Mutum (4,5/10) : Un regard sur l'enfance assez vaste mais qui manque cruellement de rythme pour vraiment bouleverser.

Twilight (3,5/10) : Une adaptation mollassonne en forme de pilote de série TV pour ados.

Import/Export (2,5/10) : Un portrait misérabiliste et glauque d'une frange de la société humaine qui ennuie tellement est grand son manque total d'empathie envers ses personnages.

Frozen River (6,5/10) : Si l'ambiance glacée peut rappeler le Fargo des frères Coen, le film reste assez éloigné du thriller, s'attachant plutôt à brosser des portraits de femmes que ne renierait pas Ken Loach. Il y réussit plutôt bien grâce à l'interprétation complémentaire de son duo d'actrices.

Sept vies (4,5/10) : Un mélo "gros sabots" et moralisateur à peine sauvé par la prestation en retenue de Rosario Dawson.

Les insurgés (5/10) : Malgré une esthétique glacée qui n'est pas sans rappeler un "Requiem pour un massacre", le film alterne scène de bataille sans grand intérêt et séquences pathos surchargés par une partition musicale imposante. Reste un Daniel Craig suffisamment subtil pour le rendre convaincant dans ce rôle de Moïse des temps troubles de la seconde guerre mondiale.

Slumdog Millionaire (7,5/10) : Une boule d'énergie sonore et colorée plutôt enthousiasmante.

Les 3 singes (5/10) : Si l'esthétique est remarquable et la mise en scène irréprochable l'ensemble n'évite pas l'ennui d'un scénario prisonnier de l'exercice de style. Ceylan, c'est lent ...

Plus tard tu comprendras (4,5/10) : Jeanne Moreau joue très juste mais la quête de vérité est diluée dans une succession de séquences scolaires et démonstratives.

Les noces rebelles (8/10) : Avec une Kate Winstley magistrale, un Di Caprio enfin adulte, une partition musicale pleine de finesse, Mendes hausse son mélodrame au niveau des classiques de Sirk.

Che - l'argentin (6/10) : Biopic confus, voir soporifique, ou l'on se raccroche à l'interprétation quasi-christique de Del Toro.

Yes man (5,5/10) : Du Carrey pur jus avec ses loufoqueries habituelles : ni lassant, ni emballant.

Walkyrie (6,5/10) : Une première heure un peu lisse et impersonnelle compensée par une seconde partie plus prenante ou la mécanique du coup d'état prend le pas sur l'organisation de l'attentat. Un docu-fiction honnête dans sa reconstitution sans pour autant être bouleversant dans son interprétation.

Les seigneurs de la guerre (4,5/10) : Gros casting, gros moyens mais entre quelques scènes d'actions spectaculaires reste beaucoup de longueurs, des acteurs inexpressifs et peu attachants.

Trahison(6,5/10) : Malgré un twist prévisible, un film sur le terrorisme qui évite le manichéisme facile et servi par un très bon casting.

L'étrange histoire de Benjamin Button (8/10) : Un film fleuve qui s'écoule sans beaucoup de vagues, rarement secouant, mais finalement assez bouleversant.

Morse (7,5/10) : La poésie qui se dégage de cette histoire hors norme excuse largement les quelques manques de rythme.

Volt, star malgré lui(6/10) : Une film d'animation dynamique, graphiquement réussie, mais qui reste un peu en dessous de l'originalité des derniers Pixar.

Doute (7,5/10) : Une réalisation austère qui fait émerger de grands numéros d'acteurs.

La légende de Despereaux(5,5/10) : Film d'animation plaisant à la forte impression de déjà vu.

The wrestler (7,5/10) : Rourke, la rédemption.

La panthère rose 2(3/10) : Humour daté et puéril malgré un beau casting.

Gran Torino (7,5/10) : Un film testament à l'humour vachard et à l'humanité émouvante.

Underworld 3 : le soulèvement des Lycans (3,5/10) : Préquel dispensable sauvé de l'ennui par quelques effets spéciaux et son ambiance gothique

Miss Pettigrew (6/10) : Vaudeville oubliable mis à part les performances des actrices et en particulier celle d'Amy Adams particulierement pétillante.

Harvey Milk (5/10) : film militant à l'éloge un peu trop panégyrique écrasé par l'interprétation convaincue de Sean Penn

Boy A (7,5/10) : D'une sobriété exemplaire dans sa réalisation, un film à la limite du sordide qui devient poignant grâce à l'interprétation intense d'Andrew Garfield.

Unborn(3/10) : Pas grand chose à retenir de cette tambouille ésotérique qui recycle les effets vu ici ou là sans imagination.

