Mini-critiques des sorties cinéma

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jeudi, octobre 19 2017

sorties 2015

L'interview (4,5/10) : Une comédie potache loin d’être subversive.
Pioneer (5,5/10) : Un thriller claustrophobe qui aurait pu être plus percutant
Une merveilleuse histoire du temps (6/10) : Un mélo un peu long, sauvé par son interprétation.
Imitation game (7/10) : Un biopic original et souvent passionnant dans son récit.
Cops - Les Forces du désordre (2/10) : Un 21 Jump Street du pauvre, potache et lourdingue.
Wild (6/10) : De beaux paysages et une multitude de flashbacks qui rallongent parfois utilement un scénario sans grande surprise.
Someone You Love (6/10) : Un mélodrame danois qui aurait pu être un peu plus bouleversant malgré son casting solide et une bande son soignée ( on pense à L. Cohen ).
Le chaos (DTV) : (2/10) Pour un film catastrophe, c'est effectivement une catastrophe. Nicolas Cage en pilote de ligne dans un scénario au ras des pâquerettes.
Captives (5,5/10) : Si l'on retrouve l'ambiance enneigée de De beaux lendemains, la comparaison s’arrête un peu là. On est plutôt dans une sorte de sous Prisoners avec pas mal de points communs ( le rôle de la police, notamment ) mais une intrigue en flashback pas toujours lisible, des épisodes peu crédibles, et un épilogue vite expédié. Dommage parce qu'il y avait du potentiel, notamment au niveau du casting ( l'excellente Mireille Enos ).

jeudi, juillet 17 2014

sorties 2014

Le village de carton (6/10) : Une allégorie un peu trop théâtrale sur le drame des migrants servie par un très juste Michael Lonsdale.

Dallas Buyers Club (6/10) : Les performances du couple McConaughey/Leto écrasent un peu une histoire de survie qui aurait pu s'avérer plus touchante.

Hemel (5/10) : Une photographie soignée pour un portrait de femme-enfant torturée pas vraiment convainquant.

Match retour(4,5/10) : C'est souvent à la limite du grotesque voir du pathétique mais quelques numéros de cabotinage font quand même sourire. Reste que la plus grosse surprise du film est de se rendre compte que Kim Basinger a 60 balais et en paraît 20 de moins.

The garden of words (DTV) (7/10) : L'animation est éblouissante, l'histoire pêche parfois d'un excès de romantisme mais reste attendrissante.

Les brasiers de la colère (6/10) : Une galerie de personnages qui bénéficie d'un casting exceptionnel mais le scénario reste trop prévisible pour marquer durablement.

The Spectacular now (6,5/10) : Dans la lignée du Monde de Charlie sorti l'année dernière, un récit initiatique qui vaut surtout pour ses deux jeunes acteurs au diapason et à quelques thèmes, comme l'alcoolisme des jeunes adultes, rarement abordés.

Du sang et des larmes (4/10) : C'est immersif pendant 20 minutes mais entre une introduction hyper longue et une conclusion "sortons les violons" il y a des situations de combats digne d'un jeu vidéo en mode vie infini ( Ah! ces gamelles dans les rochers à faire rêver un Schumi ) et on a du mal à prendre le film au sérieux.

Lovelace (4,5/10) : Un biopic trop aseptisé pour surprendre.
Fruitvale station (5/10) : L'interprétation est remarquable, mais la façon dont le fait divers est présenté manque quelques peu de distance.

Drug war (DTV) (7,5/10) : Une mise en scène d'une fluidité assez époustouflante.

Byzantium (DTV) (6/10) : Un scénario un peu tiède compensé par un duo d'actrices fort plaisant.

L'île des Miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2 (5/10) On dirait parfois une longue pub Oasis, la surprise venant essentiellement de l'originalité des monstres alimentaires.

Gloria (7/10) : un émouvant portrait de femme, mélancolique et plein de vie, dominé par la performance de son actrice principale Paulina Garcia.

Hipótesis (6/10) : l'exercice de style est un peu téléphoné, heureusement il y a l'impeccable Ricardo Darin.

American Bluff (7/10) : Le scénario finalement assez vain est largement compensé par la précision de la reconstitution, une BO. qui fait mouche, et les décolletés d'Amy Adams qui, à eux seuls, justifient le déplacement.

La voleuse de livres (6,5/10) : Peut être un peu scolaire dans son traitement mais le casting est plaisant.

Viva La liberta (7/10) : Plaisant pamphlet politique qui vaut surtout, encore une fois, pour la prestation de l'immense Toni Servillo.

Homefront (4,5/10) : Un scénario au minimum syndical, quelques seconds rôles offrent un peu d'originalité.

