Lord of war (6,5/10) Un film constat qui prend le prétexte d'un trafiquant d'armes pour brosser une vision mi-cynique mi-désabusé sur les pratiques des pays industrialisés. Nicholas Cage, en personnage chaméléon, nous offre une prestation remarquable ; mais le scénario, à force de botter en touche en assénant des vérités convenues, perd l'enjeu du film "coup de poing" en se limitant au distractif plutôt qu'à l'informatif. (6,5/10)

Bad news bears (3/10) : Ce remake poussif qui s'étalle sur prêt de 2 heures utilise pourtant beaucoup de ficelles qui fonctionnaient dans "Rock academy", autre film de Linklaker. Malgré un scénario écrit par l'auteur de "Bad Santa" rien ne prend ; Thorton est absolument transparent et pas très crédible en coach alcoolique, quant à l'histoire de formation d'une équipe de base-ball à partir d'une bande de branquignoles elle est d'une banalité affligeante et 1000 fois vue. Largement dispensable.

Basket academy(Rebound) (1/10) : Un pitrerie sportive interprétée avec les pieds qui touche le fond du panier (de basket).

Jarhead (7/10) : Avec ses nombreuses références ( Full metal, Apocalypse, etc ... ) Jarhead débute de façon peu original, accumulant quelques fois les clichés, puis peu à peu le scénario s'en détache pour finaler trouver sa conclusion bien à lui et le rendre attachant.

La crypte (3,5/10) : Une série B sans surprise qui ne tient pas 3 secondes la comparaison face à the descent, faute d'acteurs inspirés et d'un scénario réduit au minimum syndical.

Le boss (2/10) : Un buddy movie au ras des paquerettes dont on cherche encore le scénario. S. Jackson est visiblement la pour cachetonner et EL Levy horipile dès qu'il ouvre la bouche. Epuisant.

La rumeur court (4/10) : Comédie sentimentale gentillette et vite oubliée.

Les dames de Cornouailles (5,5/10) : Un scénario qui fait penser à l'affaire de "Piano man" mais ne ménage aucun suspens. De belles images, une belle musique, mais le tout reste vraiment trop fade et aussi inoffensif qu'une tasse de tilleul pour vraiment nous émouvoir. Ceci dit, ca ne manque pas d'un certain charme grâce à une interprétation de haut niveau et à la présence de la belle Natascha McElhone.

Hostel (5/10) : Un film de malade qui commence comme une pochade American Pie et fini dans un sadisme parfois éprouvant. Gratuit.

Nanny Mc Phee (6/10) : Sorte de Mary Poppins brouillon, parfait pour les -10 ans, les autres s'ennuient un peu.

Incontrôlable(0,5/10) : Peut concourir pour les bidets d'or durant les 10 ans qui suivent. Pittoyable.

Underworld 2(3/10) : Plus de gore, plus d'action et moins de scénario, profondément ennuyant.

L'affaire Josey Aimes(6,5/10) : Un film de procès des plus classique mais les interprétations de Theron et Mc Dormand sont touchantes et à la hauteur du sujet abordé.

Dérapage(4,5/10) : Owen sauve à peine un scénario ultra-prévisible et au message douteux et Cassel reprend son rôle de méchant entamé dans Ocean 13.

La panthère rose(3/10) : Un épisode du niveau des plus mauvais de la série ou Steve Martin n'est qu'une pâle caricature de Peters Sellers. Inutile.

La peur au ventre(4,5) : Un thriller au goût douteux, parfois prenant parfois extremement ridicule.

Good night and good luck(6,5) : Une mise en scène superbe pour un récit assez complexe qui manque parfois d'explication afin qu'on s'y passionne complétement.

The woodsman(7,5) : Un rôle en or pour Kevin Bacon qui joue de son ambiguïté pour tisser une interprétation bouleversante et hors des clichés.

Truman Capote (6,5/10) : Servi par un impressionnant P. Seymour-Hoffman, un film à la réalisation parfois académique qui s'attarde sur une description chirurgicale du personnage en prenant le risque de laisser le spectateur un peu sur le bord de la route.

Destination finale 3 (4/10) : Malgrè une certaine efficacité dans ses scènes d'action, le manque total d'originalité et le scénario sans ambition en font un produit jetable et vite oublié.

Bandidas (2,5/10) : Scénario d'un vide abyssale, un film dont le seul interêt est le duo explosif Hayek-Cruise qui surenchère en opération de charme.

Separate lies(5,5/10) : Une chronique de moeurs engoncée dans un académisme pesant malgré la belle prestation du couple Emily Watson - Tom Wilkinson.

Firewall (4/10) : Affublé d'un scénario d'une banalité affligeante et d'un Harrison Ford à la limite de l'essouflement, le film est parfois involontairement loufoque tant les pseudo-techniques informatiques présentées sont consternantes d'irréalisme.

