Alien vs Predator - Requiem (3,5/10) : Scénario, acteurs et réalisation rivalisent de médiocrité et seuls quelques effets spéciaux arrivent à éclairer par instant cette suite perdue dans la pénombre.

It's a free world(7,5/10) : Un bon cru de Ken Loach servi par une grosse prestation de Kierston Wareing même si la dimension émotionelle n'atteint pas celle d'un Ladybird.

Détention secrète (5/10) : Une tentative de dénonciation de la politique de guerre contre le terrorisme de l'administration américaine qui passe à côté du sujet puisque les américains y sont plus spectateurs qu'acteurs et donc épargné malgré Abou Ghraib. Le casting est pourtant assez convainquant.

Reviens-moi (Atonment) (6,5/10) : Un mélo parfois ampoulé mais avec de réelles prouesses techniques ( plan séquence sur la plage de Dunkerque) et des acteurs qui répondent présent aux ambitions du réalisateur.

30 jours de nuit (6/10) : Un survival qui se laisse voir même si on a vu mieux ailleurs ( notamment chez Carpenter ). Pas de vrais surprises dans le scénario mais une image soignée et quelques scènes assez éprouvantes pour les âmes sensibles.

Chambre 1408 (4/10) : Cusack n'est pas vraiment convaincant tant il passe rapidement de l'incrédulité totale à la peur irationnelle tuant dans l'oeuf toute montée du suspens chez le spectateur. S'enchainent des twists à tiroirs et des scènes d'effets numériques sans grande originalité que l'on suit dans l'indifférence.

Lust Caution (8/10) : Un drame historique somptueusement reconstitué, dominé par la prestation de la jeune Tang Wei qui insuffle à son personnage entre raison et passion beaucoup de charme et d'ambiguité.

Death Sentence (4,5/10) : Malgré la présence de Kevin Bacon et John Goodman, les prouesses d'un plan séquence dans un parking, des méchants à la gueule de l'emploi, on a du mal à pardonner à ce film sa vision sans recul d'une vengeance animal mal justifiée par une trame sentimentale d'une miévrerie sans nom.

4 minutes(6/10) : Un film plutôt inégal dans ses effets mélodramatiques mais la confrontation des actrices et le finale époustouflant rattrapent l'entreprise.

La guerre selon Charlie Wilson(6,5/10) : On retiendra les dialogues savoureux malgré une trame parfois un peu confuse dans sa profusion de détails.

Smiley Face (5/10) : Un trip amusant dans l'instant, lassant sur la longueur.

No Country for Old Men(9/10) : Chef d'oeuvre maitrisé offert avec une photographie exceptionnelle.

Le chantage (4/10) : Une série B au final attendu malgré les maigres efforts pour maintenir le suspens.

Into the wild (6/10) : Un voyage initiatique un peu vain.

Sweeney Todd(6,5/10) : Un Burton gothique aux images léchées qui manque singulierement de poésie.

Nos souvenirs brulés(6/10) : Si les acteurs sont très convainquants, un certain manque de rythme plombe un peu l'émotion.

Promets-moi (4/10) : On a vu Kusturika mieux inspiré que dans cette farce bordélique et vulgaire qui finie par exaspérer.

Elle s'appelle Sabine(7/10) : Un portrait émouvant au montage judicieux.

Les faussaires(6/10) : Abordant un sujet intéressant voir même polémique ( des juifs servant la machine de guerre nazi ) sans parti pris, un film qui finit par faire regréter le manque de moyen et la platitude de la mise en scène qui ne servent vraiment pas une interprétation pourtant remarquable.

Juno (6,5/10) : Ellen Page, déjà remarquable dans Hard Candy, confirme ici tout son jeune talent.

John Rambo (4/10) : Un exercice réussi dans sa surenchère de gore, raté dans son incapacité à exprimer la moindre idée de scénario.

Asterix aux jeux olympiques (3,5/10) : La montagne accouche d'une souris.

Enfin veuve(3/10) : Poussif et surjoué.

