Gigantic (5/10) : On voit pas trop le but de l'histoire, reste la pétillante Zooey Deschanel et le truculent John Goodman.

Adam (7/10) : On s'attache rapidement à ce couple improbable grâce à l'interprétation émouvante de Hugh Dancy en personnage atteint du syndrome d’Asperger.

Bliss (5,5/10) : Mélange de comédie ado et d'action à la rollerball, un film finalement très consensuel derrière ses faux airs rebelles et sa bande son girl power.

Just another love story ( 6,5/10 ) : Une plutôt bonne surprise du cinéma danois avec un scénario oscillant entre polar noir et drame sentimental et un travail photographique remarquable.

Padre Nuestro (6,5/10) : Du cinéma réaliste aux personnages attachants même si le scénario force un peu sur les coïncidences improbables.

Invictus (5/10) : Malgré l'interprétation habitée de Morgan Freeman, on sort déçu de ce film consensuel ou Mendela apparait comme un Jésus des temps modernes et ou les matchs de rugby ressemble à un enchainement de courtes séquences de foot américain. Bof, bof.

Blindés(3,5/10) : Huis-clôt aux dialogues creux et au scénario sans surprises bien au deçà de son casting de luxe.

Black Dynamite (6,5/10) : une parodie réjouissante des films de blaxploitation qui n'évite aucun clichés du genre.

A serious man (6/10) : Une comédie un peu trop nombriliste des frères Coen dont les "private joke" axées sur la communauté juive finissent par lasser le spectateur non initié. Reste un casting intéressant avec un quasi sosie de Grace Slick.

Le livre d'Eli (6,5/10) : Une atmosphère post-apocalyptique bien restituée même si le message sous-jacent est quelque peu prosélyte.

Les barons (4,5/10) : De bonnes intentions, quelques répliques font mouches, mais le rythme est trop inégal pour éviter l'ennui sur la longueur.

In the air (7/10) : Une comédie désabusée qui doit beaucoup à George Clooney, parfait.

Mother (8/10) : Jonglant avec une virtuosité hors norme entre drame social, thriller psychologique et comédie grotesque, Bong Joon-Ho renouvelle avec succès la formule originale de Memories of Murder, grandement aidée par la formidable comédienne Kim Hye-Ja.

La princesse et la grenouille (6,5/10) : Un conte de fée prévisible qui forme pourtant une parenthèse agréable sous forme de retour vers l'animation traditionnelle et ses épisodes chantés.

Sherlock Holmes (6/10) : Une intrigue longue et fastidieuse, une réalisation un peu toc, heureusement l'interprétation inspirée du duo Jude Law/R.D.Jr sauve l'entreprise de l'ennui.

Brothers(7,5/10) : Après "In America", Sheridan émeut encore une fois avec une histoire familiale idéalement servie par un trio de choix même si on peut regretter parfois des élans un peu trop démonstratifs.

Anvil (6,5/10) : Sorte de "the wrestler" du rock métal, un docu qui mélange naïveté et ténacité et rend cette chronique de passionné assez réjouissante.

Planète 51(6/10) : Du pixar "canada dry", sympathique dans ses nombreuses référence à la SF mais malheureusement sans prétention dans son scénario.

Lovely Bones (7/10) : Même si les séquences oniriques et son univers arc-en-ciel tout droit sortie d'un cahier de coloriage raélien peuvent agacer, le film offre quelques jolies séquences d'émotion et de tension et une prometteuse actrice avec la jeune Saoirse Ronan.

Agora (5,5/10) : Péplum anticlérical trouvant difficilement l'équilibre entre reconstitution historique et réflexion philosophique avec malgré tout une émouvante Rachel Weisz.

Disgrace(6,5/10) : un film étrange, parfois dérangeant, ou les personnages n'ont rien de séduisants ; la part d'ombre de l'Afrique du Sud qu'on aurait aimé retrouver dans Invictus.

Ninja assassin(3,5/10) : Scénario en mousse et indigestion de sang numérique, reste les combats aux chorégraphies plutôt réussies.

Hors de contrôle(4/10) : Un polar ringard et longuet avec un Gibson parfois à la limite du ridicule.

Fantastic Mr Fox(5/10) : Trop répétitif pour séduire sur la longueur, on saluera quand même le soucis du détail dans sa réalisation

Une éducation (7/10) : Une comédie subtile qui doit beaucoup à son actrice principale Carey Mulligan

Thérapie de couples(2,5/10) : Aussi pathétique qu'un épisode de l'ile de la tentation.

From Paris with love (3,5/10) : Une Bessonnerie au manichéisme attendu avec un Travolta cabot à souhait.

Shutter Island (7,5/10) : Un labyrinthe mental qui, malgré quelques lourdeurs, offre une variété de niveau de lecture et une interprétation convaincante de Di Caprio.

Wolfman (6/10) : L'ambiance est bien posée mais le tout manque un peu d'audace.

Percy Jackson le voleur de foudre (3/10) : Une tambouille pour ado avec des bouts de Potter, de Narnia et de Xena. Du ciné MacDo.

Nine (4,5/10) : Un défilé de stars perdues dans un non-script, des dialogues insignifiants, et des numéros musicaux inégaux. Un hommage brouillon à Fellini ou seule Cotillard arrive vraiment à émouvoir.

Daybreakers (6,5/10) : Une série B plutôt sympathique grâce à un scénario original et un univers futuriste assez réaliste.