16 blocs (4,5/10) : Sans réelle imagination, un polar qui se déroule tranquille, sans bousculer personne, à l'image de son héros vieillissant. Pas ennuyant, mais loin d'être inoubliable.

Romanzo criminale (7,5/10) : Même si l'emballage tire parfois un peu trop sur le téléfilm, le contenu reste passionnant grâce à son mélange subtile de romantisme et de violence, à l'image du classique "Il était une fois en Amérique" de S. Léone. Une bouffée d'air frais de la part d'un cinéma italien moribon qui offre également un beau juke-box seventies comme accompagnement musical.

Inside man (7/10) : Une réalisation musclée avec des nombreux rebondissements et une trame narrative efficace malgré une tendance à frôler parfois le cliché. On pense au classique de Lumet 'Un après-midi de chien", bien que les personnages restent un peu plus superficiels et que la fin perde beaucoup en intensité. Un bon divertissement.

The Fog (3/10) : Un énième remake superflu qui n'ajoute rien à l'original faute d'un scénario totalement fade et d'une interprétation insipide qui passe à côté de tout suspense.

Basic Instinct 2 (3,5/10) : Sharon Stone a de beau reste ... ce n'est pas le cas du scénario aussi émoustillant qu'un épisode d'Hollywood Night ou l'on cherche désespérement l'intérêt par rapport au premier épisode.

La doublure (4,5/10) : Bien que meilleur que "tais-toi", les dernières aventures de François Pignon décoivent sur la longueur : le casting féminin rivalise de charme, on sourit parfois mais le héros reste bien terne et n'arrive pas à la hauteur d'un personnage loufoque comme celui précédemment interprété par Pierre Richard.

L'âge de glace 2 (6,0/10) : L'humour est au rendez-vous bien que l'histoire peine un peu à se renouveller, le scénario étant bien plus enfantin que le premier opus.

Rent (4/10) : Une comédie musicale à la mise en scène soignée mais à l'émotion bien trop diffuse, noyée par la profusion de passages chantés qui ne permettent pas de rentrer dans l'histoire. Belle prestation de Rosario Dawnson, formidablement sexy.

Sophie Scholl les derniers jours (8/10) Derrière la grande sobriété de la mise en scène, on se passionne pour le combat désespéré de ces jeunes resistants devant la machine idéologique nazi. Dire que l'interprétation est à la hauteur du récit historique est un euphémisme.

V pour Vendetta (7,5/10) : Vision d'un futur proche totalitaire, un film qui propose enfin une adaptation de BD réussie. Grâce à une scénario en béton qui s'éloigne de la logique blockbuster un film qui tient la route même si le message fort relègue parfois l'interprétation au second plan. Une réussite.

Horribilis (6/10) : Sans renouveller le genre, un film d'horreur qui s'en sort avec les honneurs grâce à ses pointes d'humour décallé et une gallerie de personnage assez barges.

Burt Munro (5,5/10) : Malgré un Anthony Hopkins impérial un film plutôt inoffensif qui fini par s'enliser dans une surdose de bons sentiments.

Antartica, prisonniers du froid (5/10) : Un remake américanisé mal servi par ces acteurs humains ou seuls les épisodes avec les chiens apportent une véritable émotion dans le récit de l'aventure.

April snow (7/10) : Un film qui semble tellement prendre son temps, faire les choses avec tellement de delicatesse, qu'au premier abord il laisse une impression de mélodrame un peu glacé. Mais au générique de fin reste ce petit pincement au coeur preuve d'un film qui ne s'oublie pas facilement. Touchant.

Veer-Zaara (7/10) : Du Bollywood à son meilleur qui n'hésite pas une incursion vers le message politique même si celui-ci est parfois un peu partial. Du grand spectacle.

Jean-Philippe (6/10) : Un grand numéro de Lucchini et un "Jaunie" qui assume la dérision du scénario. Dommage que l'épilogue se transforme un peu trop en hommage à "l'idole des jeunes".

Breakfast on Pluto(5,5/10) : Porté par un Cilian Murphy omniprésent, un film qui oscille entre délire queer et gravité politique sans vraiment trouver son poin d'équilibre. Malgré une bande son juke box 70, on finit par se désinteresser d'une histoire qui traine en longueur.

Playboy à saisir(4/10) : Rien de neuf dans cette comédie américaine vague copie de Tanguy. Sans surprise mais malgré tout distrayant.

Sexy movie(3/10) : Comment faire plus lourd plus gras que les originaux ? C'est le challenge de cette parodie qui ne fonctionne que comme une suite de gags affligeants.

Une famille 2 en 1 (3,5/10) : Malgré la présence de Denis Quaid, une comédie poussive à réserver éventuellement aux jeunes ados pour son humour prépubère.

Silent Hill (4,5/10) : On ne peut reprocher l'esthétisme de l'entreprise et la qualité des effets spéciaux mais derrière l'artifice reste une série B, sorte de Fort Boyard de l'horreur, avec des étapes sans grande tension, des candidats plutôt fades, et un scénario improbable on l'on finit par attendre la fin de la clepsydre.