Les passagers(4/10) : Un film en sous-régime, incapable de décoller jusqu'à la sortie de piste du twist final. __ L'Enquête - The International__ (7/10) : Un thriller sur le monde la finance de bonne facture malgré un scénario un peu alambiqué.

L.O.L(4/10) : Un "boum 3" parfois sympathique dans son aspect comédie, souvent énervant dans ses clichés de "jeuns" rebelles.

Watchmen (6/10) : Réalisation plaisante mais scénario déroutant sans l'expérience de la BD.

Far North (6/10) : Un conte original dont le manque de rythme est compensé par une très belle photographie à qui profitent les paysages et les actrices.

Une nuit à New-York (5/10) : Un teen-movie sans grande ambition, mise à part une ballade nocture dans le microcosme de Big Apple.

La journée de la jupe (7,5/10) : Une fiction qui met "les pieds dans le plat" sur le modèle d'intégration à la française. Très forte interprétation d'Adjani et très bons seconds rôles qui fait oublier la réalisation téléfilm.

The chaser (7/10) : Une série B totalement maitrisée.

La ville fantôme (6/10) : L'humour décalé de Ricky Gervais constitue la seule note d'originalité de cette cette comédie romantique hollywoodienne.

Duplicity (5,5/10) : Si le duo Roberts/Owen fonctionne, le scénario bourré de flashback fini par agacer.

Une famile brésilienne(5/10) : Un tour d'horizon péssimiste d'une frange de la société brésilienne qui par son orientation documentaire laisse peu de place à l'émotion.

Revanche (6/10) : A la foi cru et pudique, une étude de cas sur la culpabilité qui surprend sans pour autant bouleverser.

Les 3 royaumes (6/10) : Une longue fresque avec des moments de bravoure et aussi pas mal d'ennui.

Le Chihuahua de Beverly Hills (2/10) : Si les tous petits s'amusent des aventures de ce Paris Hilton canin, les adultes rongent leur os devant ce monument de mièvrerie bling-bling.

Prédictions (6,5/10) : Un divertissement efficace mème si le mélange de genres semble parfois forcé.

Frost/Nixon(6,5/10) : Un film instructif faute d'être totalement passionnant porté par les confrontations de ses deux acteurs principaux

Katyn (6/10) : Malgré un style académique et une certaine confusion dans les multiples intrigues, une oeuvre qui joue son rôle de devoir de mémoire sur cet épisode contreversé de l'histoire polonaise contemporaine.

Fast & furious 4 (2/10) : Une poignée de scènes d'actions sans surprises perdues dans une intrigue policière ennuyeuse.

Joy Division (8/10) : Un documentaire qui éclaire avec sobriété l'âme de ce groupe culte des années 80.

Coco (1/10) : Affligeant comme un bonus d'un patron du Cac 40.

Religulous (5/10) : Un plaidoyer sur le doute en religion, dommage qu'il soit truffé d'imprécisions historiques et de raccourçis simplistes qui en limite la portée à la simple moquerie.

Rachel se marie(6,5/10) : La performance d'Anne Hathaway fait oublier les disgressions boboïsantes qui plombent un peu le rythme de l'ensemble.

Dans la brume électrique (6,5/10) : polar atmosphérique qui profite pleinement des décors du bayou, de la musique blues et de la mise en scène de Tavernier malgré une intrigue un peu confuse à jouer sur 2 tableaux et un montage parfois déroutant.

Ponyo sur la falaise (7,5/10) ; Un ravissement poétique subtilement écologique, plus orienté que d'habitude vers le très jeune publique.

Un été italien (6/10) : Un regard pudique et sensible sur le travail de deuil, pleinement aidé par le charme de ses jeunes actrices et la douceur italienne, mais qui, faute de véritable intrigue, fini par tourner en rond.

Wendy & Lucy (5/10) : Si la justesse du jeu de Michelle Williams arrive à rendre touchant son personnage déboussolé par la perte de son compagnon canin, le film atteint rapidement les limites du minimalisme de son scénario.

Of time and the city(4,5/10) : Un montage d'archives et son accompagnement musical qui pouvait presque se suffir à lui même malheureusement désservi par un commentaire des plus ampoulé.

Loin de la terre brulée (6,5/10) : Malgré quelques baisses de rythme, le scénariste de "Babel" offre, dans cette première réalisation, un plateau d'argent pour des actrices d'exception.

La Dernière maison sur la gauche (6,5/10) : un remake qui tient (enfin) ses promesses, efficace et violent.

Le secret de Lily Owens (4,5/10) : Un mélo larmoyant et académique malgré une Dakota Fanning assez touchante.

Still walking (7,5/10) : Un chronique familiale nostalgique qui n'est pas sans rappeler le maitre Ozu.

Wolverine (4,5/10) : Pas déplaisant dans ses effets spéciaux mais complétement inutile dans son scénario.