12 years a slave (7,5/10) : Grâce à son interprétation sans faille, un film qui participe à l'édifice du devoir de mémoire, même s'il n'en constitue pas la clé de voute.

Philomena (8/10) : Sobre et touchant.

Week-end à Paris (6,5/10) : On a un peu l'impression de se retrouver dans la suite, 15 ou 20 ans après, de la trilogie de Linklater ( ressemblance assez étonnante d'ailleurs entre Julie Delpy et Lindsay Ducan ) : dialogues ciselés, complicité émouvante entre les 2 personnages. Mais le film n'offre pas le même charme et perd en intensité lorsqu'il se laisse emporter par le côté carte postale parisien.

Dans l'ombre de Mary (6,5/10) : L'histoire joue sans doute un peu trop sur l'aspect mélodramatique du passé de l'auteur de Mary Poppins, mais l'interprétation et la reconstitution sont tout à fait remarquables ( et surtout ne pas manquer les étonnants enregistrements d'époque ( pas ceux de Buisson :fiou: ) diffusés pendant le générique de fin ).

Only lovers Left Alive (7/10) : un trip warholien : un peu poseur mais résolument rock'n roll.

How I live now (5,5/10) :Une adaptation un peu fauchée d'un roman de jeunesse qui devrait plaire aux fans de Hunger Games. Si l'histoire d'amour adolescente ne convainc pas vraiment, quelques fulgurances d'un scénario post apocalyptique et surtout la belle présence de Saoirse Ronan rendent l'ensemble assez honorable.

Closed circuit (4/10) : thriller paranoïaque confus et pas très crédible.

Her (8/10) : la romcom la plus troublante depuis Eternal Sunshine

The Canyons (4,5/10) : Les prestations de Lindsay Lohan et James Deen sauvent un peu un scénario souvent creux et ennuyant.

Valse pour Monica (6/10) : Un biopic sans grande originalité, le charme opérant essentiellement grâce à sa reconstitution minutieuse des années 60, sa musique jazzy, et surtout la beauté scandinave de son actrice principale.

Dark touch (5/10) : La façon d'aborder la maltraitance des enfants est originale mais le scénario manque de surprise.

La Vie Secrète de Walter Mitty (5,5/10) : Le film m'a rattrapé sur la fin, c'est dire s'il est raté pendant une grosse partie.

Un été à Osage County (5,5/10) : Des numéros d'acteurs, mais une ambiance tellement pesante qu'elle étouffe toute empathie.

All about Albert (6,5/10) : Une comédie attachante, faute d'être inoubliable, qui vaut essentiellement pour son excellent casting.

Real(6,5/10) : Bien q'un poil trop long, un conte labyrinthique qui offre quelques jolis moments poétiques.

300 : Naissance d'un empire (3/10) : Avec son esthétique boursouflée et ses acteurs au charisme de joueurs de Ligue 2, on frise l'incident industriel.

Nebraska (7/10) : Road movie un peu long à se mettre en place mais son regard mélancolique sur la destinée fini par être touchant.

47 Ronin (6/10) : Assez bancal mais pas inintéressant.

Non stop (6/10) : Le scénario est improbable mais suffisamment ludique pour y trouver un certain plaisir.

Monuments men (2,5/10) : Tous ça est tellement amorphe qu'on finit par s'en foutre comme de l'an de 40 de cette histoire qui au départ paraissait prometteuse.

Casse tête chinois (7,5/10) : Une trilogie réussie.

Computer chess (4,5/10) : Si le concept est original et parfois capable de quelques fulgurances, on s'ennuie quand même beaucoup.

Heli (6/10) : Frontal, sans doute un peu trop gratuit dans sa violence, mais formellement remarquable

Suneung (5/10) : Une dénonciation du système scolaire coréen un peu trop alambiquée pour convaincre.

The best offer (7/10) : une œuvre raffinée pour un scénario plutôt intelligent.

Tom à la ferme (3/10) : Du cinéma d'enfant gâté : je touche à tout, je fini rien.

Yves Saint-Laurent (3,5/10) : Joliment ennuyeux.

Man of Tai Chi (4/10) : Une première réalisation de K. Reeves qui ne brille pas par sa finesse, ni son invention. Reste quelques combats sympathiques dans leur chorégraphie.

Last days of summer (7/10) : Drame tendu qui fait parfois penser à "Sur la route de Madison" de Eastwood. Interprétation magistrale de Kate Winslet au potentiel fortement érotique ( je reprendrais bien de la tourte aux pêches, moi ... :uhuh: ).