Brave story (5/10) Animation soignée mais scénario alambiqué qui aurait mérité plus de concision.

Benjamin Gates et le Livre des Secrets(5/10) : Un quasi copier/coller du premier épisode avec plein de grosses ficelles.

Le Merveilleux magasin de Mr Magorium(4,5/10) : Comédie nunuche à réserver aux moins de 10 ans.

Cloverfield(6,5/10) : Une expérience "Futuroscope" qui arrive à faire oublier quelques grosses ficelles de scénario.

Le Dragon des mers - la dernière légende (6/10): Un divertissement familial qui lorgne vers ET et Sauvez Willy avec sa grosse dose de bons sentiments. Une belle photographie de carte postale et un dragon numérique réussi font, malgré tout, pardonner le manque d'audace du scénario.

Redacted (7,5/10) : La forme est incontestablement novatrice, le fond reprend presque à l'identique la trame de "Outrages", une façon d'affirmer que rien n'a changé depuis le Vietnam.

Jumper (4/10) : Soulant.

There will be blood (8/10) : Un film dominé par la performance de Daniel D Lewis.

Sans plus attendre (4/10) : Festival de cabotinage pour un film bien pépère.

The mist (7,5/10) : Une série B réussie grâce notamment à son twist final. Une des meilleures adaptations de Stephen King.

Bienvenue chez les ch'tis(6/10) : Le comique de situation et la bonhomie des acteurs compensent un script limité.

Intraçable (3,5/10) : Polar technologique au manque total de crédibilité.

The dead girl (5,5/10) : Si l'interprétation est convainquante, le discours, lui, reste superficiel et empathique.

Sleuth (3/10) : Bavard et surjoué.

Cours toujours Dennis (4/10) : Quelques pointes de vitesse, mais un scénario vite à bout de souffle. Manque d'entrainement.

Mad detective (5/10) : mise en scène ludique mais scénario foutraque.

Be Kind Rewind (5,5/10) : Beaucoup d'inventivité mais une histoire qui se complait dans une certaine naïveté.

Rendez-vous à Brick Lane (6,5/10) : Un joli portrait de femme, à la photographie soignée, qui n'atteint pas la force d'une critique sociale à la Ken Loach mais aborde avec sensibilité et aussi quelques longueurs la vie d'une immigrée bengalie en Angleterre.

L'orphelinat (6/10) : Manque de surprise malgré un certain suspens.

A bord du Darjeeling Limited (6,10) : Si les décors et la musique captivent, les personnages ne sont pas très attachants.

Angles d'attaque (4,5/10) : Un divertissement efficace si l'on oublie les incohérences et le peu de place laissé aux acteurs malgré un casting haut de gamme.

August Rush (3,5/10) : Un mélo sirupeux au montage approximatif.

Black Sheep(5/10) : Dans l'esprit d'un "Bad taste", une comédie gore à l'humour potache un peu limité.

3:10 pour Yuma (7/10) : Un western classique et réussi.

Beaufort (6/10) : Un "platoon" israélien avec quelques moments forts mais qui aurait parfois gagné en concision.

Le nouveau protocole (4,5/10) : Cornillac sauve la mise de ce polar au scénario mal fagoté.

Mongol (6,5/10) : Si le film est dépaysant grâce à la beauté des décors et au soin apporté aux reconstitutions des batailles, il manque un certain sens épique à ce récit de la jeunesse de Genghis Kahn.

Doomsday (6/10) : Un "mad max" like assez convainquant

Penelope (6,5/10) : Un conte au goût de Tim Burton qui aurait mérité un peu plus de folie dans son épilogue.

Les U.S.A. contre John Lennon (5/10) : Si la théorie complotiste n'est pas très convaincante, et que le docu reste trés condescendant vis à vis du couple Lennon/Ono, la profusion d'image d'archives forment un témoignage interessant sur le mouvement anti-guerre du Vietnam et permet de revoir quelques extraits de concert de l'ex Beatles.

les chroniques de Spiderwick (5,5/10) : Si l'on peut saluer la capacité à proposer de nombreux effets spéciaux à travers les péripéties rythmées du scénario on regrettera que celui-ci ne sorte pas un peu plus des sentiers battus par Potter et consors.