Meurtres à la St Valentin (3,5/10) : Sans les effets 3D, c'est encephalogramme plat.

Un mariage de rêve (6,5/10) : De bonnes répliques pour une comédie anglaise subtilement accompagnée par des tubes pop adaptés en version jazz.

Good morning England (7/10) Une comédie déjantée dont la véritable star est la BO sorte de discothèque idéale pour ile déserte.

Confessions d'une accro du shopping (4/10) : Isla Fisher fait ce qu'elle peut mais le scénario ne décolle jamais de la guimauve redoutée.

Anges & démons (6/10) : C'est sans surprise mais malgré tout distrayant.

Millénium (7/10) : On ne s'étendra pas sur la réalisation plutôt terne et proche d'un téléfilm pour saluer le respect détaillé du roman et l'incarnation assez bluffante du personnage de Lizbeth Salander par Noomi Rapace.

Un éclair de génie (5,5/10) : Un film de procès à l'américaine qui vaut surtout pour l'interprétation motivée de Greg Kinnear.

The women (3/10) : Un sous sex and the city souvent bavard, parfois ridicule, et globalement ennuyeux.

La nuit au musée 2 (4/10) : Un scénario laborieux qui ne bénéficie pas de l'effet de surprise du 1er opus.

Home (6/10) : Un constat accablant à travers des images esthétisantes qui survole à la fois les problèmes et aborde timidement les solutions.

OSS 117 : Rio ne répond plus (5/10) : Si la reconstitution sixties est plaisante, je suis passé à côté d'un humour qui semble faire l'unanimité. Ennui.

Coraline(6/10) : Animation plutôt enthousiasmante malgré un scénario un peu brouillon.

Les intrus(2,5/10) : Remake gnan-gnan, jolies actrices.

Dancing girls (2/10) : Scénario rabaché et chorégraphies vulgaires.

Smart People (4/10) : Le casting ne sauve pas un scénario mollasson et bavard.

Jeux de pouvoir (6,5/10) : Un thriller efficace mais bien moins riche et prenant que la mini-série dont il tire le scénario.

Sherrybaby (6/10) : Maggie Gyllenhaal se met à nu au sens propre comme au figuré mais le discours un peu trop misérabiliste peine à convaincre.

Notorious Big (5/10) : Biopic platement mis en scène et assez vulgaire mais malgré tout soutenu par une solide interprétation.

Very bad trip (4/10) : Comédie régressive plus épuisante que tordante.

Dragonball Evolution (1/10) : Ridicule !

De l'autre côté du lit (2,5/10) : Du cliché à la pelle. Ennui mise à part l'incursion des Stooges et Buzzcocks dans la bande son.

L'age de glace 3 (6,5/10) : Il y a Scrat ... mais aussi pas mal de réchauffé.

Coeur d'encre(5/10) : Un film d'héroic fantasy qui se déroule sans grande conviction au deçà de ce que présageait l'idée de base du scénario.

Transformers 2 (3,5/10) : intellectuellement inerte, physiquement épuisant.

Terminator renaissance (6/10) : Plutôt efficace mais totalement impersonnel et finalement vite oublié.

Tokyo Sonata (7,5/10) : Un mélodrame totalement maitrisé, mise à part un petit passage qui part un peu en vrille, mais compensé par un final bouleversant.

Sunshine cleaning (6,5/10) : Pas aussi décalé que "Little miss", le film offre surtout un joli duo féminin avec les épatantes Amy Adams et Emily Blunt.

Che - guerilla (7/10) : Malgré des longueurs, le personnage campé par Del Toro maintient le lyrisme de l'entreprise.

Public Enemies(7,5/10) : Mise en scène enthousiasmante, scénario un peu frustrant.

The reader (8,5/10) : Une histoire et des acteurs bouleversants.

Un Enfant pas comme les Autres (5,5/10) : C'est gentil tout plein, le gamin est rigolo mais c'est quand même pas grandiose.

In the shadow of the moon (7/10) : 40 ans après, l'expérience semble toujours incroyable.

Girlfriend Experience (4/10) : A part les choix musicaux, le tout est bavard et ennuyeux.

Harry Potter et le prince de sang mélé (5/10) : Une histoire décousue et soporifique à ranger dans le teen movie à la sauce Twilight. __ Victoria : les jeunes années d'une reine__(5,5/10) : Un portrait aseptisé malgré une Emily Blint convaincante.

Miss march (3,5/10) : Une pochade bien lourde qui offre quelques fou-rires.

Brüno(2,5/10) : Provocation trash voir porno dont on mesure mal l'improvisation, tout ça est fait avec tellement de nombrilisme de la part de Cohen qu'on en arrive presque à ressentir de l'apathie pour les "victimes", pourtant parfois "gratinées".

