6,5/10) : Teen-movie mélancolique et tourmenté qui déroge peu aux règles du genre mais s'avère plutôt bien écrit ( On peut y trouver quelques similitudes avec le Cercle des poètes disparus ). Emma Watson y réussit une sortie assez convaincante du monde de Poudlard.

Paradis : Amour (6/10) : Une actrice principale courageuse dans un scénario qui abuse un peu trop de scènes glauques pour soutenir son propos.

Django Unchained (8,5/10) : Tarantino maitrise son art avec jubilation et propose assurément un des meilleurs films américains de ce début du XXIème siècle.

Happiness Therapy (6/10) : Une romcom névrosée sympathique mais pas révolutionnaire : Jennifer Lawrence se révèle assez piquante et joue avec beaucoup de naturel, Bradley Cooper trouve un vrai rôle dans son personnage bipolaire et De Niro lui fait du ... meet the fockers.

Lincoln (6/10) : Encore un biopic bancal ( rejoignant pour moi J Edgar ou La dame de fer ) qui choisit de se concentrer sur un épisode marquant du personnage plutôt que sur les étapes de sa vie. C'est plein de qualités formelles (cf. Strum dans le topic dédié ) mais au final ça ressemble beaucoup à une sorte de film de procès interminable et surtout j'en ai peu appris sur l'homme ( à part qu'il est un formidable conteur ). Quitte à faire un film sur ce fameux amendement c'est surtout regrettable que les premiers concernés soient cantonnés à un rôle de faire-valoir.

Black's Game (6/10) : Sorte d'affranchis à la sauce islandaise, le film utilise assez bien le décor glacial de son lieu de tournage et distille efficacement ses éclairs de violence ( le film est produit par Nicolas Winding Refn ). Reste qu'il manque un peu d'originalité pour rentrer dans la cour des grands.

Mercenaires (2,5/10) : Rien de crédible dans ce scénario poussivement inspiré par les guerres en ex-Yougoslavie, le casting étant d'autre part assez mauvais.

Blanca Nieves (8/10) : Photographie à tomber, musique sublime et photogénie des actrices, une belle réussite que cette adaptation à la sauce flamenco des contes de Grimm, pleine d’hommage et de modernité.

Le chasseur (6/10) : Un thriller écolo avec un Dafoe impeccable et des superbes images de la Tasmanie. Dommage que le scénario manque de ligne directrice et ménage peu de suspens.

The day (5/10) : Film post-apocalyptique à la photographie dé-saturée plutôt soignée, le rythme et plutôt lancinant et les quelques scènes d'action pas très convaincante. Une honnête première œuvre malgré tout.

Universal Soldier - Le Jour du jugement (5,5/10) : L' exposition est plutôt réussie avec un bon travail sur l'ambiance sonore, les effets strobo, quelques scènes de baston (avec un Valérie Damidot barbu qui refait l'appart à coup de hache ) mais le scénario est vraiment light ( mais ça vaut bien le dernier Expendables ).

Machine Gun (5/10) : Biopic assez étonnant que cette histoire de rédemption d'un homme qui est passé de biker camé à une sorte de mercenaire prédicateur pour sauver des gamins d’Afrique. Ça à le mérite d'éclairer la situation tragique dans cette région du monde mais le rabâchage religieux façon église évangélique est assez irritant. Dommage aussi que des bons second rôles ( Monaghan, Shannon) soit si peu exploités.

L'ivresse de l'argent (6/10) : Une satire de la bourgeoisie coréenne qui n'est pas sans rappeler le Théorème de Pasolini. Malgré une Yun Yeo-Jung assez épatante en matrone cougar, le traitement reste un peu superficiel entre érotisme chic et décors au luxe glacé.

Zero Dark Thirty (8/10) : Une brillante reconstitution de la traque d'OBL, résumant, à travers son personnage féminin, 10 ans d'obsession américaine de venger l'affront du 11/09.

Hitchcock (6,5/10) : Anecdotique mais plutôt sympathique et distrayant.

Les misérables (4/10) : Un pudding de 2H40 de chansons assez indigestes. Ou est passée l'émotion originale du roman de Hugo ?

Shiver, l'enfant des ténèbres (3/10) : L'enfant sauvage version horrifique : photographie assez laide et intrigue prévisible.

Braquage à New York (4,5/10) : Scénario quelconque pour un Keanu Reeves qui semble constamment se demander ce qu'il fait hors de la matrice, reste une prestation plus enthousiasmante de Vera Farmiga qui offre quelques rares moments de comédie.

Mirages (3,5/10) : Une idée de base originale, mais finalement sous exploitée, de prendre le désert comme décor de ce thriller psychologique : au final, un film bien trop long pour ses petits moyens.

Gangster squad (4,5/10) : Un polar plutôt mastoc qui pompe allégrement dans Les Incorruptibles, LA Confidential ou Scarface. Même si le casting est rutilant ( avec un Sean Penn bouffi à la limite de la parodie de De Niro ), la sulfateuse souvent en action, les scènes de violences assez gratinées, on a du mal à trouver une semblant d'originalité dans ce thriller un peu trop concentré sur ses décors et costumes.

Shadow dancer : (6,5/10) : Le réalisateur de l'épisode central de la trilogie "Red Riding" se distingue une nouvelle fois par la qualité de sa reconstitution dans ce drame qui nous plonge dans le conflit irlandais des années 90. Si la mise en scène privilégie le suspens psychologique, les péripéties parfois un peu embrouillées et une certaine obstination dans la sobriété des sentiments entrainent forcément des baisses de rythme. Le casting est par contre tout à fait attachant avec une Andrea Riseborough qui maintient une totale ambiguïté jusqu'à la fin. Ceux qui ont appréciés l'ambiance de la taupe devraient s'y retrouver.

Le dernier rempart (5/10) : Série B épisodiquement parodique mais globalement limitée.

7 psychopathes (6/10) : Casting en or pour scénario plombé par une mise en abyme bordélique ou l'on passe son temps à chercher le fil conducteur.

Flight (4/10) : Le début du film s'avère assez spectaculaire (bien que peu réaliste) mais son épilogue, à la morale neuneu, semble avoir été écrit par un pasteur évangéliste.

Bad Yankee (El Gringo) (2/10) : Une vague ressemblance avec U-turn, à part ça des dialogues insignifiants entre deux fusillades mollassonnes et un Christian Slater qui fait une apparition transparente.

Interview with a Hitman (3/10) : Surchargé en bande son, le monolithique Luke Goss ne rend pas service à ce thriller répétitif.

Le Projet Philadelphia, l'expérience interdite (1,5/10) : Un remake foireux aux cgi vraiment laids.

Lost Destination (4,5/10) : Petit film espagnol au confins du fantastique qui doit beaucoup au charme fragile de son actrice principale mais qui tourne en rond en débitant des poncifs sur les ados mal dans leur peau.

Le quatrième pouvoir (6,5/10) : Thriller paranoïaque dans la Russie de Poutine. Un point de vue plutôt intéressant.

Les Roches maudites (3/10) : Les paysages montagneux participent à l'ambiance, mais le scénario n'est pas crédible et les effets spéciaux en particulier les monstres sont d'une laideur rarement vue dans un film récent.