Où sont passés les Morgan ? (3/10) : Scénario téléphoné et humour laborieux.

Precious (6,5/10) : Le scénario est un peu "to much" mais l'interprétation est bluffante

The Ghost writer (8/10) : Thriller paranoïaque au suspens hitchcockien réussi.

Crazy Heart(6,5/10) : Scénario classique de rédemption dont J. Bridges et la bande musicale sont les véritables atouts charmes.

Les chèvres du Pentagone (5,5/10) : Une suite de saynètes loufoques, servies par un casting de haut vol, mais qui malheureusement finie par s'essouffler sur la longueur.

Bad Lieutenant : retour à la Nouvelle-Orléans(6/10) : Un film qui laisse dubitatif tant il oscille entre le pur nanar et le délire halluciné avec un Nicolas Cage en totale roue libre.

La révélation (7/10) : Un thriller politique rigoureux, bien qu'un peu glacé, servi par un remarquable duo d'actrices.

Achille et la tortue (6/10) : Une œuvre jusqu'au-boutiste, parfois fascinante, parfois agaçante.

Légion (3/10) : Quand le ridicule peut aussi tuer ...

Dream(3,5/10) : Après un début prometteur, le film s'enlise dans une série de métaphores lourdingues qui finissent par générer un désintérêt total au message symbolique qu'a tenté d'exprimer le réalisateur.

All about Steve (1/10) : Film grotesque et razzie mérité pour Sandra Bullock.

Alice au pays des merveilles(5/10) : Visuellement irréprochable, l'ensemble s'avère bien trop balisé pour laisser une petite place à l'imaginaire du spectateur.

Cher John (4/10) : Un mélo bien guimauve.

L'immortel (5/10) : Une certaine efficacité rattrape un scénario réchauffé et des interprétations approximatives.

Amelia (3,5/10) : Biopic qui privilégie l'aspect mélo sentimental mièvre plutôt que l'aventure humaine, résultat : on s'ennuie ferme.

Breathless (6/10) : Un film enragé, dont la violence laisse un peu groggy, mais qui, pour une première œuvre, fait preuve de quelques surprises de réalisation.

Ajami (5,5/10) : Un point de vue original sur la complexité des relations inter-communautaires à Jaffa malheureusement noyé dans un montage confus pas absent de longueurs.

Green Zone (7,5/10) : Avant tout un thriller efficace, à la tension maintenue par la réalisation type documentaire ( qui peut agacer ). Un film politique, aussi, qui aborde le bidonnage des ADM avec pas mal de subtilités ( le dernier plan sur une raffinerie suggérant par exemple les véritables motivations de l'invasion américaine en Irak ).

Le Chasseur de Primes (2,5/10) : Malgré son couple vedette on s'ennuie ferme.

Kick-Ass (6,5/10) :Une idée de départ bien exploitée, pour une sorte de ersatz de Kill Bill version ado.

New York, I Love You (5,5/10) : La qualité de la photographie et la pléiade d'acteurs sauvent à peine une suite de scènettes bien trop inégale.

Le choc des titans (4/10) : Simpliste, kitch et rarement accrocheur. Un coup d'épée dans l'eau.

Invention of lying (6/10) : Une idée de base originale, une première partie amusante, mais des longueurs lorsque le scénario se traine dans la comédie sentimentale.

La comtesse (7/10) : Un drame gothique sobre et troublant réalisé et servi avec justesse par Julie Delpy.

White Lightnin' (5/10) : Fascinant dans sa descente aux enfers, sa violence sordide, le film devient gonflant lorsqu'il s'égare dans un trip hallucinatoire quasi christique.

Iron Man 2 (5/10) : Laborieux même si quelques scènes font illusions.

Chloé (6/10) : Thriller érotique inégal sauvé par le charme de ses actrices.

Âmes en stock (5/10) : Giamatti est convaincant, le scénario beaucoup moins.

Les Femmes de mes amis (4,5/10) : Pourtant amateur du Rohmer coréen, le scénario, ici trop nombriliste et répétitif, n'a pas réussi à me convaincre.

Dans ses yeux (8/10) : Mélange subtil de polar et de mélodrame, maitrisant avec beaucoup d'aisance les nombreux aller retour entre présent et passé.

L'élite de Brooklyn (7/10) : Une direction d'acteurs impeccable illumine un scénario un peu usé.

Valentine's day (4/10) : Le minimum syndical de la comédie romantique, heureusement il y a le casting.

Le siffleur (2/10) : Rien ne fonctionne dans cette comédie montée avec les pieds.

Lebanon (5/10) : Si l'idée du huis-clos est intéressante, un côté trop démonstratif plombe le rythme du film.

Crazy night (4/10) : Comédie bien terne, ou le duo de comiques arrive difficilement à surnager d'un script médiocre.

Robin des bois (7,5/10) : Excepté par la présence de certains anachronismes gênants ( comme ce débarquement tout droit sorti du jour le plus long ), une modernisation du mythe plutôt réussie, à la fois dans le réalisme des scènes d'actions et surtout dans ses parallèles politiques assez subtiles.

Freddy, les griffes de la nuit (2,5/10) : Remake inutile.

City Island (6,5/10) : Un vaudeville sans grande prétention mais amusant et touchant.

Gainsbourg - vie héroïque (6/10) : Un mimétisme bluffant dans l'interprétation d'Eric Elmosnino, de jolis moments avec la Casta, mais aussi beaucoup de longueurs et un format conte assez irritant.