Soie(3,5/10) : La photographie soignée ne sauve pas l'ensemble de l'ennui généré par un rythme d'une lenteur rédhibitoire et des acteurs sans consistance.

I love you, man (5/10) : Du Apatow "light" avec quelques bonnes répliques, mais le scénario manque de surprises.

Midnight meat train (6,5/10) : L'acteur principal est un peu transparent, mais le tout reste convainquant grâce une photographie glacée et une grande générosité dans les scènes "gore".

l'attaque du metro 123(5,5/10) : Quelques moments de suspens et d'action viennent réveiller une machine qui tourne souvent à vide, freinée par d'incessants radotages.

Somers town (6/10) : Une chronique pittoresque d'un quartier londonien qui reste au final assez superficielle malgré la gouaille du jeune Thomas Turgoose. Accompagnement musical sympathique.

Et après (4,5/10) : Malgré un beau casting, l'esthétisme new age de la réalisation fini par étouffer tout suspens.

Envoyés très spéciaux (2,5/10) : Quelques pics bien sentis sur le monde des médias, mais des acteurs qui "rament" dans un scénario invraisemblable.

Un homme et son chien (3,5/10) : Une pléiade d'acteurs rendant hommage à un vieux camarade diminué : une œuvre sans rythme ou l'émotion fait place à un certain malaise généré par un scénario parfois racoleur.

Ce que pensent les hommes (4,5/10) : comédie chorale laborieuse à peine sauvée par son casting de luxe.

La guerre des miss(4/10) : Même si Poolvoerde sauve un peu les meubles, le tout est poussif et daté.

Diamant 13 (4,5/10) : La noirceur d'un MR73, un Depardieu impeccable, mais une réalisation digne d'un épisode de commissaire Moulin et un scénario alambiqué qui laisse sur sa faim.

Vendredi 13 (3/10) : Un scénario archi-rabaché et quelques belles paires de (o)(o)

Là-haut (7/10) : De jolies morceaux de poésie (au début), une réflexion mélancolique sur la vieillesse, offrent les meilleurs moments d'un Pixar techniquement irréprochable mais qui tombe parfois dans la facilité dans ses choix de scénario.

G.I Joe (6/10) : un blockbuster au scénario crétin mais assumé, plein d'action sans être soûlant.

Le bal des actrices (4,5/10) : Profondément narcissique et filmé avec désinvolture, un pseudo reportage parfois émouvant souvent irritant.

Push (3,5/10) : Malgré un casting et des décors plutôt plaisants, on abandonne tant le scénario est sans queue ni tête.

Espion(s) (5,5/10) : Un film de genre servi par une bonne interprétation. Dommage que l'intrigue soit plutôt mince et la tension limitée à la confrontation entre Canet et Paillhas.

Bronson (6/10) : Interprétation remarquable, excellente bande son, mais les choix de réalisation nous gardent éloigné du personnage qui reste au final qu'une bête de foire.

The square (5/10) Un polar australien au scénario bien noir qui aurait pu être réussi si on avait confié la mise en scène aux frères Coen

A l'aventure (4/10) : Le trip érotico-mystique de Brisseau fait plouf.

Le séminaire (2,5/10) : comédie française plus affligeante qu'amusante.

Brendan et le secret de Kells (7,5/10) : Même si on garde parfois une certaine distance avec l'histoire du fait d'un script un peu décousu, la qualité graphique associée à la musique de Coulais ne lassent jamais.

Cyprien (2/10) : Un plagiat assez pathétique de Dr Jerry et Mister Love.

Inglorious Basterds (7/10) : Tarantino s'amuse toujours autant avec des recettes qui manque pourtant parfois d'inovation. Casting de choix avec Waltz et Krugger.

Je te mangerais (6,5/10) : Un drame intimiste sur fond de relation saphique surtout porté par ses deux remarquables actrices et sa bande son inspirée.

Le code a changé (6/10) : Casting de luxe, dialogues savoureux, mais trop superficiel pour susciter une émotion durable.

La copine de mon meilleur ami (4,5/10) L'abominable vérité (4,5/10) : Deux comédies "romantiques", quasiment interchangeables, dont la performance semble tenir dans l'écriture des dialogues les plus grossiers et les plus crus. C'est totalement prévisible mais certaines situations offrent quelques fous rires.

Un prophète (9/10) : Une oeuvre magistrale, chef d'oeuvre de son réalisateur.

12 rounds (3,5/10) : Le monolithe Cena enchaine des scènes d'action rabâchées en automatique. Barbant.

Destination finale 4 (4/10) : Si l'imagination mise au service de ce grand jeu mortel de chute de dominos amuse encore parfois ; la faiblesse du scénario, des dialogues et de l'interprétation renforcent l'essoufflement de la série.