Night Wolf(3,5/10) : Un survival en espace limité, trop linéaire pour surprendre, aux dialogues trop creux pour être un minimum mémorable. Reste un épilogue plus réussit.

The Forest (4,5/10) : Steven Mayer (True Blood) traine sa tête de décavé dans un thriller forestier pas forcément raté mais qui manque de rebondissement.

Masks (5/10) : L'hommage au giallo est réussit, mais ça reste un hommage.

Hôtel Transylvanie (6/10) : L'animation est plutôt réussie ( fluidité, chorégraphies ) mais les personnages ne sont pas vraiment attachants. Agréable mais pas mémorable.

Morituris - Legions of the dead(1/10) : Il parait que c'est vaguement inspiré d'un fait divers. En tous cas, c'est dégueulasse : après une bonne moitié de film ou il faut supporter la drague lourde de 3 mecs on bascule dans l’innommable ( viols et torture de deux pauvres filles ). Heureusement des légionnaires romains sortis dont on ne sait d'où débarquent pour décapiter tous le monde. Du lourd :shock: .

Motorway (3,5/10) : Sorte de Fast & Furious à la sauce asiatique : les pneus crissent, la caravane passe.

Elefante Blanco (6/10) : L'interprétation est sans reproche ( très bon Jérémie Renier ) et la mise en scène particulièrement soignée avec quelques plans séquences remarquables. Dommage que le traitement du sujet donne parfois l'impression d'être superficiel, tiraillé entre fiction et documentaire. J'avais préféré Carancho.

Hindsight (4/10) : Entre polar et romance le film peine à trouver sa voie et on finit par s'y désintéresser. Image soignée cependant.

Anamorph (4,5/10) : Le casting est plutôt bon (W. Dafoe), et l'idée de départ originale, mais la sauce ne prend pas : trop brouillon, trop décousu.

Iron Sky (5/10) : Un gros délire façon Mel Brooks ou des survivants nazis débarquent de la lune en vaisseau spatial. Les effets spéciaux sont assez réussis et il y a quelques gags intéressants ( parodie de la Chute, Sarah Palin présidente des USA ) mais ça vole quand même pas très haut.

Julia X (2/10) : Parodie de slasher pas vraiment sexy et surtout jouée comme un pied par Kevin Sorbo ( en faux Hercule qui rit quand on le bouscule ).

Lore (6,5/10) : Traitant d'un sujet rarement abordé, celui de la découverte des horreurs nazis par les enfants des bourreaux, le film laisse une impression assez troublante (voir parfois dérangeante) par son parti pris hyper esthétisant, auquel se mélange sensualité et scène horrifique.

As If I Am Not There (7/10) : Le cauchemar éveillé d'une jeune femme en pleine guerre de Bosnie. Si le scénario se rapproche du film d'Angelina Jolie ( Au pays du sang et du miel ), on est ici bien loin du romanesque et du divertissement. Le film doit beaucoup à sa jeune actrice dont le regard et l'économie de dialogues suffisent à exprimer toute l'horreur des événements survenus dans cette période récente de l'histoire. Troublant.

Extracted (5,5/10) : Pas de gros moyens mais un scénario assez astucieux.

Swordsmen (5,5/10) : Réalisation soignée mais manque de rythme et cours de physiologie façon les experts un peu à côté de la plaque.

Week-end Royal (5/0) : Une pincée d'humour et une grosse dose d’académisme pour un résultat assez anecdotique.

Die Hard 5 (2,5/10) : Du travail de tâcheron.

Lawman (4/10) : western "sirop d'érable" au manque d'ambition scénaristique malgré un travail intéressant sur l'image. A noter la présence de la charmante Jessica Paré de Madmen.

Le chemin sans retour (4,5/10) : Une bonne dose de Blair Witch soupoudré de Lost qui se perd en bavardage et oublie son épilogue : ils auraient du l'appeler le chemin sans fin.

The viral factor (3,5/10) : De l'action jusqu'à l’écœurement et une incapacité à donner un minimum d'épaisseur à ses personnages.

The place behind the pines (7,5/10) : Une forme en trois actes originale + une très bonne interprétation = une bonne surprise.

Hansel & Gretel (3,5/10) : Spectacle de fête foraine assez crétin.

Warm bodies (5/10) : Un twilight en mode zombie un peu moins tartignole que son modèle grâce à quelques touches d’auto-dérision. Teresa Palmer joue à merveille le rôle de clone de Kristen Stewart.

Piégés (1,5/10) : un scénario au niveau du jeu de Dolph Lundgren.

Ennemis jurés (6/10) : La transposition du texte de Shakespeare dans un contexte contemporain n'est pas toujours du meilleur effet mais la prestation de Ralph Fiennes vaut le détour.

Constantinople (3,5/10) : Un blockbuster turc plutôt lourdingue.

Elevator (5/10) : Huis clos assez efficace mais qui tombe un peu dans la facilité dans son épilogue.

A dark truth (4/10) : Malgré un beau casting, un thriller au discours altermondialiste caricatural et au rythme inégal.

Le Monde fantastique d'Oz (6/10) : En équilibre instable entre féérie et mièvrerie, le film s'avère parfois plaisant, rarement emballant.

Cloud Atlas (6/10) : nanard génial ou pensum philosophique foireux ? Si le montage passionne, le scénario est assez loin des espérances.

40 ans : mode d'emploi (5,5/10) : Si l'humour reste décapant et les situations parfois pertinentes, il y a aussi quelques "bourlets" qui provoquent plusieurs essoufflements sur la longueur (un peu excessive).

Punishment: (2/10) : Slasher "caisse à outils" : scie, marteau, ..., tout y passe pour punir des jeunes gens sans cervelles.

Vampyr nation :(2,5/10) : Fauché et mal joué.

Company of Heroes (3,5/10) : Scénario improbable et traitement manichéen.

Le bataillon perdu (6/10) : Un doublage raté mais une réalisation qui tient la route et l'efficacité d'un épisode de Band of Brothers.

No (6/10) : Un film étonnant par sa forme mais qui n'arrive pas à vraiment bouleverser malgré des images d'archives passionnantes.

The Sessions (7/10) : Si la mise en scène manque un peu d'audace, l'interprétation ( en particulier de la sublime Helen Hunt ) suffit à émouvoir par sa pudeur et son humour.

The master (6/10) : On ne peut qu'applaudir la forme et l'interprétation mais malgré ça on reste un peu au bord du chemin à cause d'un scénario trop flou.

Death Race Inferno (2/10) : Un scénario dont l’intérêt est inversement proportionnel aux attributs mammaires de ses actrices.

Comedown (2,5/10) : Slasher banlieusard prévisible et bâclé.

La mort en sursis (4,5/10) : Le film ne trouve jamais son rythme mais une prestation plutôt intéressante de Michelle Monaghan.

Vamps (4/10) : Une comédie vampirique qui manque de mordant, reste le charme des actrices et la présence de Sigourney Weaver.

What Richard Did (6/10) : Sorte de teen-movie sur la jeunesse irlandaise qui subitement vire au drame. Les acteurs sont bons mais le parti pris parfois trop naturaliste est une barrière à l'émotion qui rend l'ensemble un petit peu froid.

La tête la première (4/10) : Un road-movie qui aurait pu faire une sorte de conte à la Rohmer mais le scénario sans grande consistance inhibe la performance plutôt bonne des jeunes acteurs.