Deux jours, une nuit (8,5/10) : Les frères Dardenne mettent en scène la force du désespoir grâce à une Marion Cotillard d'une justesse remarquable. Film du mois.

Ton absence (5,5/10) : Une chronique sentimentale dans les années 70 sur fond de libération sexuelle et artistique : beaucoup de cris mais peu de nostalgie.

Mea culpa (4,5/10) : Dans la lignée d' « A bout portant » pour son sens de l'action, le film désamorce pourtant l’essentiel de sa tension par une accumulation de situations invraisemblables.

Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire (5,5/10) : Quelques gags inspirés, mais cette histoire racontée façon Little Big Man tombe un peu trop dans le répétitif autour de dynamite et d'aquavit.

R (6/10) : Sorte de "un prophète" danois à l'interprétation sans faille mais à la radicalité parfois pesante.

Minuscule (6/10) : Des trouvailles burlesques sympathiques et aussi un peu d'ennui.

X-men : Days Of The Future Past (2D) (7/10) : Du blockbuster intelligent avec un casting bien équilibré.

Ida (6,5/10) : Formellement superbe, mais le parti pris esthétique prend un peu trop le dessus sur l'implication dans l'histoire.

Nymphomaniac V.2 (4/10) : Le V.1 maintenait un certain mystère, ce V.2 se complait dans une provocation souvent lourdingue.

A coup sûr (2/10) : Mal écrit et absolument pas crédible, Laurence Arné reste trop proche de son personnage de Workingirls.

Prêt à tout (1,5/10) : Une vision sociale qui date de 40 ans et des dialogues paresseux, dommage pour Aïssa Maïga qui mérite mieux que cette guimauve télévisuelle.

3 days to kill (4,5/10) : Le casting sauve un peu un scénario abracadabrantesque.

Blackout total (4/10) : A part constater qu'Elizabeth Banks est vraiment bien gaulée, pas grand chose à retirer de ce "Very Bad Trip like" nunuche.

Piégé (4,5/10) : Plutôt bien filmé mais un scénario qui a les limites de son concept.

Welcome to New York (5,5/10) : Un do-cul fiction qui vaut surtout pour un Depardieu énorme (dans tous les sens du terme).

Robocop (5/10) : A l'image de son personnage : costaud mais désincarné.

Charlie Countryman (4,5/10) : Quelques bonnes idées mais l'omniprésence de Shia LaBeouf finie par lasser.

d'une vie à l'autre (6,5/10) : Un mélange subtil d'espionnage et de drame social plutôt bien maitrisé.

The Ryan initiative (4/10) : Tentative de reboot plutôt ratée faute à une intrigue pauvre en rebondissement et à des personnages en manque de consistance.

Pompéi (3,5/10) : Aussi spectaculaire qu’instantanément oubliable.

Arthur Newman (5/10) : Des thèmes survolés dans un rythme inégal. Reste le charme de Emily Blunt et la tête de Droopy de Colin Firth.

Joe (6/10) : Le scénario a un peu trop un air de "déjà vu" pour captiver totalement mais le casting, Nicolas Cage et le jeune Tye Sheridan en tête, reste convainquant.

The baby (3/10) : Sorte de Rosemary's baby version found footage, le film loupe à peu près tous ses effets, à part peut être nous donner la nausée histoire de se rapprocher de son héroïne enceinte.

Nymphomaniac Vol.1: (5/10) Bizarre et un peu ennuyeux.

Jamais le premier soir (2,5/10) : particulièrement insipide.

Belle comme la femme d'un autre(2,5/10) : Médiocre vaudeville.

Les grandes ondes (4/10) : Pas accroché à cet humour décalé dans le style de la fille du 14 juillet.

Dom Hemingway (6/10) : Sacrée performance de Jude Law, dommage que le scénario ne suive pas.

Les rayures du zèbre (5,5/10) : Un humour cynique qui fonctionne par intermittence, l'ensemble restant, par trop, caricatural.

Jacky au royaume des filles (3/10) : Une idée de départ originale transformée en pochade assez lourde et visuellement laide.

The grand Budapest hotel (6,5/10) : Aussi brillant que Moonrise Kingdom mais beaucoup moins touchant.

Edge of Tomorrow (7/10) : Film plutôt malin à la mise en scène bien dosée.

Un amour sans fin (2/10) : Une guimauve inoffensive.

Supercondriaque (3,5/10) : Essentiellement basé sur le jeu grimaçant de D. Boon, le film montre vite ses limites

Le crocodile du Botswanga (4/10) : Parfois incisif mais se laisse aller à la facilité.

La belle et la bête (5,5/10) : Une profusion d'effet spéciaux qui rendent l'ensemble plutôt lisse.

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