Ploy (6/10) : Derrière un scénario minimaliste à la limite de l'ennui on peut saluer la performance dans la création d'une atmosphère onirique.

L'ile de Nim (5/10) : Gentillet.

27 robes (4,5/10) : Archétype du "film de gonzesse", ultra-prévisible dans son scénario, qui fait parfois illusion grâce à la petillance de son actrice principale.

REC (6,5/10) : Sans rien inventer, un film qui s'avère pourtant d'une efficacité implacable pour maintenir une certaine engoisse chez le spectateur

Chapter 27(3,5/10) : Une heure vingt d'errance dans la tête d'un gars à la personnalité bien fade. Gros ennui.

Funny Games U.S. (7/10) : Dérangeant et manipulateur servi par un troublant Michael Pitt

Joshua (7/10) : Une ambiance machiavélique assez bien maitrisée pour un film qui puise ses référence dans Rosemary's baby

L'amour de l'or (2/10) : Seul Donald Sutherland sort la tête de l'eau dans ce naufrage abyssal.

Jeu de dupes(Leatherheads) (5/10) : Le charme des acteurs et l'ambiance jazzy compense un scénario plutôt poussif.

Teeth(6,5/10) : Une satire plutôt réjouissante avec une vrai révélation (Jess Weixler) et quelques moments ou l'on ne se sent pas très à l'aise dans son slip (pour les garçons).

Iron Man (6/10) : Blockbuster plaisant par son casting mais au scénario bien trop balisé.

Journal d'une baby-sitter (5,5/10) : Scénario très convenu, reste Scarlett pour les fans ...

Cleaner (4,5/10) : Polar molasson à la chute prévisible.

Meurtres à Oxford (4/10) : Démonstrations alambiquées pour un thriller bien trop bavard.

Jackpot (4/10) : Comédie prévisible et sans grande finesse ou seule C. Diaz arrive à sauver les meubles.

Semi-Pro(1/10) Drôle comme une pub 118 218. (1 point pour la bo soul, seul truc sympatique de ce machin).

Disco(3,5/10) : Rarement drôle mais parfois émouvant dans son portrait d'une certaine "beauffitude"

Sans arme, ni haine, ni violence (6,5/10) : Approximatif et décousu mais malgré tout attachant.

Ca$h (5,5/10) : Un Ocean 11 franchouillard qui se suit sans ennui malgré un scénario parfois confus mais n'arrive pas à surpasser son modèle.

Grace is gone (6,5/10) : Un road movie émouvant qui n'est pas sans rappeler le Papa de Barthelemy avec un John Cusack des plus convainquant.

10000 (3/10): Un blockbuster mou du genou qui ne s'embarasse pas de crédibilité historique.

Le grand alibi (5/10) : Un cluedo bobo qui peine à s'éloigner du téléfilm de luxe malgré son casting haut de gamme.

Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal(6/10) : Un divertissement un peu fourre-tout, oscillant entre hommage parfois narcissique et franche bouffonnerie ; la magie, elle, est restée au vestiaire.

Rise : Blood Hunter (2/10) : Un sous Blade féminisé au scénario en mousse et aux moyens riquiquis. Reste la plastique de Lucy Liu pour s'autoriser à garder un oeil ouvert.

Frontière(s) (2,5/10) : Après a voir vu le film, on comprend le pluriel de son titre : frontière du mauvais goût, de l'interprétation ou tout simplement du ridicule ?

2ème sous-sol (P2) (5/10) : Un thriller assez efficace mais qui ne s'écarte jamais du sentier balisé du film de genre en offrant aucune surprise.

Super Héros Movie (1/10) : On touche le fond du fond de l'humour gras et du gag désespérant.

Las Vegas 21 (5/10) : Le scénario hésite entre thriller ludique et teenmovie gnan-gnan, heureusement les acteurs sauvent un peu la mise.