La belle endormie (5,5/10) : La mise en scène convaincante mais le scénario semble pris au piège du film choral : indécis, sans réel parti pris et finalement un peu longuet.

Promised land (6/10) : Un Matt Damon méritant mais une histoire de gaz de schiste qu'on aurait aimée voir un peu plus explosive.

The Grandmaster (7,5/10) : Un opéra visuel dont l'histoire importe peu : la mise en scène suffit à séduire, l'image à fasciner.

V/H/S (3/10) : A la fin, on se demande si le but de ce found footage était de faire peur ou de montrer les seins de ses actrices. C'est de toute façon trop mal filmé pour vraiment rentrer dans les histoires.

Maximum Conviction (3,5/10) : Quelques dialogues bourrins assez drôles sinon du Seagall pur jus. Cerveau s'abstenir.

Spiders (2/10): Que c'est moche et mal joué.

Cockneys vs. Zombies (4,5/10) :Un shaun of the dead version 3ème age : sympa mais limité dans son scénario.

G.I. Joe (4,5/10) : DTV de luxe à la fois assez efficace et totalement impersonnel.

Pietà (5/10) : Le scénario finit par se complaire dans la violence et le sadisme avec une certaine monotonie. Résultat : on passe à côté du choc émotionnel attendu.

The Baytown Outlaws (5,5/10) : Plutôt bien filmé, du sous Tarantino parfois amusant.

Dead Bodies (5/10) : Petits meurtres entre amis un peu paresseux, reste la présence de Kelly Reilly.

Le Goût du sang (4,5/10) un précurseur de Twilight à la sauce loup-garou par forcément pire que la saga préférée des ados.

Dragon Wasps : L'ultime fléau (1/10) : Si on n'attrape pas des mouches avec du vinaigre ici on chasse des grosses guêpes avec de la cocaïne : des effets spéciaux misérables, des acteurs aux fraises, et un scénario portnawak : c'est effectivement un fléau.

Needle (3/10) : Mouais, une histoire de boîte vaudou qui manque de surprises.

51 (1,5/10) : C'est peut être ses origines écossaises qui ont poussé Jason Connery (le fils de 007) à faire ressembler son alien à une sorte de panse de brebis farçie. Ceci-dit ce n'est pas forcément ce qui a de plus ridicule dans cette production au rabais.

Storage 24 (2,5/10) : Aurait pu s'appeler Alien 24 puisqu'il s'agit d'une nième variation d'un monstre en zone confinée. Sinon suspens et jeu d'acteurs limités.

Crawlspace (4/10) : Un début assez prometteur, une interprétation plutôt correcte, mais un manque de moyen pour tenir la distance.

Code Name Geronimo (5/10) : Sur la même trame que Zero Dark Thirty, un docu-fiction sans réel intérêt cinématographique malgré un casting solide de stars de série TV.

Berberian sound studio (5,5/10) :L'exercice de style est réussi mais le scénario reste trop léger pour maintenir l’intérêt sur la distance d'un long métrage.

La Stratégie de la poussette (2,5/10) : Stratégie du scénario convenu et de l'humour poussif : le lot habituel de la comédie française paresseuse.

Foxfire (6/10) : Pourtant d'une longueur excessive, on reste un peu frustré d'un scénario souvent trop superficiel sur les réelles motivations du groupe de filles. Reste un casting convaincant.

Maniac (6,5/10) : Quelques grosses ficelles mais assez original dans sa réalisation.

Les âmes vagabondes (5/10) : Assez pauvre visuellement, le film souffre surtout du syndrome Twilight avec ses scories de puritanisme bon ton.

Upside down (3,5/10) : Le concept de départ méritait mieux que cette mièvrerie à l'image plutôt laide.

Sublimes créatures (4,5/10) : Une saga ado qui a du mal à sortir des sentiers battus malgré un effort sur les dialogues.

Samsara (7,5/10) : Si le début fait un peu trop catalogue de voyages, le film prend toute sa force lorsqu’il aborde le côté sombre de l'humanité.

Parker (4/10) : Du Statham pur jus dans la baston mais le scénario manque de surprises.

Mariage à l'anglaise (6,5/10) : Même si l'humour est parfois assez gras les dialogues sont plutôt bien dosés et le casting séduisant.

L'hypnotiseur (6,5/10) : Un polar scandinave ou l'on retrouve l'ambiance Millénium /The Killing avec un bon suspens, dommage que sa fin façon "Titanic" soit un peu capillotractée.

Quartet (7/10) : C'est finement interprété et ponctuellement émouvant même si la prise de risque est limitée.

Effets secondaires (8/10) : Un thriller qui nous manipule avec un plaisir certain. Brillante mise en scène.

Sous surveillance (5,5/10) : Thriller politique poussif dans son engagement et dont l'action s'essouffle rapidement.

Renoir (5/10) : C'est joliment filmé mais malgré une voluptueuse Christa Theret ça manque singulièrement de passion pour éviter l'ennui poli.

A la merveille (7,5/10) : Un ballet visuel au message parfois abscons, mais la virtuosité de la mise en scène reste envoutante.

Infiltré (4,5/10) : Constamment le cul entre 2 chaises, Dwayne Johnson n'arrive pas à être vraiment crédible dans un scénario qui se veut à la fois drame humain et film d'action.

Iron man 3 (6,5/10) : Probablement le meilleur de la série grâce à un bonne dose d'humour pince-sans-rire.

The hit girls (3,5/10) : une parodie qui tourne en eau de boudin.

Une vie simple (6,5/10) : Le film surprend par sa sobriété à défaut de vraiment bouleverser.

L'écume des jours (5/10) : On a plutôt l'impression de se promener aux puces de St-Ouen dans cette œuvre bourrée de trouvailles visuelles qui finissent par rendre secondaires les acteurs et diluer toutes émotions.

Oblivion (6,5/10) : Pas révolutionnaire, mais de la SF qui tient la route dans son récit et dans ses effets spéciaux.

Mamà (4,5/10) : Si le casting est plutôt convaincant, le scénario sent le réchauffé et la fin proche du ridicule.

Evil dead (4/10) : Des effets spéciaux réussis mais la tension est sacrifiée à la facilité du gore.

Modus Anomali (3,5/10) : Survival roublard et finalement assez vain.

Mud (7,5/10) : Joli film initiatique dans la lignée de Stand by me qui doit beaucoup à ses décors hors du temps.

Paulette (3/10) : ou Tatie Danielle cuisine des "space cake". Sorte de téléfilm vaguement social, rarement drôle malgré quelques répliques gentiment aigries de Bernadette Lafont.

Alceste à bicyclette (5/10) : Intrigue plate et acteurs qui s'écoutent parler, j'ai crevé en route.

Le passé (7,5/10) : Un cinéma de tension qui vaut tous les slashers sortis ces dernières semaines.

Intersections (2/10) :film aussi improbable que sont point de départ : un carambolage de voitures au milieu du désert. La suite est truffée de sous intrigues sans intérêts avec musique envahissante pour un épilogue de misère.

Un prince (presque) charmant(3,5/10) : Romcom convenue entrecoupée de pub pour la Renault Zoé. Les deux ne vont pas très loin.