Prince of Persia (5/10) : Une grosse machine rutilante mais sans âme.

Le plan B (2,5/10) : Lourdingue

Le refuge (6/10) : Carré est parfaite mais le scénario recyclant les thématiques Ozon peine à surprendre.

Une petite zone de turbulence (4,5/10) : Quelques dialogues bien ciselés mais un scénario sitcom qui fini par ennuyer.

Infectés (6/10) : Survival psychologique assez original mais qui manque un peu de péripéties.

Protéger et servir (4,5/10) : C'est crétin mais parfois plus drôle que la moyenne des comédies franchouillardes.

Une exécution ordinaire (3,5/10) : Monocorde et soporifique malgré une prestation convainquante de Dussolier.

I Love You Philip Morris (6/10) : Scénario parfois bancal qui maintient l'équilibre grâce à l'énergie d' un Jim Carrey loufoque.

The crazies (6/10) : Pas vraiment marquant mais plaisant à regarder.

Complices (6,5/10) : De jolis moments intimes, une interprétation de haut vol mais un faux rythme qui donne parfois l'impression d'être dans un téléfilm de luxe.

Hatchi (3,5/10) : Histoire mièvre mais chien chien craquant.

Fée malgré lui (1/10) : interdit aux plus de 10 ans.

Eyes of war (6,5/10) : L'interprétation est très convaincante (Colin Farell, Christopher Lee) mais le scénario manque de rythme malgré quelques scènes fortement émotionnelles.

coursier (0,5/10) : M Youn+Europacorp

L'agence tous risques (4,5/10) : Le casting fait juste illusion pour sauver un scénario rachitique et des dialogues crétins.

La horde (3/10) : scénario réchauffé et interprétation en roue libre.

Le Mac (5,5/10) : On tient grâce à l'abattage de José Garcia.

Top cops (2,5/10) : Lourd, bavard et ennuyeux.

Trop belle ! (3,5/10) : teen movie d'une platitude navrante.

Millenium 2 (6,5/10) : Une suite honorable au premier opus qui, malgré une mise en scène plutôt fade, tiens la route grâce à l'interprétation convaincue de Noomi Rapace.

Kiss & Kill (3,5/10) : Un scénario très laborieux et un couple qui ne fonctionne pas. A oublier.

Ensemble c'est trop (3,5/10) : vaudeville "gros sabots"

Remember me(5/10) : Mélo surchargé qui soigne l'image du ténébreux Pattinson.

A single man(6,5/10) : Une petite merveille d'esthétisme sensuel mais qui souffre parfois d'un manque de rythme.

When you're strange (7,5/10) : Un docu très bien dosé.

Splice(6/10) : des pistes intéressantes dans l'entame du scénario qui devient par la suite plus complaisant que dérangeant.

Carlos (6,5/10) : Malgré quelques longueurs la performance d'Edgar Ramirez captive jusqu'au bout.

Twilight 3 (2,5/10) : une purge gnangnan aux dialogues de telenovela.

Océans(7/10) : Le commentaire est distillé avec parcimonie mais les images recèlent de suffisamment de surprises pour garder un intérêt constant.

Question de cœur(6/10) : Une comédie à l'italienne un peu bavarde, peu convaincante dans son aspect mélodramatique, mais servie par d'excellents comédiens.

Post-grad(3,5/10) : Comédie nunuche sans prétention.

Kung fu nanny(3/10) : comédie poussive à réserver aux - de 10 ans.

La dame de trèfle (5/10) : Malgré une forte présence de ses comédiens, un film noir qui n'arrive pas à décoller.

Repo men (5,5/10) : Un script décevant malgré une idée de départ ambitieuse et une sur-dose de gore qui met mal à l'aise.

Mr Nobody(6/10) :Quelques jolis moments enfouis dans un ensemble un peu prétentieux à l'esthétisme publicitaire.

Valhalla Rising (5,5/10) : Si le film étonne dans son parti pris minimaliste, son manque de scénario est aussi générateur d'ennui.

City of Life and Death(8/10) : Une fresque bouleversante à la mise en scène impressionnante dans sa reconstitution guerrière et dans son humanité

Inception (7,5/10) : Un blockbuster à la fois amusant et plutôt bien construit avec des idées de mise en scène enthousiasmantes ( la relativité du temps entre les différents niveaux de rêve par exemple ) même si on peut regretter que les univers oniriques ne fasse pas plus appel à l'absurde dans le comportement des personnages.

White night wedding (4,5/10) : Si la photographie et l'ambiance islandaise dépayse comme dans son précédent Jar City le propos s'avère ici plutôt rabâché et l'humour lourdingue.

Liberté (4/10) : Un sujet rarement abordé qui aurait mérité d'être mieux traité que par ce téléfilm mal fagoté aux personnages peux attachants ou seule la musique génère un semblant d'émotion.

Pièce montée(6/10) : Si le scénario n'évite pas les clichés rabâchés du mariage qui part en couille, le casting et en particulier le couple Darrieux Marielle finit par rendre l'ensemble assez séduisant.

La reine des pommes(4/10) : Un premier essai pas très convainquant qui ressemble parfois plus à une parodie qu'à un hommage au cinéma de Rohmer. Le burlesque qui fonctionne chez Mouret semble ici trop appuyé pour fonctionner.

La rafle(5/10) : Un œuvre à vocation illustrative et pédagogique mais à l'émotion artificielle ou beaucoup de choses y sonnent faux à trop ne rien vouloir laisser dans le non-dit.