Ricky (5/10) : Un conte métaphorique plutôt bien interprété mais dont on ne voit pas vraiment le but. __ Eden à l'ouest__(5/10) : Un conte métaphorique qui joue trop sur les clichés pour en faire un pamphlet. Reste un road-movie ou l'on ne s'ennuie pas, faute de convaincre.

Le premier cercle (4/10) : Ca aurait pu s'appeler le clan des arméniens ; malheureusement, au casting, il n'y a ni Gabin, ni Delon, ni Ventura et encore moins Morricone. Au final on se retrouve avec un polar mou du genou avec une interprétation léthargique malgré une photographie soignée.

Numéro 9 (6,5/10) : Convainquant dans sa mise en scène, sa richesse graphique et son univers post-apocalyptique bien restitué, on reste un peu mitigé sur son scénario trop sombre pour les enfants et trop simpliste pour les adultes.

Ultimate game (3,5/10) : Réalisation épileptique pour scénario bourrin (proche de "Death race") qui sous-exploite l'idée prometteuse d'un "second life" dans le monde réel. Seule consolation : les rares apparitions réjouissantes de Michael C Hall.

Les cavaliers de l'apocalypse (3/10) : Avec son interprétation sans nuance, ce thriller filmé platement, qui puise allégrement dans se7en le silence des agneaux et saw, atteint parfois des sommets de caricature.

District 9 (7/10) : Un mélange malin de série B et de réflexion politique.

le missionnaire (3/10) :A la vision de cette production calibrée pour les premières parties de soirée TF1, on est plus désolé par le discours niais et démago sur les religions que par les gauloiseries de Bigard .

Welcome (7,5/10) : Derrière le drame humain de la jungle calaisienne, Lioret expose avec beaucoup de sensibilité et retenu deux histoires d'amour émouvantes et complémentaires.

Bellamy (5,5/10) : L'intrigue est anecdotique ; on se raccroche aux quelques dialogues savoureux et aux interprétations de Depardieu très en forme et d'une troublante Marie Bunel.

La vague (5/10) : La forme prise pour dénoncer le totalitarisme est trop démonstrative, les arguments pas très convaincants, reste quand même un épilogue plutôt efficace.

Un barrage contre le pacifique (3/10) : Malgré les belles images du Cambodge, on sombre dans un ennui poli faute de conviction dans l'interprétation et d'une mise en scène très plate.

La proposition (4/10) : Comédie romantique sans surprise qui aurait méritée d'être plus grinçante.

La fille du RER (4/0) : Téchiné passe à côté du sujet en nous entrainant dans des histoires familliales secondaires et sans interêts. Reste le duo Duquenne/Duvauchelle assez convainquant.

Pierre et le loup (7/10) : Un court métrage à l'atmosphère singulière qui fait la part belle à la partition de Prokofiev en éliminant toute voix off.

Romaine par moins 30 (5/10) : comédie loufoque ou Kiberlain excelle mais au scénario trop baclé pour maintenir le rythme sur la longueur.

Erreur de la banque en votre faveur (6/10) : Un excellent casting pour une comédie sur le monde de la finance qui aurait pu être plus incisive.

Je l'aimais (6,5/10) : Si l'histoire est plutôt émouvante, le duo Auteuil-Croze parfois au diapason, il manque un peu d'intensité dans la mise en scène pour convaincre entièrement.

Celle que j'aime (2/10) : tout sonne factice dans cette comédie ou le seul but de Chouraqui semble de multiplier les occasions de dévoiler la plastique de son actrice vedette. __ The other man__ (3,5/10) : Si le début laisse présager une sorte de thriller psychologique, on s'enlise vite dans le mélo lourdingue à la limite du ridicule. Dommage pour le casting qui méritait mieux.

Quelque chose à te dire (4,5/10) : Si les dialogues sont plutôt bien écris et pertinents, le scénario basé sur des coïncidences invraisemblables laisse dubitatif.

Coco avant Chanel (5/10) Biopic ennuyeux, académique, trop concentré sur la vie sentimentale de l'héroïne, malgré la justesse du casting

Un chat un chat (3,5/10) : Une fantaisie décalée souvent proche du n'importe quoi, reste Chiara Mastroianni à son aise dans cette aventure ennuyeuse.

La première étoile (5,5/10) : comédie plutôt lisse au scénario prévisible sauvée par ses personnages, en particulier la folklorique Firmine Richard.

Pandorum(6/10) : Malgré son manque visible de moyens et ses emprunts à quelques classiques du slasher et de la SF, un film qui offre quelques surprises inattendues de scénario pour une mise en scène efficace.

Looking for Eric (6,5/10) : Un film plutôt bon enfant avec un Canto malicieux vrai atout du scénario.