Gatsby le Magnifique (5/10) : Mise en scène remarquable pour un scénario qui manque d épaisseur : la cerise est plus grosse que le gâteau.

Max (4,5/10) : Gros loukoum de Noël qui vaut éventuellement pour ses acteurs ( Marielle qui fait du Marielle ) et une gamine plutôt rigolote. Dommage que la fin finisse en indigestion de bon sentiments

Une histoire d'amour (2/10) : Il y avait mieux à faire sur l'affaire Stern que ce truc glacé à l'esthétique de pub pour produit de luxe complétement vide de sentiments. Sinon la Casta porte très bien le cuir.

Shokuzai - Celles qui voulaient se souvenir (7/10) : Un conte social aux confins du fantastique, à l'ambiance glacée et aux personnages plutôt addictifs.

The Call (4,5/10) : Quelques moments de tension bien gérés plombés par un invraisemblable scénario.

Electrick Children : (6/10) Étrange petit film indé au message quelques peu simpliste à propos de l'obscurantisme religieux. Reste une lumineuse Julia Garner et une photographie qui n'est pas sans rappeler celle des films de Terrence Malick.

Chimpanzés (4,5/10) : Moins réussi que Félins, un documentaire monotone en partie gâché par des commentaires simplistes destinés à transformer les animaux en héros de film d'animation.

Dark Skies (5/10) : Quelques jumps-scares efficaces mais trop de déjà vu pour sortir du lot.

Man of steel (5,5/10) : Si le casting est convainquant, la construction en flash-back attrayante, la surdose de destruction façon 11/09 puissance 1000 finie par fatiguer.
Broken City (5,5/10) : Un polar plutôt plaisant dans sa façon d'appliquer les codes du film noir à l'ancienne (privés, corruption, ...), dommage que le scénario ne suive pas malgré un casting solide
Offline (7/10) : Si le scénario reste un peu léger dans son approche de la rédemption, le film est porté par ses interprètes et en particulier Wim Willaert qui livre une prestation à fleur de peau, sorte de pendant masculin au récent Louise Wimmer.
Möbius(6,5/10) : Scénario un peu confus mais la romance fonctionne grâce à une convaincante Cécile de France.
La Vraie vie des profs (2,5/10) : Ducobu chez les Kaïras : pénible et moralement douteux.
My Movie Project (4,5/10) : Du Sébastien Patoche au cinéma, un concours de gaudriole et de vulgarité : c'est clairement du lourd, souvent consternant, mais aussi parfois quand même amusant de voir toutes ces stars se lâcher (au propre et au figuré).
Struck (5,5/10) : Après le monde de Charlie, un portrait plus cynique de l'adolescence à travers un personnage qui manque sensiblement d’auto-dérision pour susciter l'adhésion.
The Bay (6/10) : Du found footage qui fonctionne grâce à un puzzle d'événements à la crédibilité plutôt bien maitrisée.
Pas très normales activités (0,5/10) : C'est censé être drôle ?
Passion (6/10) : Mineur mais assez ludique et finalement meilleur que la version de Corneau.
Boule et Bill (1,5/10) : Très éloigné de l'esprit de la BD, une suite de gags qui tombent à plat et qui ennuient même les enfants.
Antiviral (4/10) : Si l'image est soignée, le pitch devient vite insupportable.
Rendez-vous à Kiruna (5/10): Un road-movie sans grande intensité, reste un Daroussin plutôt convainquant et les paysages suédois.
Gambit, arnaque à l’anglaise (4,5/10) : Estampillé scénario des frères Coen, une comédie au récit poussif et aux gags téléphonés qui lorgnent du côté de l'inspecteur Clousot.
Arrêtez-moi (3/10) : Un huit clos souvent surjoué qui, malgré la force du sujet, frôle régulièrement le grotesque par son manque de subtilité.
Du Plomb dans la tête(4/10) : C'est surtout du plomb dans le scénario tellement il est lourd et stérile.
Star Trek Into Darkness (6,5/10) : Un blockbuster efficace et spectaculaire avec une histoire d'inspiration post 11 septembre sans grande surprise.
Drakkar(DTV) (1/10) : Rien a voir avec la série Viking, une série Z fauchée ou l'on n’aperçoit pas l'ombre d'une voile.
Arnaque à la carte (3,5/10) Insipide et sans finesse on est pas loin de arnaque au ticket de ciné.
Mariage à Mendoza (6/10) : Un road-movie assez dépaysant mais qui perd son rythme au fil des kilomètres. Reste une vrai révélation avec un Philippe Rebbot décalé et touchant.
Turf(2/10) : Mauvais cheval.
Dead man down (4,5/10) : Polar au mélange de genre assez vain.
Amitiés sincères (5/10) : Casting attachant mais scénario sans surprise.
Wadjda (6,5/10) : L'histoire est assez secondaire et pas véritablement passionnante mais le tableau fait de la situation des femmes en Arabie Saoudite offre une vraie découverte.
Stoker (5,5/10) : On pense parfois à un vieux De Palma ; mais le scénario, dissout dans une débauche d'effet de styles, n'arrive pas à captiver.
Very bad trip 3 (3/10) : Les quelques pitreries de Zach Galifianakis ne cachent pas la misère d'un dernier volet en manque totale d'inspiration.
After earth (4/10) : Malgré quelques effets spéciaux assez réussis, le film échoue dans son ambition première de blockbuster : être un minimum captivant.
Diaz - Un crime d'État (6/10) : Film militant qui a le mérite d'une reconstitution aux images fortes sur les violences policières ( on pense parfois au Bloody Sunday de Greengrass ), dommage que la confusion du récit et le manque de personnages de premier plan ne permettent pas une véritable explication sur le déclenchement de cet événement en marge du G8 italien.
Shokuzai - Celles qui voulaient oublier (6/10) : Un second volet moins attrayant que le premier de part sa longueur et ses deux premiers segments. Reste quand même un épilogue riche en coup de théâtre et une analyse de la jalousie assez troublante.

Juillet ?