El Lobo (5/10) : Sujet original mais une mise en scène plan-plan et un jeu d'acteurs rarement convainquant finissent par rendre l'histoire ennuyante.

C.R.A.Z.Y (6,5/10) : Malgré une VO québequoise parfois difficile à suivre et quelques disgressions un peu inutiles qui allongent inutilement le film on est touché par ce scénario très bien filmé oscillant entre comédie et drame. L'interprétation est très juste et la ballade musicale qui accompagne le tout extrémement bien choisie.

Mortuary (2/10) : On a du mal à imaginer que le réalisateur de Poltergeist ou Massacre soit derrière ce .... massacre. On se croirait dans un épisode de "plus belle la vie" version parodie de l'horreur. Bref c'est tellement ridicule dans l'interprétation, dans les effets digne du "train fantôme" dans le scénario portenawak et dans les moyens à 3 bouts de ficelle que tout ça ressemble à un délire de collégiens s'essayant au cinéma de genre.

El aura (6,0/10) : Esthétique et maitrisé, un polar qui manque pourtant de rythme pour captiver jusqu'au bout.

13 tzameti (6,0/10) : Un scénario choc qui met mal à l'aise mais qui aurait pu se contenter d'un format moyen métrage tant il met du temps à démarrer. On pense parfois à Melville mais il manque une véritable direction d'acteur dont le jeu sonne un peu faux pour certains pour en faire un chef d'oeuvre.

Madame Henderson présente (6,5/10) : La mise en scène plutôt académique et le manque d'épaisseur dans le scénario sont sauvés par d'excellents acteurs dont la superbe Kelly Reilly et des dialogues plutôt de haute tenue.

Mission Impossible 3 (6,5/10) : On passera sur le côté abracadabrantesque de l'histoire pour saluer un film efficace dans son action et narcissique dans son personnage tellement Mister Tom Cruise occupe l'espace visuel et scénaristique en multipliant les références à sa vie personnelle ultra-médiatisée.

A bittersweet life(6,5/10) : Techniquement brillant, une réalisation qui compense un scénario un peu faible par une surenchère de violence jouissive. Manque juste un petit supplément d'âme pour s'élever au niveau d'un old boy.

Secrets de famille(5,5/10) : Petite comédie anglaise à l'humour noir sous-exploité. Cela reste un peu gentillet mais l'interprétation impeccable sauve le tout de l'ennui poli.

X Men 3(6/10) : Le feu d'artifice d'effet spéciaux réjouis mais l'émotion reste au vestiaire tant le scénario semble mal inspiré et les personnages en manque total de profondeur.

Da Vinci Code(5/10) : Entre une réalisation qui oscille entre le docu-fiction et le téléfilm allemand, des acteurs principaux en panne d'inspiration, difficile d'être vraiment enthousiaste pour ce film qui s'éfforce malgré tout d'être fidèle au roman original.

Camping(5,5/10) : Une comédie qui, au dela des clichés beauf, arrive à établir une description sociologique assez crédible du microcosme estival. Pas très inventif mais malgré tout assez sympathique.

Volver(7/10) : Sans atteindre l'émotion de "Parle avec elle", Almodovar brosse un beau portrait de femmes dont la grande gagnante est Pénélope Cruz qui se révellle ici dans une interprétation magistrale.

OSS 117, le Caire nid d'espion(7/10) :Une comédie joliment décallée et très bien mise en scène ou Dujardin est très à son aise.

Edison (2/10) : Malgré des grosses pointures au casting, un ratage complet autant au niveau réalisation qu'interprétation, une accumulation de clichés qui feraient passer un épisode d'Hollywood Night pour un chef d'oeuvre.

Reeker (3,5/10) : A de rares scènes près, un slasher au scénario alambiqué ou l'on s'ennuie souvent.

Ultraviolet (2/10) : Dans la lignée d'aeon flux, un film au scénario minable avec des effets clips et une interprétation evanescente. Inutile.

Transamerica(6/10) : Road movie initiatique dont la prouesse est de nous présenter une aventure plutôt 'borderline' avec beaucoup de finesse. L'interprétation de Felicity Huffman est exceptionelle, dommage que le scénario manque un peu de rythme et de profondeur

Hooligans(4/10) : Malgré une interprétation souvent à la hauteur, un film qui déçoit par son scénario improbable et son discours à l'analyse psychologique plutôt douteuse.

Poseidon (4,5/10) : Avec ses effets spéciaux plutôt réussis, un film catastrophe qui oublie que l'émotion passe aussi par l'interprétation, ici aux abonnés absents. On ne s'ennuie pas mais ça reste sans surprise.

Scary Movie 4 (4/10) : Toujours dans la même lignée parodique, avec ici quelques bonnes trouvailles (Ipod), une comédie qui ne fonctionne que si l'on connait par coeur les originaux.