Thelma, Louise et Chantal (3,5/10) : Le casting promettait une comédie féministe mais c'est un road-movie qui fini en eau de boudin entre gags lourds et répliques stéréotypées. Reste la bande originale de Keren Ann.

L'éclair noir (4/10) : Un film russe de super héros qui a piqué son scénario à Spiderman. Si les sfx sont corrects la mise en scène a 30 ans de retard. Anecdotique.

Millénium 3 (6/10) : Mise en scène toujours aussi fade, on se croirait parfois dans un épisode de Derrick. La fin s'anime un peu et retranscrit fidèlement le livre. Noomi Rapace reste malgré tout l'atout principal de l'adaptation.

Phénomènes Paranormaux (4/10) : Sorte de mélange entre épisode de X-Files et le récent Paranormal Activity cette fiction qui se voudrait docu n'arrive pas à être crédible malgré ses plit screens et brouillage vidéo. Jovovitch n'y croit pas non plus et seule l'actrice qui joue dans les séquences réelles fout vraiment les pétoches.

Night and Day(5,5/10) : Blockbuster estival qui remplit son contrat de ... blockbuster estival : c'est fun, assez efficace en partie incohérent et totalement oubliable.

Desierto adentro (5/10) : Drame familial ou se mélange parabole biblique et fanatisme religieux. Une réussite esthétique qui n'arrive pas à faire oublier l'austérité du sujet. Ça pourrait être bouleversant c'est juste ennuyeux.

Le dernier maître de l'air (3/10) : Mièvre et ennuyeux.

L'heure du crime (6/10) : Thriller italien à tiroirs qui déçoit sur la fin malgré un suspens assez bien maitrisé. Les acteurs sont parfaits avec Filippo Timi (Vincere) et la belle et énigmatique Kseniya Rappoport.

Cellule 211 (7,5/10) : Thriller carcéral espagnol particulièrement efficace avec de nombreux rebondissements et un message politico-social sans concession. Goya mérité.

Droit de passage (6,5/10) : Film choral au casting de luxe qui a le mérite d'aborder sans complaisance différents aspects de l'émigration aux US. Dommage que le scénario utilise parfois de grosses ficelles pour tenter de nous émouvoir.

Grace (5/10) :Un scénario plutôt malsain, mais les idées de départ sont sous exploitées et l'ensemble finit par se dégonfler.

Donkey Punch(4/10) : Une fois découvert le fameux "donkey punch" on tombe dans le survival à deux balles et sa fin prévisible. Sans surprise.

Les invités de mon père (6,5/10) : Un scénario plutôt subtile et adroit ou le duo Luchini-Viard excelle.

Confession d'un cannibale (4/10) : Le récit éprouvant d'un fait divers sordide ponctué de flashbacks embrouillants et inutiles.

Petits suicides entre amis (6,5/10) : Road movie poétique et décalé au casting attachant et à l'excellente BO.

L'apprenti sorcier (5/10) : Scénario et casting insipide, reste quelques effets spéciaux.

Donne-moi ta main (Leap year) (5,5/10) : Balade irlandaise prévisible et inoffensive mais le charme de Amy Adams et des paysages évitent l'ennui.

Centurion (5/10) : Si la mise en scène est efficace, les scènes d'action plutôt réussies, la crédibilité des situations et des personnages plombe l'ensemble.

Caotica Ana (4,5/10) : Un fourre-tout au symbolisme pesant, parfois à la limite du ridicule, même si de jolis moments surnagent.

Nous trois (6/10) : Petite comédie douce-amer plutôt attachante avec un soucis certain de reconstitution de l'époque des années 70 même si le scénario est assez léger.

Blanc comme neige (4,5/10) : Polar invraisemblable aux personnages parfois irritants et excessivement agressifs. Reste des lieux de tournage originaux.

Gardiens de l'ordre (4/10) : Un début prometteur puis une succession d'invraisemblances de scénario (des flics de quartier se transformant en cadors de l'anti-gang), une direction d'acteurs approximative et une image assez laide finissent par épuiser l'enthousiasme initial.

Sans laisser de traces (5/10) : Si le suspens psychologique est assez bien maintenu, le duo Magimel/Gayet convainquant, la multitude d'invraisemblances dans le scénario n'en fait pas une œuvre inoubliable.

Expendables : unité spéciale (5/10) : Une réunion sympathique de "gros bras" perdus dans un scénario sans intérêt.

Le bonheur de Pierre (2,5/10) : Hormis l'accent québécois qui offre quelques sourires on s'ennuie vite dans cette comédie lourdingue ou Sylvie Testud et Pierre Richard, en éternel ahuri, semblent dans l'obligation d'en faire des tonnes.

L'arnacoeur (7,5/10) : Un long métrage dont la réussite première est le maintient d'un rythme constant entre romance et action, servi par deux acteurs au diapason et des seconds rôles attachants.

My own love song (4,5/10) : Si la bande son séduit, l'histoire dégoulinante de naïveté et de bons sentiments finie par lasser.

Karaté Kid(5/10) Récit simpliste et pas mal de longueurs, reste un Jackie Chan convainquant.

Marmaduke (2,5/10) : Du cabotinage épuisant si on a moins de 10 ans.

Tell tale (4,5/10) : Série B qui s'essaye à plusieurs genres sans grande conviction, l'ensemble est finalement assez ennuyeux.