Jack le chasseur de géants (5,5/10) : Divertissement familial dominé par les effets spéciaux et laissant peu de place à l'interprétation et à l'originalité scénaristique. Wolverine : le combat de l'immortel (6/10) : Pas vraiment réussi mais un aspect intimiste qui finalement le distingue du blockbuster courant. R.I.P.D. Brigade Fantôme (4/10) : Malgré l'abatage de J. Bridges, cette sorte de Men in Black avec morts vivants est souvent assez lourdingue. Jappeloup (4/10) : Ennui poli devant ce téléfilm de luxe plutôt taillé pour Equidia que pour Ciné +. 11,6 (6/10) : Interprétation remarquable mais certaines zones d'ombres sur les motivations du personnage laisse une impression d'inachevé. Les derniers jours (5,5/10) : Plutôt bien filmé, avec une idée originale (agoraphobie virale), le scénario se plante en délaissant la psychologie des personnages pour des séquences d'aventures sans surprises et un final écolo neuneu qui laisse sur sa faim. American Nightmare (6/10) : Pitch intéressant qui aurait pu faire une sorte de Funny Games mais dont le scénario peine à décoller de la série B attendue. Amours et turbulences (4/10) : Une construction en sketch qui fini par faire ressembler le film à un long épisode d'un gars, une fille Ill Manors (5,5/10) : C'est assez ambitieux dans son scénario mais le film souffre de ses excès ( misérabilisme, violence ) et semble parfois prétexte à mettre en image les compositions du réalisateur-rappeur. La religieuse (6,5/10) : belle performance de Pauline Etienne. La fille de nulle part (3/10) :Une interprétation horripilante qui eu raison de ma patience. Un grand mariage(2,5/10) : Gros casting pour un scénario foutage de gueule. Ouf (4/10) : Un scénario trop décousu pour éviter l'ennui. Malgré tout quelques bonnes surprises de la part des seconds rôles : Luis Rego en père d'Elmosnino : bluffant, Anémone, la lumineuse Sophie Quinton ... Le temps de l'aventure (7/10) : Quelques grosses ficelles mais de très beaux moments d'intimité qui doivent beaucoup au talent d'Emmanuelle Devos. Les profs (3/10) : Passé la présentation des personnages on se lasse vite de ces gags téléphonés réminiscence des sous-doués des années 80. Conjuring : Les dossiers Warren (6/10) : Le scénario n'étonne que par son étiquette "tirés de faits réels", mais l'efficacité de la mise en scène qui avait fait le succès de Insidious est toujours présente. Perfect Mothers (6/10) Un roman-photo sensuel mais qui manque de profondeur pour vraiment marquer les esprits. Les flingueuses (4/10) : Scénario bien naze, reste quelques répliques bien gratinées de Melissa McCarthy. La cinquième saison (5/10) : D'une beauté plastique indéniable mais d'un symbolisme pesant, on a aussi le droit de s'y ennuyer. Kick-Ass 2 (3/10) : Plus proche de la parodie Super Héros Movie que du remarquable premier opus : crétin et lourdingue. Alabama Monroe (7,5/10) : Remarquable mélodrame belge dont une des qualités est de donner cette impression d'avoir été tourné au fin fond de ... l'Alabama, grâce à des personnages atypiques et une musique bluegrass qui rythme parfaitement les vicissitudes de ce couple face à la maladie d'un enfant. Seul petit reproche un montage en flash-back parfois un peu perturbant. La cage dorée (4/10) : Aucun cliché n'est évité ( même Linda De Souza ) pour une réalisation qui frôle l'épisode de plus belle la vie. Song for Marion (5,5/10) : Feel good movie lacrimal tout juste sauvé par un Terence Stamp bougon. No Pain No Gain (5,5/10) : Une histoire de tocards magnifiques qu'on aurait aimer voir traiter par les frères Coen. Malheureusement sous la caméra de M. Bay ça frôle toujours le trop plein et on finit à la limite de l'indigestion. White House Down (4,5/10) : La Chute de la Maison blanche bis avec des méchants interchangeables et des situations encore plus improbables. Queen of Montreuil (4,5/10) Une histoire "what the phoque" parfois pittoresque mais assez mollement filmée. Magic Magic (4/10) : Jamais rentré dans le film à cause d'une histoire qui manque de fond et pas ressenti la moindre angoisse pour les personnages ( dont certains sont particulièrement tête à claques). Red 2 (5,5/10) : Pas de grosses différences avec le 1 : ça cabotine pas mal mais les acteurs ont l'air de s'être bien amusés ( et une course de 2CV en plein Paris : ça circule encore ces bagnoles ? ) Camille Claudel, 1915 (4/10) : Une vraie performance pour Juliette Binoche, mais le film de dit pas grand chose sur C. Claudel, se contentant pratiquement de mettre en contraste une actrice qui joue et des handicapés mentaux de façon parfois embarrassante. Les gamins (6/10) : De l'humour régressif qui fonctionne assez souvent grâce à A. Chabat. Manque quand même une petite dose de subtilité pour faire une grande comédie.

Dead Man Talking (5/10) : Plutôt dubitatif sur les intentions du réalisateur même si ponctuellement le film n'est pas sans idées. The East (5/10) : Le scénario a du mal à emballer la machine à force d'être trop démonstratif, reste un casting intéressant. La fleur de l'age (3,5/10) : A part Jean-Pierre Marielle qui fait le show le reste est assez inconsistant. Mohamed Dubois (2,5/10) : Comédie communautariste qui enfile les clichés pour une tentative vaine de dénonciation du racisme ordinaire. Denis (2/10) : Au même niveau que les blagues du personnage de Jean-Paul Rouve : consternant. Elysium (4,5/10) : Déception par rapport au film précédent du réalisateur et au manque d’ambition vis à vis du potentiel de son scénario. Le dernier pub avant la fin du monde (6/10) : Plutôt réussi dans sa veine nostalgique ( avec une excellente bande son ) mais les péripéties restent assez convenues et la fin manque d'audace. Des gens qui s'embrassent (2/10) : ... et des spectateurs qui s'emm... . Scénario indigeste, personnages peu attachants et surtout montage avec les pieds : une belle purge. Hotel Normandy (2/10) : Comédie poussive ou l'interprétation ( à part peut être Anne Girouard ) est d'une platitude assez consternante. Ma vie avec Liberace (5,5/10) : Les acteurs sont parfaits, la mise en scène ludique. Reste que cette histoire de "vieille tante" ne m'a pas vraiment émue ... L’œil du cyclone (5,5/10) : Un drame familial un peu trop suranné à l'image de ses décors années 70. Reste une interprétation brillante avec en particulier une Charlotte Rampling qui bénéficie de dialogues assez piquants. Moi et toi (4/10) : Si la photo est plutôt soignée, les maigres enjeux d'un scénario en huis-clos ne passionne pas beaucoup plus que l'observation de fourmis à la manière du héros boutonneux de ce tout petit film. The Conspiracy (6/10) : Une première partie docu-fiction plutôt réussie et même assez persuasive dans sa façon de mettre à jour un complot mondial mais qui tombe un peu à plat dans son épilogue paresseux, trop proche d'un thriller à la "Blair Witch". Riddick (3/10) : Bâillement. 2 Guns (3/10) : Bâillement (bis). Deux films qui n'ont rien à dire.