La colline a des yeux (7/10) : Avec une mise en scène parfaitement maitrisée, un survival à l'horreur crasse, efficace et réaliste, qui fait honneur au modèle de Wes Craven

La rupture(4/10) : Comédie sans imagination avec un scénario mou du genou et jamais crédible.

Metal, voyage au coeur de la bête (6,5/10) : Excellent reportage sur le phénomène métal, plutôt instructif pour les novices, qui ne manque pas d'humour. Une réalisation peut être un peu scolaire, et quelques fois un peu superficielle dans la multitude de points de vue traités mais un témoignage sociologique original.

Tristan & Yseult (6/10) : Sans crier au chef d'oeuvre, un long métrage qui tient la route avec son mélange de romantisme à l'ancienne et ses quelques morceaux de bravoure. Une production Ridley Scott assez honorable.

Nos voisins, les hommes (6/10) : un divertissement vitaminé avec un petit message ecolo sympathique qui fonctionne sans vraiment surprendre.

Les Berkman se séparent (5/10) : Une comédie au goût amer qui reste malgré tout superficielle malgré une interprétation à la hauteur de Jeff Daniels et Laura Linney.

Slevin (5,5/10) : Mise à part l'épisode romantique avec une irresistible Lucy Liu, le tout sonne un peu creux et malgré un casting de choix.

Tournage dans un jardin anglais (4,5/10) : Des idées, de l'humour, mais un bric à brac parfois ennuyant qui peine à distinguer la fiction du docu.

Terreur sur la ligne (2/10) : Scénario inexistant et séquences d'un ennui abyssal. Même la charmante Camilla Belle ne sauve pas ce navet dont la bande son artificielle est particulierement horipilante.

Vol 93 (7,5/10) : A partir de la thèse officiel de 11/9, Greengrass réalise un docu fiction extrémement prenant qui plonge le spectateur dans l'angoisse d'un hypothétique détournement. Formidable réalisation.

Fast & Furious : Tokyo Drift (2,5/10) : Jolies pépés, dérapages controlés et cerveau au placard. Rien de neuf dans ce 3 ème opus.

Camping car(3/10) : Comédie familiale poussive à l'image du véhicule, véritable héros du film, qui offre quelques sourirs et aussi quelques baillements.

The devil's reject (6/10) : Performant dans sa volonté de pousser le bouchon le plus loin possible dans le dérangeant et la provocation, Rob Zombie passe un peu à côté quand il s'agit de mettre en valeur des personnages "à tronches" et de rendre original son scénario.

Superman return (6/10) : Après une première partie assez catastrophique, le film se rattrape par une débauche d'effets spéciaux réussis. Malgré que l'on ne s'ennuie pas, il reste une impression de scénario plat et lisse, un film qui s'oublie dès le "end" final.

Stay (4/10) : Exercice de style lynchien qui malheureusement se dégonfle comme une vieille baudruche ; l'incompréhension se mélant à l'ennui, le tout débouchant sur une conclusion bancale qui déçoit.

Two for the money (4/10) : Avec une histoire de paris sportifs sans grand interet et un duo d'acteurs principaux qui rivalisent en cabotinage, il ne reste pas grand chose à retenir de ce film à part les apparitions de René Russo toutes en finesse dans un monde de brutes.

Pirates des Caraibes, le secret du coffre maudit (5/10) : Soûlant par sa multiplicité narrative, le film perd de la fraicheur et de la spontanéité du premier épisode dans une débauche d'action et d'effets spéciaux qui ne cache pas un scénario laborieux.

Little Manatthan (5,5/10) : Même si le ton est résolument "fleur bleue" il se dégage malgré tout un certain charme de cette comédie sans prétention sur les amours enfantines.

Ils(6/10) : Tentative hexagonale de slasher au suspens plutôt bien maitrisé, dommage que la direction d'acteurs et un scénario assez routinier ne suivent pas la même voie.

La vie secrète des mots(6,5/10) : Moins convainquant que "Ma vie sans moi", un film qui se cherche pour enfin culminer en émotion à travers le récit tragique de l'héroïne. De belles performances d'acteurs malgré tout.

Bleu d'enfer (4,5/10) : Un nanard de luxe avec belles pépés et superbes images sous-marines. Rafraichissant pour mettre son cerveau au repos, ici pas de neurones à activer, y'a qu'à regarder ...

Wolf Creek (5,5/10) : Pas vraiment convaincu. C'est très bien filmé ( on se croirait parfois cWolf Creek hez Van Zant ) mais le film ne décolle vraiment qu'au bout d'une heure, l'entame est laborieuse et anecdotique, ne mettant rien en place même pas une ébauche de psychologie des personnages. Reste la dernière 1/2 heure qui utilise toutes les ficelles du genre, se préoccupant peu des incohérences de situation pour faire grimper l'adrénaline, et malgré un méchant qu'on aurait aimé plus incisif. L'épilogue, estampillé histoire vraie, ajoute finalement peu de crédibilité à un ensemble quand même plaisant mais pas surprenant.