(500) jours ensemble (6,5/10) : Sans être révolutionnaire, une comédie romantique qui sort du lot grâce à la craquante Zooey Deschanel et à sa bande musicale de bon goût.

Les joies de la famille (6/10) : On pourra lui reprocher une sur-dose de bons sentiments mais ce film à le mérite d'aborder l'homoparentalité dans la société libérale suédoise sans forcer sur la caricature.

Funny people (3/10) : un film interminable, mélange de blagues régressives et d'apitoyement rasoir, qui semble prouver que les plaisanteries les plus courtes sont aussi souvent les meilleures.

Humains (1,5/10) : Difficile d'être indulgent face à un pareil ratage ou à peu prêt tout, de l'interprétation aux effets spéciaux, sombre dans le ridicule.

Mission-G (5/10) : Si l'aspect technique offre quelques surprises le tout est bien trop balisé et simpliste pour ne s'adresser qu'à un public très jeune.

Monstres contre aliens (6,5/10) : Le scénario n'est pas très fouillé mais l'aspect graphique est plaisant et l'humour présent à travers ses références cinématographiques.

Cheri (5,5/10) : Si la forme est somptueuse ( reconstitution historique, une Michelle Pfeiffer rayonnante, quelques dialogues incisifs ) le fond reste fade, sans enjeu, à part son épilogue qui concentre l'essentiel de l'émotion.

Villa Amalia(4/10) : du 100% Huppert, distance et glaçante, pour un film morose qui s'illumine le temps d'une escapade en Italie.

35 Rhums(5/10) :Quelques moments de grâce mélancolique dans un ensemble taciturne qui demande beaucoup de disponibilité au spectateur pour éviter de sombrer dans un profond ennui.

L'autre (4,5/10) : Des atouts techniques indéniables ( longue focale, bande son classieuse ), une Dominique Blanc habitée, mais un récit décousu et artificiel pour un résultat plutôt vain.

Whiteout (3,5/10) : On pense à The Thing pour l'ambiance pôlaire mais malheureusement le suspens est totalement figé dans la glace et on s'ennuie malgré la présence de Kate Beckinsale.

Jennifer's Body(6/10) : Scénario teen-movie mais suffisamment d'humour et la présence magnétique de Megan Fox pour sortir du lot.

Sin Nombre (6,5/10) : Malgré quelques baisses de rythme et une tendance à vouloir aborder trop de sujets à la fois, une plongée réaliste et dure dans l'émigration clandestine et les guerres de gang en Amérique centrale. Les acteurs sont convaincants, la photographie remarquable et la bande originale attachante.

The children (5,5/10) : Une ambiance malsaine bien maitrisée mais l'ensemble manque de crédibilité.

Safari (3,5/10) : gags poussifs et dialogues laborieux. Reste quelques paysages.

Winnipeg mon amour (5/10) : Un fourre-tout ingénieux mais soûlant.

Clones (5,5/10) : Une bonne idée de départ gâchée par un scénario paresseux.

Les Zintrus (3/10) : Comédie familiale plutôt laide qui semble avoir été filmée il y a un quart de siècle.

Mary & Max (7,5/10) : Un festival d'émotions et une belle réussite technique dans l'animation.

Fish tank ( 6,5/10) : Si le scénario en fait parfois un peu trop, il reste de jolies scènes grâce à la révélation Katie Jarvis.

Lascars (3,5/10) : Graphisme original mais globalement ennuyeux : trop de clichés et de bavardages.

Away we go (5,5/10) : Comédie sentimentale molle du genou malgré quelques dialogues savoureux. Déception.

Saw 6 (3/10) : ça sent la remballe ...

King guillaume (2,5/10) : Humour bêta qui finit par tourner en rond.

Soeur sourire (5,5/10) : Un peu longuet malgré les efforts de Cécile de France pour donner corps à ce destin singulier.

Les vies privées de Pippa Lee (6/10) : Un chronique de desperate housewive au casting haut de gamme mais parfois un peu trop écrite et pas assez filmée.

Whatever works (6,5/10) : ça se regarde avec plaisir grâce à la finesse des dialogues mais l'ensemble reste assez inoffensif.

Ne te retourne pas (4/10) : Quelques morphings parfois troublants ne sauvent pas un scénario bancal.

Les beaux gosses (6/10) : comédie naturaliste aux gags réussis à laquelle il manque un véritable scénario.

The box (7/10) : Scénario un peu embrouillé mais une vrai tension et une remarquable reconstitution des années 70.

L'Imaginarium du Docteur Parnassus (5/10) : Quelques passages fantasmagoriques visuellement somptueux, des acteurs attachants, mais une histoire qui génère beaucoup d'ennui.