The Way (6/10) : Pas mal de défauts : trop didactique, des acteurs en roue libre, une VF insupportable de platitude. Mais on ne peut lui retirer sa générosité et la beauté de ses décors qui finissent par générer une certaine émotion et toucher du doigt, derrière de fausses raisons, les motivations de ces pèlerins modernes. Hannah Arendt (5,5/10) : Bonne interprétation mais une trop grande part prise par la vie intime du personnage dilue la controverse autour de la responsabilité d'Eichmann dont le procès reste la partie la plus intéressante du film. Jobs (4/10) : Biopic linéaire et sans relief. Les amants passagers (4,5/10) : Une farce lourdingue qui, au contraire de son sujet, reste la plupart du temps au raz des pâquerettes. L'attentat (7,5/10) : Construit comme un thriller, une histoire de couple qui interroge tout en gardant quelques secrets. The Iceman (6/10) : La narration s'avère un peu trop conventionnelle, la performance de Michael Shannon reste cependant le point fort du film. Lettre à Momo (6/10) : du Ghibli "Canada Dry" avec des monstres facétieux, de jolis graphismes, mais un ton en dessous dans l'intérêt du récit et dans une certaine facilité à générer de l'émotion. Demi-soeur (1/10) : Balasko et Blanc bien placés pour le césar du meilleur cabotin de l'année. L'autre vie de Richard Kemp (6/10) : Un sujet qui n'est pas sans rappeler celui de la série policière anglaise "Life on Mars", pour une création plutôt originale mélangeant policier et fantastique. Le casting est solide : le duo Anglade-Thierry fonctionne et les décors plutôt bien choisis. Dommage que l'intrigue policière soit quand même un peu inconsistante pour maintenir le rythme d'un thriller. Les chevaux de Dieu (6/10) : Parfois un peu trop démonstratif, un film cependant assez convainquant par son réalisme. The land of hope (6,5/10) : De très jolis moments plein de lyrisme mais l'ensemble souffre de pas mal de longueurs. Prisoners (8/10) : Sans doute que les références au cinéma de Fincher paraissent inévitables, mais Villeneuve livre un thriller haletant, toujours sous tension, duquel émerge un portrait glaçant de l'Amérique post Guantanamo. C'est la fin (3/10) : Private joke des plus lourdingue. Epic : la bataille du royaume secret (7/10) : Le scénario n'est pas révolutionnaire mais le film contient suffisamment de prouesses visuelles et quelques gastéropodes hilarants pour en faire un spectacle plus qu’honorable. The bling ring (4/10) : Devrait donner de mauvaises idées à celles qui ne peuvent plus aller chez Sephora après 21H00. Un film à l'image des têtes de ses jeunes héroïnes : jolie de l'extérieur mais vide à l'intérieur. Les stagiaires (2/10) : génération gogol. Shérif Jackson (6/10) : Malgré sa fin foireuse, ses baisses de rythme et ses emprunts à peine cachés à Tarantino, ce western plutôt bien photographié peut constituer un petit plaisir coupable grâce à quelques personnages truculents ( Ed Harris en tête ) et une séduisante January Jones en vengeresse pourpre. The Mortal Instruments : La Cité des ténèbres (3,5/10) : Un peu moins gnangnan que Twilight, cette adaptation de roman ado peuplée de personnages insipides peine à se rendre un minimum intéressante. Haewon et les hommes (4,5/10) : Une histoire rohmérienne ( on pense parfois au rayon vert ), des coups de zoom, des plans séquences avec des gens qui picolent : on est en terrain connu chez Hong Sang-soo. Au final quand même une impression de radotage déjà entamée par "in another country". Lone ranger (6,5/10) : ça tiens parfois du spectacle de music-hall ou du cartoon mais c’est plutôt plaisant malgré sa durée. Malavita(3/10) : Scénario et casting au gros potentiel pour au final un film baudruche qui se dégonfle au fil des minutes. Pop rédemption (5,5/10) : Parfois assez loufoque mais desservi par un scénario paresseux, étalant à l’excès ce qui aurait pu faire un excellent sketch des Inconnus. Les beaux jours (7/10) : L'histoire s’essouffle un peu sur la fin, mais Fanny Ardant est formidable en blonde Bardot mélancolique et sensuelle. Les Miller, une famille en herbe (6,5/10) : Rappelant par certains côtés le premier very bad trip par son humour transgressif, une comédie plutôt réussie grâce notamment à une magnifique Jennifer Aniston. Né quelque part (6/10) : Évitant de justesse la comédie communautariste, un portait peut être un peu superficiel mais résolument sincère sur différents aspects de l'immigration franco-algérienne. A very englishman(4,5/10) : Malgré un Steve Coogan impeccable, une reconstitution soignée des années 50/60 et plein de jolies filles dénudées, difficile de vraiment s'enthousiasmer pour ce personnage superficiel tant les épisodes "sexe-drogue-pognon" qui constituent son existence finissent par tourner en rond. La fille du 14 juillet (3,5/10) : Plus proche de Max Pecas que de la nouvelle vague, cette prétendue liberté de ton m'a parue longue, longue ...

Moi moche et méchant 2 (5/10) : Une très belle réalisation mais le scénario, trop puéril et trop centré sur les minions, ne provoque pas l'enthousiasme. Blue Jasmine (7,5/10) : La prestation de Cate Blanchett est mémorable, le scénario un peu moins. Frances Ha (5/10) : Remplissant allégrement son cahier des charges pour "bobo" avec ses références nouvelle vague, allen, etc ..., ce clone noir et blanc de la série Girls compte un peu trop sur le charme nonchalant de Greta Gerwig pour compenser le manque de dramaturgie de son scénario. Les culs nus du lac (3/10) : C'est certainement bien filmé, bien cadré, mais ça se résume plus à un do-cul National Geographic sur les pratiques sexuelles dans les sous-bois du Cap d'Agde qu'au polar hitchockien vaguement abordé dans ses dix dernières minutes Snowpiercer (7,5/10) : Quelques difficultés à rentrer dans le film mais finalement l'univers ludique des différents wagons a pris le dessus offrant à chaque fois des surprises en passant de manière parfois déconcertante de la fable politique au burlesque. Prince of Texas (5,5/10) : Ça n'ait pas sans charme ni poésie mais ce Gerry forestier manque un peu de profondeur pour être mémorable. La Grâce (6,5/10) : Une histoire de couple face à la culpabilité qui se perd parfois en route mais se voit sublimée par la belle lumière des paysages arctiques. Les reines du ring (2,5/10) Pas grand chose à sauver de ce Full Monty féminin, laborieux et convenu, à part peut être le potentiel comique de Corinne Masiero dont la gouaille sauve quelques répliques. La Marque des anges (3/10) : Une image au ton pisseux, un Depardieu qui, à l'image du scénario, se traine et un Joey Starr pas très crédible en ex petit chanteur à la voix cristalline, c'est pas encore ce coup-ci qu'une adaptation de Grangé sortira du lot. Gravity (7/10) : Un survival efficace malgré sa dose d'invraisemblance et du peu de place laissé à l'interprétation. L'économie de musique sur certaines scènes aurait surement accentué la sensation de solitude mais on peut quand même saluer la mise en scène qui permet au spectateur d'accompagner les personnages en situation d’apesanteur. (vu en VO 2D) Pour une femme (4,5/10) : Trilogie amoureuse à la réalisation trop lisse et peut être trop autobiographique pour intéresser sur la longueur. Marius (6/10) : Adaptation un peu trop théâtrale mais fidèle au texte de Pagnol. Fanny (7/10) : Plus de dramaturgie, plus d'extérieur, le second volet s'avère plus émouvant et globalement plus réussi. Les croods (6,5/10) : Pas follement inventif, mais un spectacle familial appréciable. Before midnight (8,5/10) : Cette trilogie est magique. Eden (5,5/10) : Tiré de faits réels, un récit bien glauque sur le trafic d'adolescentes vouées à la prostitution aux USA. Le film a un peu de mal à exister en dehors de ses scènes chocs, reste que l'histoire mérite d'être racontée. Les petits princes (5,5/10) : Malgré quelques clichés et une réalisation téléfilmesque ce parcours d'un jeune footballeur dans un centre de formations ne manque pas de sincérité. Mystery (4/10) : Scénario à tiroirs et stylisation outrancière. On décroche. Comme un lion (6/10) : Même si le scénario se permet quelques facilités, le parcours du jeune footballeur a valeur de documentaire. Rue Mandar (1/10) : Enfermé dans sa petite communauté, le film est un générateur d'ennui dès le premier quart d'heure. Imogène (3,5/10) : Farce sans saveur malgré la présence d'Annette Bening et Matt Damon. Le Dernier exorcisme : Part II (2/10) : Ashley Bell fait ce qu'elle peut pour sauver un scénario en panne totale d'inspiration. La grande belleza (7,5/10) / De la dolce vita au dernier Sorrentino, une seule certitude : les personnages changent mais Rome est éternelle. Cheba Louisa (2,5/10) : Un téléfilm communautaire formaté aux bons sentiments. Le grand méchant loup (4/10) : Comédie molle du genou ou l'humour dépasse rarement la "private joke" ( mais Charlotte Le Bon a de jolies fesses) Paris à tout prix (5,5/10) : L'actrice/réalisatrice a du punch et du charme : cela excuse un peu le manque de subtilité du scénario qui abuse parfois des clichés. Belle du seigneur (2,5/10) : Adaptation ampoulée du roman de Cohen dont la réalisation de roman photo ne génère aucune empathie envers les personnages. Les salauds (3/10) : Film puzzle qui passe son temps à se regarder le nombril : lent, glauque et complétement vain. Les coquillettes (1/10) : Nous prend pour des jambons ... Sous le figuier (3,5/10) : Si Gisèle Casadesus est attendrissante, l'histoire enfile des banalités assez ennuyantes. Monstres academy (6/10) : Plaisant à regarder mais une créativité un peu ronronnante. Dario Argento's Dracula (3/10) : terriblement ringard. La grande boucle (2,5/10) : Entre une pub Lesieur et une pour Cochonou, résolument le maillot jaune de la comédie franchouillarde de l'année. Cet été-là (5,5/10) : Si il n'atteint pas la justesse du monde de Charlie pour aborder le mal être adolescent, en grande partie à cause d'un scénario rabâché, le film s'accorde malgré tout quelques passages assez touchants.