Adieu Cuba (5/10) : Préferant le détachement que l'engagement politique, Andy Garcia brosse ici un portrait de Cuba bien éloigné d'une œuvre référence comme Soy Cuba. La révolution castriste et les évènements historiques sont ici noyés dans une épopée lyrique proche d'un roman photo glacé s'étirant sur plus de 2 heures, à l'image de la belle Inès Sastre, à la fois distante et superficielle. Reste un bel hommage à la culture cubaine et en particulier à la musique salsa omniprésente qui apporte un peu d'émotion à un ensemble pas très consistant.

Miami Vice (7/10) : Réalisation brillante, un spectacle qui ne déçoit pas sans pour autant eclipser les oeuvres précédentes du réalisateur.

Brick (6/10) : Mélangeant habilement les genres, du thriller glauque au teen movie sous ectasy, Brick est un exercice de style audacieux qui pêche cependant d'une longueur excessive et d'un scénario quelque peu confus. L'acteur principal est le véritable atoût d'un film qui aurait mérité un chouia d'humilité pour accéder à l'excellence.

Fauteuils d'orchestre (5,5/10) : Film choral qui ne vaut que pour la prestation de ses acteurs (Dupontel,Lemercier), l'histoire, engoncée dans un parisianisme bobo, finie par irriter.

La jeune fille de l'eau (5/10) : En poussant loin la naïvité de son récit tout en délaissant tout suspens dans l'intrigue, le cinéma de Shyamalan atteint ici ses limites. Malgré un Paul Giamatti plutôt drôle les situations incongrues et les dialogues franchement pauvres font de ce film un objet assez terne.

The sentinel(4/10) : Série B au service minimum, du réchauffé sans surprise d'un hypothétique épisode de 24 chrono. Bof, bof ...

Vers Le Sud(3,5/10) : Loin des réussites de Cantet sur le monde du travail, ce film laisse une grande impression de vide à l'image de la vie de ces touristes bobos à la recherche de plaisirs perdus dans un pays de misère.

Des serpents dans l'avion (6,5/10) : Une série B qui assume son status de nanard en devenir grâce à uune touche de second degré à la ZAZ qui compense le grand n'importe quoi du scénario. Amusant.

Toute la beauté du monde(4,5/10) : Une guimauve en forme de carte postale de Bali qui devrait faire fondre tout coeur de midinette normalement constitué. L'interprétation et la fausseté des dialogues ne sont pas la pour arranger un ensemble qui arrive, malgré tout, parfois à émouvoir.

Demande à la poussière(3/10) : Une adaptation extrémement académique et bavarde ou Colin Farell est loin d'être convainquant. On s'ennuie ferme dans les nombreuses scène de huis-clos et seule la reconstitution des années trente est plutôt réussie.

Le maitre d'armes(6/10) : On passera sur le scénario convenu pour s'intéresser aux scènes de combats parfaitement chorégraphiées et à la tentative presque réussie de Jet Li d'introduire un peu de psychologie dans son personnage.

Love song (5,5/10) : Un mélo qui manque singuliérement de rythme attaché à une retranscription trop littérale d'une œuvre littéraire. Travolta surjoue comme bien des fois dans ses derniers films, mais deux aspects sauvent malgré tout le film de l'ennui total : Scarlett Johansson toujours aussi émouvante, juste, et belle et l'atmosphère de la Louisiane, ici parfaitement retranscrite par une mélange de musique et de couleurs.

Ma super-ex (3/10) : Un brouillon de comédie qui, malgré une idée de départ prometteuse, n'arrive pas à sortir d'une plattitude assez symptomatique des dernières productions américaines du genre ma sorcière bien aimée.

Un ticket pour l'espace(4/10) : Des gags trop rares pour une production ambitieuse. Le clinquant des moyens mis en œuvre ne cache pas la pauvreté d'un scénario convenu.

Age difficile obscur(6/10) : Suite de petites scènes touchantes ; le film manque cependant de surprises, trop enfermé dans son carcan d'un certain cinéma indépendant.

Enfermés dehors (5/10) : Dupontel excelle lorsqu'il s'agit de construire un univers cartoonesque et déjanté. Malheureusement l'insignifiance du scénario ne permet de tenir le rythme sur la durée d'un long métrage et fini par lasser.

World Trade Center (4/10) : Un début prometteur qui aurait pu faire un bon film catastrophe style la tour infernale, puis le tout se complet dans le racollage d'auto-héroïsme US. Pas étonnant que Bush ai aimé.

Les producteurs (3,5/10) : Une comédie musicale longuette à l'humour parfois déplacé. Des numéros musicaux sans plus qui ne font pas oublier la lourdeur des personnages.

Le Diable s'habille en Prada (4/10) : Chronique assez fade du monde de la mode à peine sauvée par une Meryl Streep parfaite mais finalement assez peu exploitée.