Henry (3/10) : Exploitant le personnage exécrable de l'univers Groland, Francis Kuntz signe un film décousu qui ressemble à une série de sketchs anecdotiques d'une méchanceté gratuite assez rasoir.

Mumu (4,5/10) : Une chronique passéiste qui lorgne du côté des choristes par le réalisateur des galettes de Pont-Aven. C'est assez fade et souvent surjoué, reste une image du système éducatif d'après guerre qui parait presque surréaliste aujourd'hui.

Salt (5/10) : C'est assez efficace mais totalement invraisemblable, on en ressort avec l'impression d'avoir eu la cerise (Angelina Jolie) sans le gâteau

Gentlemen Broncos (2,5/10) : Trop codifié, trop "nolife", on décroche rapidement

Ondine (6,5/10) : Servi par une magnifique photographie, un conte de fée moderne qui ne manque pas de charmes malgré d'évidentes baisses de rythme.

Le baltringue (0,5/10) : Buddy movie improbable ou Lagaf' fait son numéro du Bigdil. Il est bo le navet

Toy Story 3 (8/10) : Un grand Pixar avec sa dose d'émerveillement et de nostalgie.

Shrek 4 (5,5/10) : Trop de recyclage et pas assez d'humour. Fin de série.

Une famille très moderne(4,5/10) : Comédie au scénario sans surprise, même si le personnage de Jason Bateman apporte quelques sourires

Tout ce qui brille (5/10) : L'interprétation est enthousiasmante, dommage que le scénario ne dépasse pas la comptine sympathique pas exempte de clichés à la LOL.

La prima linea(6/10) : Une chronique des années de plomb au récit un peu trop linéaire, on a vu mieux chez Bellocchio.

Greenberg (4,5/10) : Bavard et un peu vain malgré une Greta Gerwig attendrissante.

Piranha(6,5/10) : Un mélange de "girls gone wild" et de gore sans retenu finalement assez réjouissant.

Be bad ! (5/10) : Ni mauvais, ni bon à l'image du héros, continuellement mi-chèvre mi choux dans la comédie pour ado et le film indé poseur, un film qui s'oublie particulièrement rapidement.

Dog Pound (7/10) : Un film plein de fureur avec une interprétation convaincante malgré un certain manque de fond.

Lignes de front(6/10) : Un docu-fiction sur le génocide rwandais et le rôle des médias qui joue la carte de la sincérité. Dommage que la mise en scène, un peu maladroite, laisse parfois le spectateur à distance

Bus Palladium (2,5/10) : Des jeunes bourges montent un groupe de rock, plat comme un long épisode de Hélène et les Garçons.

Tête de turc(6,5/10) : Film choral prometteur avec un excellent casting, dommage que la fin soit un peu téléphonée

The Killer Inside Me(6/10) : Dommage que le scénario ne soit pas à la hauteur de son interprétation.

Ensemble, nous allons vivre ...(2/10) : Trop de second degré tue le second degré. Gros gros ennui.

L'autre Dumas (6/10) : L'interprétation est plaisante mais la réalisation manque vraiment de romanesque.

Copains pour toujours (3/10) : comédie au niveau de ses gags : au ras des pâquerettes

Une chinoise (6/10) : Portrait original par la forme d'une jeune femme chinoise confronté à une société en mutation. Dommage que la mise en scène parfois trop contemplative laisse l'émotion à distance.

Twelve (4/10) : Scénario artificiel, voix off agaçante et moralisme à deux balles.

Soul Kitchen (6,5/10) : Comédie sympathique et rythmée qui manque un peu de profondeur pour rester dans les mémoires.

The Housemaid (5/10) : image léchée, univers sophistiqué, mais démonstration parfois caricaturale.

The Runaways(6/10) : Belle performance du duo Kristen Stewart/Dakota Fanning, l'ensemble du biopic reste malgré tout un peu trop sage pour être totalement efficace.

Amélie au pays des Bodin's (0,5/10) : Et vous trouvez ça drôle ? ....

Le dernier exorcisme(5/10) : Après le coup "Paranormal activity" un film qui arrive un peu à la traine en recyclant poussivement les classiques du genre. Reste un regard amusant sur l'Amérique puritaine et ses croyances.

Comme les 5 doigts de la main (3,5/10) : Poi, poi ,poi , du Arcady pur jus avec sa bonne grosse dose de surjeu, de communautarisme et de clichés ( musulmans trafiquants d'armes, méchants gitans, ... ). Hortefeu devrait adorer ...

Des hommes et des dieux(8/10) : Un beau moment d'humanité.

Bébés(5,5/10) : Attendrissant mais l'absence de point de vue en fait un docu un peu vain.

Resident Evil : Afterlife 3D : (1,5/10) Un sérieux concurrent au choc des titans pour la dernière place du classement, bref un nanard dont le cache sexe 3D échoue totalement à masquer le néant du scénario et la laideur de la réalisation.

Film socialisme (3/10) : Trop abscons malgré quelques passages d'une créativité visuelle remarquable.

L'amour c'est mieux à deux (2/10) : Lourdingue et sur-joué.

The town (6,5/10) : Classique mais plutôt efficace.

Trop loin pour toi(4,5/10) : Comédie qui joue la carte du dialogue gras voir vulgaire, un choix qui finit par lasser. Un bon point pour une B.O. rock indé plutôt plaisante.

Wall Street - L'argent ne dort jamais(4,5/10) : On s'ennuie dans un scénario plombé par une intrigue familiale convenue.