2012 (5/10) : Des scènes de destructions impressionnantes mais un scénario souvent grotesque.

Incognito (5,5/10) : Comédie inoffensive avec quelques bonnes réparties.

Commis d'office (4,5/10) : Un regard parfois acide sur la justice mais plombé par une réalisation approximative.

Vertige (4/10) : De beaux décors, ponctuellement éprouvant, mais scénario sans surprise.

Bambou (6/10) : Quelques dialogues savoureux et des seconds rôles attachants font oublier le manque d'ambition du scénario.

Toy boy (2,5/10) : La chair est triste ...

Hors du temps (4,5/10) : Une romance plutôt mièvre ou l'émotion se dissout dans les allers-retours spatio-temporel. Reste le charme de Rachel McAdams.

Bienvenue à Zombieland (7/10) : Une comédie gore jubilatoire.

Vincere (6,5/10) : Si l'originalité de la mise en scène par son apport d'image d'archives et la prestation remarquable de l'actrice principale séduisent, le lyrisme parfois pompeux de l'ensemble génère aussi quelques plages d'ennui.

Twilight 2 (3,5/10) : Privé de la découverte des personnages du premier épisode, on se retrouve dans une suite gnangnan et sans surprise d'un pâle ersatz de Roméo et Juliette.

Etreintes brisées (6/10) : Malgré une excellente Penelope Cruz, le scénario est plutôt paresseux et le tout manque d'émotion.

Neuilly sa mère (5,5/10) : C'est caricatural mais quelques dialogues font mouche.

Ou est la main de l'homme sans tête (5/10) : Cécile de France est remarquable mais le scénario trop alambiqué.

J'ai tué ma mère (3,5/10) : trop narcissique pour être honnête.

L'assistant du vampire (4/10) : adaptation puérile et brouillonne, on s'ennuie rapidement.

Vengeance (7/10) : Un Johnny qui s'impose dans un polar classique mais maitrisé et une bande son attachante.

Tellement proches (5/10) : Ça commence plutôt fort avec un ton grinçant réjouissant puis ça s'éparpille dans la comédie communautaire avec beaucoup de lourdeur.

College rock star (5,5/10) : Quelques références indé et des morceaux rock'n roll font illusion dans un ensemble qui peine à s'affranchir du scénario teen-movie redouté.

Paranormal activity (6/10) : Pas mal de temps morts mais ça fonctionne si on se laisse prendre au jeu.

Hotel woodstock (7/10) : Un comédie plutôt zen avec un soucis de reconstitution historique.

Adieu Gary (5,5/10) : Western social aux personnages attachants, manque une véritable histoire.

Joueuse (5/0) : Un portrait de femme plutôt convenu, reste l'interprétation et un petit suspens final autour d'une compétition d'échec.

Tricheuse (2,5/10) : comédie laborieuse qui pourrait faire le bonheur des premières parties de soirée de TF1.

Mutants (5,5/10) : Un film de genre français réussi dans sa mise en scène, ses maquillages et décors mais sans grande surprise scénaristique.

The proposition (7,5/10) : Western brutal et mélancolique judicieusement mis en valeur par une image magnifique et la partition de Nick Cave.

Le ruban blanc (7,5/10) : Mise en scène formidable même si la thèse du rigorisme religieux aboutissant au fascisme n'est pas totalement convaincante.

Tempête de boulettes géantes (6/10) : Une façon originale de dénoncer les dérives de la société de consommation même si on atteint parfois l'écœurement.

Le soliste(5,5/10) : Un regard crédible sur les sans-abris aux US mais emballé dans un scénario ou les acteurs cabotinent à l'excès.

Tétro(6/10) : On sent que Coppola s'est fait plaisir, c'est formellement exceptionnel avec des acteurs à la hauteur, au détriment d'un fond qui génère aussi beaucoup d'ennui.

Avatar (8/10) : Un spectacle total grâce à une 3D utilisée à bon escient, un univers bluffant qui force l'indulgence sur un scénario naïf aux personnages parfois caricaturaux.

Julie et Julia (3,5/10) : Malgré l'abattage de Meryl Streep en Maïté US on s'ennuie rapidement dans un récit qui contient moins de surprise que dans une séquence de "un diner presque parfait".

The answer man (4,5/10) : comédie romantique conventionnelle qui fonctionne par intermittence grâce au personnage de Jeff Daniels.

Partir (6/10) : La prestation de Kristyn Scott Thomas sauve un scénario rabâché.

Esther (7/10) : Efficace et prenant ( superbe scène dans le château d'escalade pour enfant), Esther se révèle moins intriguant que son prédécesseur Joshua.

Accident (6,5/10) : Une intrigue en béton armée même si la réalisation se complait parfois dans l'exercice de style.