Hard Candy(7/20) : Un huis clos delicieusement dérangeant dominé par une Ellen Page formidablement perverse. Dommage que l'épilogue laisse un peu sur sa faim.

Du jour au lendemain(4/10) : Comédie poussive ou Poelvorde essaye desespérement de sauver un scénario qui s'essouffle dès la première 1/2 heure.

Jugez-moi coupable (5/10) : La performance inattendue de Vin Diesel et les blagues plutôt lourdes n'arrivent pas à faire oublier la faible épaisseur du scénario qui manque véritablement de surprises.

Thank you for smoking(7/10) : Une satire à l'humour caustique et réjouissant dominé par le charisme d'Aaron Eckhardt.

Sauf le respect que je vous dois (5,5/10) : Un casting haut de gamme qui promettait mieux. La critique sociale est gachée par un thriller invrésemblable qui fini par faire perdre au film toute sa force dramatique.

Essaye-moi(3,5/10) : L'infantillisme bêta de PEF ne tient pas la distance d'un long métrage qui n'offre que quelques sourires compatissants.

Le temps des porte-plumes(4,5/10) : L'effort de reconstitution est louable mais les acteurs sont absents et l'histoire, d'une fadeur rédhibitoire.

La méthode (7/10) : Une bonne surprise en forme de huis-clos qui offre, à travers une réalisation prenante, et malgré quelques longueurs, des opportunités pour un casting de très bonne facture.

L'ivresse du pouvoir (6,5/10) : Du Chabrol assez classique auquel il manque un peu d'épaisseur pour rendre le pamphlet vraiment incisif.

Click (4/10) : Malgré une idée de départ assez cocasse, un film paresseux dont l'humour dépasse rarement le raz des pâquerettes et qui se termine sur une morale bien plan plan. Dispensable.

Toi et moi(6/10) : Un film de trentenaire qui sait parfois se rendre émouvant grâce à son excellent duo d'actrice ( M. Cotillard - J. Depardieu ) et malgré un scénario fleur bleue bien limité.

Pulse (3,5/10) : Un remake impersonnel aux effets clippesques particulierements pénibles même pas aidé par un casting insipide.

Le parfum(6/10) : Une belle reconstitution historique, une image soignée, un acteur principal convainquant, mais beaucoup de longueurs dans un récit qui a, sans doute, voulu trop coller au roman original.

La nonne (4,5/10) : Un scénario foutoir qui puise sans vergogne dans la marmite du film d'horreur à 2 balles ; reste malgré tout un certain savoir faire visuel qui permet presque au film de faire illusion.

Friends with money(5/10) : Sorte de condensé de série (Desperate ... ) façon cinoche indépendant, un film qui cache beaucoup de lieux communs derrière un discours trop bavard bien que parfois brillant. Le casting féminin est, lui, irréprochable.

Confetti(5/10) : Une comédie anglaise qui offre quelques sourires mais qui nage surtout dans une improvision en roue libre laissant trop de place aux clichés.

She's the man(4,5/20) : Comédie teenager sans surprise mise à part une prestation plutôt sympathique de Amanda Bynes qui apporte beaucoup de fraicheur à un scénario couru d'avance.

Comme t' y es belle! (2/10) : Marre de ces comédies clichés sur la communauté juive avec sa bande son gnan gnan à la sauce star ac et ses comédiennes à claquer.

Block Party (6/10) : Un panorama assez plaisant de la musique black actuelle filmé comme un Woodstock en plein Brooklyn. Des grosses pointures dont les Fugees mais un manque d'originalité dans la réalisation et un montage qui pénalise parfois les parties musicales.

Les aiguilles rouges(3/10) : Scénario plat, acteurs qui surjouent, et réalisation insipide : difficile de se passionner pour ce film plein de bons sentiments désuets. __ Twelve and Holding__(7,5/10) : Un portrait de l'adolescence émouvant, parfois inégal pour cause de quelques facilités scénaristiques, mais les jeunes acteurs y sont parfaitement dirigés et la B.O. de bon goût.

The Queen (6,5/10) : Un docu-fiction dominé par ses interprétations, celle d'Hellen Mirren en tête. Dommage que le scénario se limite à une courte période de la vie de la famille royale ce qui restreint un peu la profondeur de l'analyse.

Severance (6/10) : Un survival assez efficace avec quelques pointes d'humour british. Distrayant mais limité dans son scénario sans surprises.

La planète blanche(6/10): De bien belles images mais une émotion bien plus discrète que dans "la marche de l'empereur". Manque sans doute d'une vraie histoire.