Blackbird (7,5/10) : Un regard plutôt bien vu sur les tourments adolescents servi par une interprétation remarquable. Zaytoun (4,5/10) : Une première partie assez prometteuse puis on tombe dans la facilité du bon sentiment à la pelle à travers des péripéties assez improbables. La Sirga (5/10) : A l'image des personnages, le spectateur attend dans la contemplation de paysages (superbement filmés) que le récit veuillent bien avancer. En vain. Vanishing Waves (5/10) : Pas mal de longueur et de maladresses mais quelques fulgurances esthétiques et sensorielles qui lorgnent parfois vers Kubrick et Tarkovski. Le Hobbit : la Désolation de Smaug (6/10) : Plus rentre dedans que le premier épisode mais toujours pas mal de remplissage et une empathie pour les personnages qui attend la dernière minute du film pour enfin apparaitre. Aya de Yopougon (6/10) : L'animation est assez pauvre bien que joliment colorée, l'histoire assez touchante mais un peu édulcorée. Le loup de Wall Street (8/10) : Une farce aux excès magnifiques et un Di Caprio phénoménal de bout en bout. Don Jon (4/10) : Casting alléchant mais un récit qui a du mal à décoller et devient vite répétitif. Jeune et Jolie (6/10) : La mise en scène est élégante, l'actrice d'une beauté fascinante ; mais le film esquive tout et finalement ne dit pas grand chose. Les apaches (4,5/10) : La face cachée de la Corse à travers le récit d'un fait divers morbide : l'ambition est louable mais un récit confus et des acteurs amateurs mal à l'aise n'aident pas à rentrer dans le film. Players (3,5/10) : Mécanique et pas franchement inspiré dans son scénario. Les amants du Texas (6/10) : Un exercice de style à la Malick, formellement remarquable, mais qui manque un peu de fond pour sortir du lot. Le majordome (5/10) : Une fresque assez didactique mais manquant terriblement de subtilité. Léviathan (4/10) : ou plein d'idées pour utiliser sa GoPro. Quelques séquences plastiquement superbes mais l'ensemble a vraiment peu de chose à raconter, peut être que ceux qui ne sont jamais monter sur un bateau trouveront l'expérience étonnante ... Percy Jackson : La mer des monstres (3,5/10) : Une saga bien lisse qui permet, au mieux, de réviser sa mythologie. The act of killing (version longue) (8/10) : Après le into the abyss de Herzog encore un documentaire hallucinant sur le mal ordinaire ou des bourreaux se mettent en scène parfois en singeant Hollywood. Déroutant et instructif sur la situation politique de l'Indonésie. The Immigrant (6/10) : Comme pour plusieurs intervenant du forum, c'est une relative déception. Pourtant ce film a plein d'atouts ( sa photographie, ses décors, ses thèmes, une Cotillard divinement belle ) et pourtant j'en sort frustré de ne pas avoir été transporté à la hauteur de Two Lovers. Sans doute trop de retenue d'une part mais aussi des personnages dont on apprend finalement peu sur leur vécu pour développer une réelle empathie. La vie d'Adèle (6/10) : je pourrais presque évoquer ici l'opposée de la principale critique du film de Gray, c'est à dire le manque de retenue : d'abord dans sa durée excessive, dans son obstination du gros plan, dans une certaine caricature des personnages (en particulier L. Seydoux trop proche du cliché lesbien ), dans ses scènes de sexe ( la première ressemble plus à une vidéo youPorn qu'à celle d'une première expérience pour le personnage d'Adèle ). Reste quand même des performances d'actrices exceptionnelles. Le congrès (6/10) : La partie monde réelle est plutôt ambitieuse et propose des pistes intéressantes qui se transforment malheureusement en "fumage de moquettes" dans sa partie animation. Capitaine Phillips (7,5/10) : Une belle mécanique de suspense et de mise en scène qui manque peut être d'un point de vue de fond plus affirmé. Thor : Le Monde des ténèbres (4/10) : Avec son esthétique au gout douteux et son scénario alambiqué, l'homme au marteau fini par être assommant. Carrie, la vengeance (2/10) : Remake aseptisé qui fait regretter le De Palma à chaque plan. Hunger games 2 (4,5/10) : Un produit calibré, sans surprises. Pas ennuyeux, mais qui se démarque peu du premier épisode. Joséphine (2/10) : Un scénario ultra réchauffé autour d'une fille à grosses fesses.