JCVD(5,5/10) : Une entreprise un peu laborieuse de réabilitation de JCVD : quelques éclairs d'aware et pas mal d'ennui aussi.

Les orphelins de Huang Shi (4,5/10) : Une épopée didactique un peu vaine, filmée à l'ancienne, que l'on suit sans émotions. Le casting asiatique est plaisant avec Michelle Yeoh et Chow Yun Fat, mais Rhys Meyers apparait bien transparent dans ce récit quelque peu laborieux.

Les ruines(5,5/10) : Un survival fataliste, une sorte d'"Open Water" dans la jungle, ou les moments d'horreur, distribués avec parcimonie, viennent plutôt de la paranoïa des protagonistes qui les mène à l'auto-mutilation que des éléments extérieurs à la limite du grotesque.

Speed Racer(6/10) : Visuellement séduisant ( décors "vintage", frénésie des scènes d'actions ), l'intrigue reste mince et justifie mal la longueur d'un film au montage parfois déconcertant.

Phénomènes (7/10) : En juxtaposant le grotesque des comportements ( renforcées par des interprétations en quasi roue libre), et la violence froide de suicides inexpliqués, Shyamalan remet avec malice l'humanité à sa place dans une nature guidée par la selection naturelle.

Sex and the city (4/10) : Entre fashion TV et sitcom nunuche, difficile d'être enthousiaste après vision de cette guimauve bling-bling ou l'on cherche désespérément l'humour mordant qui à fait la réputation de la série.

La personne aux deux personnes(5,5/10) : On ne peut nier que Auteuil fait une belle performance ( qu'on pourrait rapprocher de celle de Lucchini dans Jean-Philippe) mais à partir d'une idée de départ assez originale on se retrouve avec un scénario qui s'essouffle assez vite ( dans le genre "voix dans la tête" le Harold Crick de Forster était bien plus inventif ) et une critique sociale qui lorgne vers les films de Veber. Dommage car le clins d'oeils aux années 80 (tubes ringards à la début de soirée, décors tocs, ... ) sont plutôt bien vus.

Au bout de la nuit (4/10) : Prévisible, mieux traité ailleurs (The Shield) avec un Keanu Reeves qu'on ne sent jamais vraiment concerné.

Bons baisers de Bruges(6,5/10) : Un polar parfois un peu bavard mais les dialogues décalés et la photographie soignée rendent l'entreprise plutôt séduisante.

Diary of the dead (4/10)

Le monde de Narnia - chapitre 2(6/10)

Capitaine Alatriste (4,5/10) : Malgré une jolie photographie, une bonne prestation de Mortensen, quelques scénes de combats épiques au réalisme fort, le film ne trouve jamais son rythme pris à son piège esthétisant et à celui d'un scénario bien trop linéaire.

Bienvenue au cottage (4/10) : Rarement drôle dans sa partie comédie le scénario tente au final un rattrapage malheureux dans une surenchère de gore.

Hancock (4/10) : Scénario pas très attachant, traitement bien trop superficiel du héros, reste quelques gags pour sauver l'entreprise de l'ennui.

Spartatouille (2/10) : du lourd pas drôle.

Wanted (6/10) : Malgré l'abus de ralentis enervants à la Matrix, d'effets spéciaux épuisants et d'un scénario crétin, on ne peut lui reprocher une indéniable efficacité.

Broken English (5,5/10) : Une bluette inoffensive de la fille Cassavetes avec malgré tout un actrice principale assez attendrissante.

Glory to the filmmaker ! (3/10) : Kitano soigne son égo mais pas ses spectateurs.

Mad Money (5/10) : Comédie sympathique mais superficielle. Le trio féminin est attachant ( mention particulière à Katie Holmes ) mais le tout reste trop convenu pour rester dans les souvenirs.

La fabrique des sentiments : (6/10) Zylberstein est magnifique, mais l'histoire part vers un pseudo-drame dont je ne 'ai pas saisi l'intérêt.