Le fils de l'homme(6,5/10) : Légère déception. Un docu d'anticipation à la réalisation prenante grâce à son contexte qui nous ramène aux propres maux de notre société. Dommage que le scénario reste un peu léger, n'effleurant que l'enjeu de cette course à la survie. __ Les rebelles de la forêt__ (4/10) : Animation pas totalement déplaisante mais la formule semble un peu usée, les gags tombant souvent à plat et les personnages manquant de punch. __ Alex Rider__ (4/10) : Un James Bond pour ado avec quelques seconds rôles de luxe mais son scénario de téléfilm et le manque de charisme du héros plombent le tout.

Les fous du roi(5/10) : Avec un sujet fort ( le populisme ) qui surfe sur l'actualité il y avait moyen de faire un grand film mais celui-ci souffre d'une mise en scène soporifique qui se disperse sur des sentiers sans grands intérêts et laisse peu de place aux seconds rôles ( J. Law et K. Winstlet plutôt transparents ). Sean Penn cabotine, lui, dans l'excès ce qui retire beaucoup de crédibilité au personnage.

Mémoire de nos pères(7/10) : Malgré quelques longueurs et des acteurs un peu écrasés par l'ambition du scénario, Eastwood s'en sort fort honorablement grâce à des séquences d'actions réalistes et brutales et un message humaniste sur le patriotisme qui sait se mettre en phase avec l'actualité.

Le labyrinthe de Pan (6,5/10) : Une mise en scène très maitrisée, un univers fantastique assez bluffant mais deux histoires un peu inégales qui ont du mal à se compléter. La petite I. Baquero est impeccable, et S. Lopez est énorme mais un excès de cruauté gratuite, incursion facile dans le cinéma de genre, rend certaines scènes parfois superflues.

Le Dalhia Noir(6,5/10) : Avec un casting qui fonctionne par intermittence sans convaincre totalement, ce film est une oeuvre inégale, au scénario trop complexe pour fasciner sur la longueur. Reste cependant une ambiance "film noir" plutôt réussie qui compense les défauts d'une oeuvre sans doute trop attendue.

Cabaret Paradis(3,5/10) : Ca se regarde comme un spectacle d'école primaire : c'est mal joué, raté, pitoyable, lamentable, mais malgré tout on est prêt à tout excuser par tendresse et sympathie pour les personnages.

Scoop (7/10) : Un Woody Allen mineur au niveau scénaristique mais l'humour est là et il est savoureux, tout comme Scarlett Johanson encore une fois exempt de faute de goût.

Une vérité qui dérange(6/10) : Parfois didactique et pédagogique, parfois gros powerpoint publicitaire pour le candidat Al Gore ( qui en passant faisait partie d'un gouvernement qui n'a pas voulu ratifier le protocole de Kyoto ), un docu militant qui a le mérite d'alerter mais qui ne brille cependant pas pour ses qualités cinématographiques.

4 étoiles(2/10) : Houla, quel ennui ce film. C'est creux et prétentieux, les acteurs cabotinent ( ou improvisent ?) pour combler le vide abyssale du scénario. Reste le c.. d'Isabelle Carré, toujours aussi charmant pour éviter le zéro étoiles.

Le prestige(6,5/10) : Un tour de magie visuel bien plus complexe et alambiqué que chez Patrick Sebastien avec une confrontation d'acteurs à la hauteur mais une impression de s'être fait berner sur la longueur laisse une légère déception.

Borat (5/10) : Sorte de Grosland puissance 10, un florilège de provocations bien plus proches de Michael Youn que de Michael Moore ce qui en limite l'ambition dénionciatrice des travers de la société américaine et transforme le film en grosse blague potâche souvent drôle mais aussi vulgaire.

Saw 3(4/10) : En cherchant la surenchère dans le trash ( plutôt réussie d'ailleurs ), Saw 3 oublie d'avoir un scénario. Reste donc une collection de tortures filmées sans génie mais qui remuent l'estomac.

Les infiltrés(6,5/10) : Difficile, quand on connait l'original, de s'affranchir des références surtout quand ce dernier est un petit chef d'oeuvre. On en ressort donc avec une certaine frustration malgré une mise en scène à la hauteur et une interprétation irréprochable de Nicholson et Di Caprio. Du bon Scorcese, mais qui manque certainement d'un soupçon d'originalité pour en faire une oeuvre majeure du réalisateur.

Imagine me and you (5,5/10) : Une comédie pure british un peu téléphonée qui aborde l'homosexualité féminine avec quelques clichés mais le tout reste agréable et léger.

Fast food nation(5/10) : Abordant beaucoup de sujets graves concernant la chaine alimentaire aux USA, le film s'égare cependant sur des multiples sentiers inutiles permettant à quelques stars de faire des apparitions furtives assez inégales. Malgré quelques passages chocs, trop de longueurs en bavardage finissent par laisser le spectateur sur sa faim.

La maison du bonheur(3/10) Comédie convenue, ou Danny Boon n'est vraiment pas convainquant. Seule la présence de Daniel Prévost met un peu de folie dans ce scénario convenu.

Célibataires(2/10) : Une collection de clichés filmée avec les pieds.