Elle s'en va (5/10) : Deneuve s'avère souvent assez touchante mais aussi parfois mal à l'aise dans des saynètes qui frôlent parfois le pathétique ( réunion des Miss France). Eyjafjallajökull (2/10) : Bêtement méchant et prévisible. Last Vegas (4/10) : Casting de luxe pour scénario gnangnan. Oh Boy (5,5/10) : Des pérégrinations berlinoises qui ont un certain charme nouvelle vague. Le procédé, cependant, a du mal à dépasser l'anecdotique. Borgman (4,5/10) : Un pamphlet anti-bourgeois qui rappelle parfois le Théorème de Pasolini. Le début du film est plutôt captivant dans sa manière de créer une ambiance oppressante mais le scénario s'enferme assez vite dans la répétition avec l’élimination gratuite de personnages secondaires.
Gibraltar (4/10) : Une histoire vraie qui génère peu d'empathie faute à scénario maladroit et une faiblesse d'écriture des dialogues.
Tip Top (1,5/10) : Rarement vu film aussi laid et déplaisant.
Parkland (6,5/10) : Jouant sur l'anecdotique mais toujours en immersion dans l'histoire, le film se révèle ponctuellement fascinant.
Le 5ème pouvoir (3,5/10) : Agaçant dans sa forme et confus dans son fond, un film qui passe à côté de son sujet.
Jimmy P. (4/10) : 2 heures de dialogues ronronnant, j'ai décroché.
Une place sur la terre (5,5/10) : Benoît Poelvoorde joue juste mais le scénario n'est pas toujours très crédible.
Grand central (5,5/10) : L'aspect documentaire sur les travailleurs des centrales nucléaires est digne d’intérêt mais l'histoire d’amour sonne trop artificielle malgré une interprétation remarquable.
You're next (4,5/10) : Un slasher qui perd progressivement de son intérêt en privilégiant par trop l'aspect ludique de son jeu de massacre.
Il était temps (6,5/10) : Une romcom qui, derrière son aspect fleur bleue, sait se montrer émouvante à travers les maladresses de son héros voyageur.
Le géant égoïste (6,5/10) : La misère sociale anglaise semble s’être figée depuis Kes : la gouaille et l'hyperactivité des jeunes acteurs ne semble trouver le répit que dans son épilogue tragique mais enfin apaisé.
Michael Kohlhaas (5,5/10) : malgré un charismatique Mads Mikkelsen, l’extrême austérité de la réalisation n'aide pas à se sentir concerné par la quette de justice du héros.
Le jour attendra (2/10) : Tout sonne faux dans ce polar à la sauce "Truands" malgré un bon casting de second rôle.
All is lost (7/10) : Le concept n’évite pas quelques longueurs, mais Robert Redford est impeccable en "Mac Gyver" des mers.
Rush (6,5/10) : Un récit linéaire cumulant l'essentiel de l'émotion dans l'accident de Nürburgring. Reste une reconstitution plutôt soignée des circuits des années 70-80.

La stratégie Ender (4/10) : Le propos n'est pas sans intérêt mais la forme, souvent kitch, ne le sert pas.
Landes (6/10) : Costumes et photographie sont impeccables ; dommage que la dramaturgie manque d'audace pour rendre force à ce singulier portrait de femme.
Diana (3,5/10) : Malgré les efforts louables de Naomi Watts pour incarner son personnage, le scénario sans relief n'aide pas à éviter l'ennui grandissant tout au long du film.
Insidious 2 (6/10) : Quelques passages efficaces même si ça sent parfois le réchauffé.
Evasion (4/10) : Rocky et Schwarzy sont dans un bateau
La confrérie des larmes (3,5/10) : Capillotracté.
Chaque jour que dieu fait (6,5/10) : une comédie italienne pleine de fraicheur autour du désir d'enfant.
Djeca, enfant de Sarajevo (4,5/10) : Avec trop de séquences répétitives, le traumatisme de la guerre n’émerge que de façon superficiel.
Metro Manilla (5/10) : Assez réussi dans son aspect documentaire le film se perd quelque peu lorsqu'il aborde le thriller.
Tirez la langue, mademoiselle (4/10) : Un film de tâtonnement : ponctuellement émouvant, globalement ennuyeux.
Le cœur des hommes 3 (4,5/10) : Quelques blagues macho et pas mal de réchauffé.
Gare du Nord (2,5/10) : Un mélange docu-fiction assez vite lassant, je me suis endormi avant le terminus.
Au bonheur des ogres (4/10) : Un casting plutôt attachant mais un mélange de genre qui ne ressemble pas à grand chose.
Les garçons et Guillaume, à table (4/10) : Mérite certainement un Molière d'interprétation mais cette adaptation narcissique ne m'a ni émue ni amusée.
La bataille de Solférino (3,5/10) : Malgré Macaigne, un scénario en roue libre pour un résultat plutôt vain.
Les conquérants (5/10) : Le rythme est loin d'être maitrisé, mais le film dégage un côté "Indiana Jones" burlesque assez sympathique.
9 mois ferme (6/10) : Kiberlain est brillante, Dupontel fait du Dupontel. Globalement plaisant mais quand même un peu léger dans son scénario.
Angélique (3,5/10) : Lanvin s'en sort pas mal, c'est à peu prêt le seul.
A touch of sin (8/10) : Une vision assez implacable de l’ultralibéralisme à la chinoise avec des sursauts de violence toujours surprenants.
En solitaire (4/10) : Malgré les efforts de F. Cluzet, la dramaturgie dépasse rarement celle d'un reportage de Thalassa : reste à compter consciencieusement les nombreux logos de l'envahissant sponsor du film.
Quai d'Orsay (6/10) : Globalement amusant, souvent brillant et quand même un peu soulant.
Violette (3/10) : Une approche trop clinique et une longueur inutile rendent le film profondément soporifique.
La vénus à la fourrure (7/10) : Un peu déçu par son épilogue, mais le film reste globalement jubilatoire grâce à son fascinant duo d'acteurs.


Fonzy (4/10) : Le film n'est pas foncièrement mauvais, mais reste une pâle photocopie de l'original québécois.
Heimat (8,5/10) : Autant éblouissant dans sa forme (première partie) que dans sa dramaturgie (seconde partie), le film s'impose à la fois comme une œuvre d'art et comme une reconstitution saisissante de la vie paysanne au XIXème siècle.
Il était une forêt (4,5/10) : Gâché par des incrustations numériques envahissantes.
Amazonia (6/10) : Un récit un peu lassant compensé par la découverte d’espèces animales étonnantes.
Sur le chemin de l'école (6/10) : Des paysages superbes mais un reportage parfois trop scénarisé.
Belle et Sébastien (7/10) : C'est forcément naïf mais respectueux de la série originale et générateur de pas mal de nostalgie.
Les interdits (5/10)
Je fais le mort (4/10) : Comédie policière qui arrive assez vite au bout des ses munitions comiques : cela donne un tout assez laborieux.
La vie domestique (7,5/10) : Un portait d'une grande justesse, source de tension et de mélancolie et des actrices remarquables.
Un château en Italie (2,5/10) : Un caprice de riche purement insupportable.
The lunchbox (7/10) : une relation épistolaire emprunte de nostalgie et un regard assez pessimiste sur la modernité.
Blood ties (6/10) : Malgré son casting de choix, sa b.o. jukebox et une reconstitution soignée, un remake qui ne se justifie pas vraiment ; les liens du sang de Maillot respirait plus la sincérité.
Le mur invisible (7/10) : Même si les images (superbes) sont parfois un peu trop illustratives, on se laisse porter par ce texte en voix-off et la belle présence de Martina Gedeck qui porte seule ce conte philosophique aux frontières du fantastique.
Mon âme par toi guérie (6,5/10) : Une histoire de cabossés de la vie servie par un très beau casting. Dommage que la fin manque de consistance et que l’accompagnement musical ne soit pas toujours du meilleur gout.
Zulu (6,5/10) : Pas toujours subtil mais d'une efficacité remarquable.
Avant l'hiver (6/10) : Le scénario manque un peu de substance mais l'interprétation est remarquable pour un film qui n'est pas sans rappeler les œuvres de Sautet.
Suzanne (7/10) : Le scénario force parfois sur le pathos mais l'interprétation est remarquable.
100% cachemire (2/10) : 100% raté.