La Machine à démonter le temps(3/10) : Un film de potes qui enfile les dialogues bien gras et s'avère très lourd sur la longueur. Le retour vers les années 80 est bien mal exploité malgré la bande son d'époque et Cusack pas du tout à sa place.

Dans ton sommeil (3,5/10) : Thriller maladroit et sans suspens qui laisse de marbre malgré une photographie esthétisante.

Les meilleurs amis du monde (4/10) : ça aurait pu être une comédie kitch et vacharde mais ça s'englue finalement dans la caricature et la guimauve.

Copie conforme (5/10) : Des atouts, dans la mise en scène, l'interprétation, les paysages... mais tout ça est affreusement bavard. J'ai décroché.

La tête en friche (5/10) : Le couple Casadesus/Depardieu forme une belle rencontre mais le tout beigne dans une mièvrerie un peu irritante.

Ao, le dernier Néandertal (5/10) : Un western préhistorique bénéficiant de beaux paysages mais plombé par une voix off au discours naïf. La série Odyssée de l'Espèce par sa forme documentaire était plus convainquante.

Mammuth (6/10) : Scénario bancal avec des passages à vide mais une vraie découverte avec le personnage de Miss Ming.

Camping 2 (3,5/10) : Sans la pointe de nostalgie qui faisait l'originalité du premier volet, on se retrouve avec un hymne à la beaufitude qui a tout du réchauffé.

Very Bad cops (4/10) : Ponctuellement drôle, globalement lourd. Scénario décousu, film ennuyeux.

Imogène McCarthery (4/10) : Malgré l'abattage de Catherine Frot, on s'ennuie dans cette comédie lymphatique.

The American (7/10) : Ça aurait pu s'appeler Profession:tueur à gages tant les réminiscences du classique d'Antonioni sont présentes. Reste un thriller contemplatif séduisant à l'image de son héros mélancolique.

Paranormal Activity 2 (3,5/10) : L'effet surprise du premier volet n'agissant plus ici, l'immersion nécessaire pour réagir à ce genre de film est bien trop longue à atteindre pour réussir son coup, freinée par un scénario complétement vide.

Les amours imaginaires (4,5/10) : Si l'esthétique Wong Kar Wai et la BO "moi aussi j'ai une discothèque éclectique" peuvent générer l'enthousiasme, l'émotion perce rarement dans cet étalage de sentiments un peu creux avec l'accent têtes à claques.

Il reste du jambon ? (2,5/10) : A force de trop pousser le bouchon sur les clichés communautaires, on ne sait plus si c'est du lard ou du cochon. Au final ça tourne en eau de boudin.

The social network (7/10) : Même si la vision estudiantine américaine parait parfois un peu cliché, le rythme soutenu de la narration en fait un ensemble assez captivant.

Life during wartime (6/10) : Succession de saynètes décalées à laquelle manque un fil conducteur solide mais les acteurs sont tous crédibles.

Mange, prie, aime (3/10) : Baille, dort, ronfle ...

Dragons (7,5/10) : Si le scénario est quelque peu prévisible, l'action se révèle souvent spectaculaire et le réalisme étonnant.

Le caméléon (4/10) : L'histoire a de nombreux atouts, mais réalisé trop platement, le film n'arrive jamais à nous passionner.

Amer (5/10) : Radical, expérimental, audacieux ... mais on peut aussi s'y ennuyer.

Tournée (5/10) : Si les actrices sont enthousiasmantes dans leurs numéros, le personnage d'Amalric horripile et le scénario se dissout au fil du périple de la troupe.

Tout va bien, The Kids Are All Right (6,5/10) : Le couple Bening/Moore fonctionne grâce à des dialogues pertinents même si l'histoire sort peu des sentiers battus des rapports adultérins.

Les aventures d'Adèle Blanc-Sec (6,5/10) : une aventure rocambolesque plutôt réjouissante et Bourgoin à son aise dans ce rôle.

L'autre monde (3/10) : un début de mystère au début puis ... plus rien à part peut être les fesses de Louise. Un univers virtuel particulièrement laid.

La disparition d'Alice Creed (5/10) : Une tension maintenue grâce au huis-clos mais les nombreux rebondissements sont souvent trop capilotractés.

Amore (6/10) : Une chronique un peu ampoulée sauvée de l'ennui par son casting sans faille.

Copacabana (6/10) : Le film est un peu vampirisé par Isabelle Hupert qui laisse peu de place au reste du casting mais on passe plutôt un bon moment.

Le secret de Charlie (2,5/10) : Guimauve improbable pour fans transis de Zac Efron.

Unstoppable (4/10) : Une certaine tension mais la recette est trop similaire à un attaque du Métro 123 déjà bien usé.

Date limite (4/10) : Quelques sourires mais il manque la folie de Very Bad Trip.

Red (4/10) : Malgré le casting, ça tourne à vide faute de véritable scénario et de dialogues paresseux.

Sex and the city 2 (2,5/10) : Interminable et aseptisé, cette ode au luxe débridé finit par provoquer l'écœurement.

La famille Jones (6/10) : Une bonne idée de départ mais cette critique de la société de consommation aurait pu s'avérer plus mordante ayant tendance à patauger parfois dans les travers de la comédie familiale.

Mon babysitter (5,5/10) : Surfant sur la vague des femmes cougar, une comédie convenue avec quelques dialogues amusants et une Catherine Zeta-Jones en pleine forme.