Un ami parfait(4/10) : Un polar poussif avec un sujet d'actualité qui aurait pu s'avérer passionnant si le rythme avait été plus enjoué et l'interprétation moins pesante.

Shop Girl(6/10) : Comédie décallée au rythme un peu lent mais aux acteurs sympathiques.

Casino Royale (7,5/10) : Un James Bond réinventé grâce à la présence féline d'un Daniel Craig impérial et d'un scénario brutal et sans fioritures.

The Host (6/10) : Derrière des sfx somptueux, un film qui hésite à trouver sa voie entre farce grotesque et action fantastique au risque de laisser le spectateur au bord du chemin.

Deja Vu(6/10) : Un thriller halletant dans son prologue ou Tony Scott réitère l'éfficacité d'un Man of Fire grâce à une réalisation éprouvée. Malheureusement les contorsions du scénario pour nous faire admettre le paradoxe spatio-temporel qui est la clé de l'histoire, s'avère bien trop tiré par les cheveux et ne permet pas de conserver la cohérence nécessaire à l'adhésion totale du spectateur. Dommage.

Le pacte du sang(2,5/10) : Un film qui surfe sur la mode gothico-fantastique et présente une belle brochette d'acteurs tête à claques perdus dans une histoire lisse et sans rebondissements. Autant dire que l'on s'ennuie ferme à peine aidé par quelques morceaux rock'n roll et de maigre effets spéciaux qui tentent de nous maintenir éveillé.

Happy Feet(6,5/10) : Pompant résolument une bonne partie de l'histoire à "La marche de l'empereur", un DA écolo, moyennement rigolo, mais très beau beau.

Half Light(2,5/10) : La beauté des paysages est la seule chose à sauver de ce thriller téléphoné, au rythme escargot, joué sans aucune conviction par une Demi Moore sur le retour.

Nos jours heureux(6,5/10) : Malgré quelques clichés faciles, une comédie qui fonctionne grâce à son potentiel nostalgique et à son casting au diapason. Sympa.

Little miss sunshine(7,5/10) : Road movie décalé et émouvant grâce à un choix d'acteurs très attachants.

Eragon(4,5/10) : L'efficacité des sfx ne compense pas la médiocrité de l'interprétation et un scénario couru d'avance.

Arthur et les Minimoys (6/10) : Film naïf dans la lignée des dernières productions Disney : loin du chef d'oeuvre mais un divertissement honorable.

Babel (7/10) : On excusera quelques disgressions superflues pour s'attacher au flot d'émotions généré par cette fable chorale sur l'incommunicabilité. Plutôt brillant.

The Grudge 2(3,5/10) : Un film dont le scénario alambiqué n'est la que pour cacher la misère d'une mise en scène qui abuse des ficelles usées du teen-movie d'horreur.

Coast guards(3,5/10) : Top gun maritime complétement désuet qui devrait arracher une larme à G.W. Bush tellement le bon vieux héroïsme patriotique y est servi à toutes les sauces. Prévisible et pataud.

The Holiday(6/10) : Comédie de Noël qui joue son rôle de divertissement de fin d'année malgré une longueur un peu excessive. Pas bouleversant mais sympathique grâce au charme de Kate Winsley, Jude Law en séducteur papa-poule et Eli Wallach pour l'hommage cinéphile.

La Fontaine(5/10) : Trip mystique new-age au discours plutôt vain emballé dans un beau papier cadeau d'images psychedéliques. On est loin du Solaris de Tarkosky. Bon point cependant à Rachel Weisz (déjà remarquable dans The Constant Gardner) qui illumine les meilleures scènes intimistes de sa sensibilité à fleur de peau.

Flandres(5/10) : Techniquement remarquable ( superbe photo et cadrage ), le film est dans la continuité des autres films de Dumont que j'ai pu voir, brute et dérangeant jusqu'à la caricature : l'humanité est ici vu comme dans un reportage animalier incapable d'externaliser le moindre sentiment. On en sort à la fois bouleversé et frustré.

Le passager de l'été(3/10) : Sorte de remake paysan de l'equipier, un film formaté FR3 région ou l'ennui guête rapidement malgré un casting haut de gamme.

On va s'aimer(5/10) : Vaudeville amoureux sympathique grâce à la presence de J. Boisselier toujours aussi à l'aise dans ce genre de comédie malheureusement plombé par des intermèdes karaoké dansants particuliérement grotesques.

Changement d'adresse (5,5/10) : Fortement inspiré du cinéma de Rohmer, une comédie à 3 bouts de chandelles à la fois bien écrite est soulante ou Frederic Bell fait admirablement sa blonde.

Les irreductibles (6/10) : Un drame social plutôt intelligent mais plombé par un faux rythme. __ La raison du plus faible__(6/10) : De belles intentions dans ce film social parfois trop demonstratif dans son discours gauchisant.

Selon Charlie (5/10) : Interprétations à la hauteur mais un discours plutôt lisse et superficiel