Une semaine sur deux (4,5/10) : Scénario trop convenu malgré quelques touches d'émotion.

En eaux troubles (7/10) : Un film norvégien qui surprend par son montage bascule entre l'univers de l'accusé et de la victime sur un sujet déjà effleuré par Boy A. Si la réalisation parait parfois distante et froide, elle est compensée par une photographie soignée et la qualité de l'interprétation.

Departures (6,5/10) : Quelques longueurs, mais la délicatesse des rituels offre de jolis moments d'émotions.

Antichrist (4,5/10) : Une séance de psychanalyse qui sent l'esbroufe malgré la qualité de la photographie et de l'interprétation.

Une arnaque presque parfaite (4/10) : Un récit incompréhensible pour un casting aussi perdu que le spectateur.

Little New York (4,5/10) : Scénario trop léger et prévisible tue dans l'œuf cette tentative de comédie/polar à la Tarantino.

Adoration (6/10) : un puzzle intriguant et plutôt intelligent mais qui embrasse trop de thèmes en négligeant l'émotion.

Bancs publics (5/10) : Comédie poussive ou l'on finit par compter les vedettes plutôt que les bons mots.

Fais moi plaisir ! (6/10) : Une incursion dans le burlesque façon Black Edwards fait oublier le côté agaçant du jeu de Mouret.

Le déjeuner du 15 août (6/10) : Si le film dégage un charme indéniable grâce au côté pittoresque de ses actrices, il manque un peu de piquant pour s'élever au niveau des classiques de la comédie italienne.

No pasaran(4,5/10) : Comédie régionaliste avec quelques jolis clin d'œil mais qui reste assez approximative dans sa réalisation.

Jaffa (6,5/10) : Une adaptation moderne de Roméo & Juliette, inégale, mais qui donne à réfléchir.

Le coach (5,5/10) : Comédie sans grande ambition qui se suit sans ennui essentiellement grâce au personnage de JP Rouve.

Non ma fille tu n'iras pas danser(6/10) : Si l'interprétation est remarquable, les personnages sont tellement ego-centré que l'ensemble en devient agaçant.

L'armée du crime (5,5/10) : Le sujet méritait d'être traité, dommage que la mise en scène complètement fade ne rende pas les personnages attachants.

La route (7/10) : Comment garder un semblant d'humanité dans un monde à l'agonie, une démonstration réussie grâce à la force de l'interprétation de V. Mortensen.

Pas si simple (5/10) : Un comédie qui tourne en rond malgré le tonus des acteurs.

Le dernier pour la route (6/10) : Un film humain malgré une description clinique qui fait parfois un peu trop spot de prévention contre les dangers de l'alcoolisme.

The informant !(4/10) : Bavard et soporifique malgré une bonne interprétation.

Le roi de l'évasion (3,5/10) : Une œuvre décalée qui louvoie entre le grotesque et le vulgaire.

Je vais te manquer(2,5/10) : film choral raté ou Amanda Maruani gâche le potentiel de son casting en enfilant les clichés.

Le petit Nicolas(5,5/10) : Adaptation gentille et lisse.

Les regrets (4,5/10) : Une histoire de passion sans émotion qui tourne en rond.

Rien de personnel(4/10) : Un scénario tortueux qui génère confusion et ennui malgré un beau casting.

Le Cri du hibou(4,5/10) : un téléfilm de luxe plutôt planplan loin de la tension érotique de la version de Chabrol.

The Cove(7,5/10) : Un docu militant qui prend la forme d'un thriller pour révéler un scandale écologique et de santé publique.

Lucky Luke (3/10) : Beaux décors ... et c'est tout.

Demain dès l'aube (7/10)

Jusqu'à toi (5/10)

Victor (4/10)

Divorces (3/10)

Le concert (5/10)

Le temps qu'il reste (6,5/10)

This is it (6/10)

L'affaire Farewell (6,5/10)

Les herbes folles (4/10)

Cinéman (0,5/10)

Rapt (8/10)

The damned united (6/10)

Red Riding : 1974 (7,5/10)

Red Riding : 1980 (6,5/10)

Red Riding : 1983 (7/10)

Une affaire d'état (6/10)

Trésor (1/10)

RTT (1,5/10)

La sainte victoire (5/10)

Oscar et la dame rose (3/10)

Yuki & Nina (6/10)

Le vilain (5/10)

L'homme de chevet (4/10)

Le jour ou dieu est parti en voyage (5,5/10)

Le syndrome du Titanic (6/10)

Je suis heureux que ma mère soit vivante (7/10)

Le père de mes enfants (5,5/10)

The limits of control (6/10)

Persécution (3,5/10)

La merditude des choses (6/10)

Les derniers jours du monde (6/10)