Mother & child (7,5/10) : Malgré quelques grosses ficelles de scénario, un drame particulièrement émouvant grâce aux formidables Naomi Watts et Annette Bening.

Création (4,5/10) : Le dilemme de Charles Darwin face à la religion se retrouve noyé dans un ennuyeux mélo sur la perte de sa fille. Anecdotique.

L'italien(4/10) : Délassant la comédie en jouant sur la victimisation à outrance, le message de tolérance, bourré de clichés, tourne à l'exaspération.

Mords-moi sans hésitation(3/10) : parodie de Twilight qui arrive pendant une petite demi-heure à être plus divertissant que son modèle.

Enter the void (6,5/10) : Une expérience visuelle en soi mais qui lasse parfois par son côté répétitif . __ Harry Potter et les Reliques de la Mort__ (6/10) : Plus convainquant que certains épisodes précédents il reste quand même beaucoup de longueurs pour enthousiasmer un non lecteur de la saga.

Scott Pilgrim (5,5/10) : L'originalité de la mise en scène captive en début de film, mais à jouer trop sur la répétition, l'ensemble devient un peu lassant

Monsters (4/10) : Plus d'une heure et quart de dialogues creux pour finir sur l'accouplement de Paul et Paulette Le Poulpe, c'est quand même limite esbroufe.

Machete(7/10) : Même si les recettes de Planète Terreur ne sont pas vraiment renouvelées, le casting de choix et l'action décomplexée en font un divertissement appréciable.

Nowhere boy (6/10) : Biopic soigné et bien interprété mais l'orientation mélodramatique sur les péripéties familiales plutôt que sur la genèse musicale de Lennon génère malgré tout un ennui poli.

Les Trois prochains jours (5/10) : Une certaine efficacité mais la qualité émotionnelle et le niveau de l'interprétation n'égalent pas ceux de son modèle français.

Le Royaume de Ga'Hoole(6/10) : Une qualité d'animation assez impressionnante compense une histoire pas vraiment exaltante.

Raiponce (6,5/10) : Un conte de fées séduisant par son humour et sa mise en scène, reste des passages chantés assez gnangnan.

L'arbre (6/10) : Un arbre joli à regarder mais qu'on a parfois envie de secouer tant la passivité de son personnage principal (C. Gainsbourg ) est ponctuellement horripilant.

Le voyage extraordinaire de Samy (5/10) : Tout ça est agréablement mis en image mais son scénario plan-plan à l'humour bateau le cantonne à évoluer en maternelle petite section.

L'age de raison (3,5/10) : Scénario nunuche, Marceau qui en fait des tonnes, globalement agaçant

We are four Lions (4/10) : Quelques blagues potaches qui prêtent à sourire, mais le comportement pathétique de cette bande de bras cassés finit par lasser.

Skyline (3/10) : Si les sfx tiennent la route, le scénario en mousse prête plus au rire qu'au suspens.

The tourist (5,5/10) : Pas vraiment le nanar annoncé, à la fois chic (Angelina) et boursoufflé (Johnny), sympathique et vain.

Le monde de Narnia : l’odyssée du passeur d’aurore (5/10) : Visuellement plus abouti que les précédents opus, le scénario résolument enfantin et l'interprétation sans panache empèchent le film de décoller.

Mégamind(6/10) : Pas déplaisant dans son ensemble, une production Dreamworks qui n'arrive pourtant pas à rendre ses personnages vraiment attachants. VF assez soulante.

White Material (4/10) : Huppert refais le coup de Barrage contre le Pacifique : pas plus convainquant. Reste la B.O de Tindersticks.

Que justice soit faite (3,5/10) : Scénario capilotracté et morale populiste. Pas vraiment ragoutant.

Djinns (6,5/10) : Un film de genre français au scénario plutôt original et au suspens maintenu malgré quelques maladresses.

600 kilos d'or pur (3/10) : Un beau ratage ou même les acteurs ne semblent pas y croire.

A bout portant (7/10) : un polar tendu et maitrisé malgré quelques invraisemblances.

Mon beau-père et nous (4,5/10) : Le duo Stiller/De Niro ne suffit pas à cacher la misère de gags réchauffés et prévisibles.

Bébé mode d'emploi (3,5/10) : C'est finalement l'intermède dramatique qui est pratiquement le mieux réussi dans cette comédie paresseuse qui aurait pu s'appeler un homme, une femme et un couffin

Chatroom (5/10) : Pas convaincu par cette représentation du monde virtuelle sous la forme de bavardages de théâtre surtout qu'ils passent par tous les poncifs fait à la toile.

Poetry (8,5/10) : Un petit miracle de finesse, de tact et d'humanité. Dans mon top 10.

Un balcon sur la mer(5,5/10) : Une entame de film assez intrigante autour de moments clés de l'enfance puis le tout se dilue dans une sorte de thriller insignifiant malgré les efforts du couple Croze/Dujardin.

Le premier qui l'a dit (6/10) : comédie qui sent bon l'Italie malgré quelques baisses de rythme et des séquences vaudevillesques un peu lourdes.

Rabia (6/10) : mélodrame empruntant parfois les codes de films d'horreur : c'est joliment filmé, l'actrice principale est superbe mais tout ça manque de réelle surprise.

Cyrus (6/10) : Quelques fulgurances comiques mais aussi pas mal de baisse de rythme. Heureusement il y a le charme de Marisa Tomei.

Les émotifs anonymes (7,5/10) : comédie fine, touchante et bien dosée avec un duo d'acteurs épatants.

Another year (7/10) : une comédie naturaliste aux acteurs attachants mais au regard parfois déprimant.

Crime d'amour (6/10) : La confrontation Sagnier/Scott-Thomas est plutôt enthousiasmante, mais l'explication finale de la machination s'avère trop didactique pour passionner jusqu'au bout.

Krach (4,5/10) : Malgré un Gilles Lelouche crédible et un sujet qui renvoie à l'actualité, on a du mal à croire à ce scénario tarabiscoté qui ne fait qu'effleurer les tensions des salles de marché.

Le Bruit des glaçons (5/10) : Un Blier qui n'étonne pas, qui laisse à distance, malgré le potentiel de l'idée de départ.

D'amour et d'eau fraiche (6,5/10) : Servi par une épatante Anaïs Demoustier, un portrait naturaliste d'une jeunesse sur-diplômée dans un monde en crise plutôt réussi malgré quelques maladresses de scénario.

Love, et autres drogues (5/10) : Si le couple vedette fonctionne, les situations prévisibles s'enchainent, les scènes de sexes n'ont rien de torrides et l'humour manque de finesse.

Rendez-vous l'été prochain (5,5/10) : Comédie indé douce-amère un peu poussive malgré une interprétation convaincante du duo P. Seymour Hoffman - Amy Ryan.

Rudo et Cursi ( 5/10) : Farce folklorique qui force parfois sur la caricature, mais avec des passages amusants.

Notre jour viendra(2/10) : cabotinage en règle et provocation ridicule.

Insoupçonnable (3,5/10) : Malgré un casting prometteur, on s'endort dans ce thriller couru d'avance, noyé dans une musique pompière.

Miral (5,5/10) : Malgré ses bonnes intentions d'aborder 60 ans d'histoire à travers le regard de femmes palestiniennes, le film s'embourbe dans le trop didactique et la caméra s'éparpille en laissant un regard trop superficiel sur la complexité du conflit. Dommage.

Burlesque (3/10) : Entre le showgirl habillé et le méga clip Haguilera. Ca va 5 minutes, plus c'est l'indigestion.

Le café du pont (2,5/10) : Le cinéma naturaliste de Poirier vire à l'album de souvenir insipide. Plus efficace qu'un somnifère.

Les petits ruisseaux(6,5/10) : Il faut bien dire que les pérégrinations du génial Daniel Prévost s'avèrent assez réjouissantes malgré quelques baissent de rythmes. Une vision assez jubilatoire et attendrissante du 3ème age.

Happy Few (5/10) : Une ode à l'échangisme qui sonne un peu trop artificielle, mais les acteurs se donne à fond dans l'entreprise.

Hors-la-loi (5,5/10) : De bonnes intention de montrer des aspects peu connus de l'accession à l'indépendance algérienne, de rares mais spectaculaires scènes d'action, mais le tout est décousu, les dialogues trop ampoulés, pour arriver au niveau d'un "bataille d'Alger".

Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu (6/10) : Quelques passages savoureux mais rien de vraiment marquant.

Tamara Drewe (6/10) : On ne s'ennuie pas mais l'ensemble manque d'enjeu et reste assez anecdotique.

Laisse-moi entrer (5,5/10) : Avec plus de sensationnel et moins de poésie, le remake américain semble bien inutile après avoir vu son modèle scandinave.

Illégal (7/10) : Le climat anxiogène et l'interprétation sont les réussites de ce film qui nous montre la face cachée des centres de rétention au dépend de certaines facilités de scénario pour faire passer le message politique.

Elle s'appelait Sarah (5,5/10) : Une première partie "la rafle, le retour", souffrant des mêmes défauts que son modèle : interprétation de téléfilm, reconstitution trop didactique, exagération du pathos. La fin s'avère plus subtile grâce surtout à l'interprétation de K. Scott Thomas.

Sans queue ni tête (3/10) : comédie psy plutôt glauque que I. Huppert n'arrive pas à sauver de l'ennui.

Simon Werner a disparu ... (6/10) : La mise en scène autour de multiples points de vue maintien le mystère avec suffisamment d'efficacité pour faire oublier la fin esbroufe. Excellente bande son.

Ça commence par la fin (2,5/10) : Entre sexe-tape Béart-Cohen et je t'aime moi non plus prétentieux. Chiant.

L'illusioniste(6,5/10) : La qualité de l'animation, le joli hommage à Tati, la poésie toujours présente, quelques gags amusants, atténuent la déception d'un scénario peu accrocheur et parfois déprimant.

Donnant, donnant (2/10) : Comment Auteuil et Azéma ont pu se fourvoyer dans ce téléfilm indigne ? Mystère. Un naufrage total.

Captifs (6,5/10) : Un survival classique et sans grande surprise mais plutôt au dessus du lot des production française du genre.

Potiche (6,5/10) : Du théâtre filmé à la Ozon : c'est agréable grâce à la direction d'acteurs mais pas inoubliable par son scénario.

Les petits mouchoirs (6,5/10) : Parfois émouvant, parfois irritant un film de potes plombé par son épilogue trop chargé.

venus noire (4/10) : Si on peut saluer la performance de l'actrice principale, le traitement long et démonstratif et une bonne dose de voyeurisme provoque nausée et ennui.

Un poison violent (6,5/10) : Le scénario est un peu léger mais le beau casting offre quelques jolis moments d'authenticité dans cette chronique sur l'adolescence qui lorgne du côté de Pialat.