La cité des hommes (5,5/10) : Une suite un peu fade du chef d'oeuvre de Mereilles ou la guerre des gangs est éclipsée par une reflexion sur la paternité dans un style téléfilm un peu trop policé.

L'incroyable Hulk (5/10) : Un blockbuster qui n'offre pas vraiment plus de surprise que l'intérieur d'une boite de maïs ( avec ou sans OGM). Cela dit, quelques satisfactions du côté du casting essentiellement dans le duo Roth/Norton et dans la B.O. de C. Armstrong.

Medieval Pie (4/10) : Drôle de titre pour cette comédie d'aventure qui hésite entre le film de cap et d'épée modernisé façon "Chevalier", la pochade érotique bien éloignée de Decameron vue par Pasolini, et le teen movie à l'eau de rose. Reste un Tim Roth convaincant en bon méchant de service.

Mr Woodcock(3,5/10) : Ce Mr "Bite-en-bois" ne fait illusion qu'un 1/3 du film, la cruauté jubilatoire du début se diluant rapidement dans un consensus mou propre aux comédies américaines formatées. Reste quelques sourires arrachés ci ou là et le talent de Thornton.

Prom Night - le bal de l'horreur (2,5/10) : le bide de l'horreur, plus prévisible ... tu meurs. Un slasher qui a cartonné aux U.S., c'est le seul mystère de ce remake inutile.

Wall E (8/10) : Le dernier Pixar ébloui plus qu'il n'émeut ; qu'à cela ne tienne, c'est une réussite technique et visuelle au discours poétique et mature qui s'impose immédiatement comme référence du cinéma de ce début de siècle.

Braquage à l'anglaise (6,5/10) : Si le début du film est un peu laborieux voir confus, l'ensemble se bonifie au fur et à mesure pour proposer un thriller ludique avec une galerie d'acteurs épatants.

La Momie : la tombe de l'Empereur Dragon (4/10) : Un erzatz d 'Indiana Jones, avec de l'humour souvent plat, des monstres en peluche façon chubaka, et un scénario capilotracté. Distrayant et dispensable.

Shrooms (1,5/10) : Non comestible.

X-Files - Regeneration (4/10) : Un retour pour rien.

Ca se soigne ? (3/10) : Une comédie déprimante.

Cortex (6,5/10) : Un thriller 3ème age mené avec brio par André Dussollier.

Rogue (6,5/10) : Un survival à la sauce National Géographics qui ne se contente pas de transformer ses personnages en vulgaires appats pour grosse bestiole numérique.

Day watch (2/10) : Un gloubi-boulga incompréhensible et particulièrement mal interprété.

The Dark Knight(7/10) : Un thriller politique sombre avec des interprétations remarquables mais parfois emprunt d'une certaine confusion ce qui empêche d'adhérer totalement sur la longueur.

Le voyage du ballon rouge (3,5/10) : Rarement vu aussi soporifique.

Le tueur (4/10) : Un premier film pas très convaincant malgré un beau casting ( excellente Mélanie Laurent ) : rythme lent, musique souvent à l'ouest et histoire tarabiscotée

Notre univers impitoyable (4/10) : Beaucoup de clichés pour cette comédie pas très attachante sur le monde du travail.

Live ! (4,5/10) : Un film qui utilise les mêmes grosses ficelles que ce qu'il est sensé dénoncer.

Rien que pour vos cheveux (2,5/10) : de l'humour bien gras à la Borat avec une vision bien creuse du contexte des relations israelo-palestienne.

Star wars : the clone wars (4,5/10) : Animation vieillote, scénario faiblard se limitant presque qu' à des scènes d'actions, on est pas loin de l'ennui.

Les liens du sang(6,5/10) : Un bel effort de reconstitution et un tandem Canet/Cluzet qui fonctionne malgré un scénario pas absent de clichés.

P.S. I love you (3,5/10) : Un festival de miévrerie ou l'émotion est absente malgré les efforts d'Hillary Swank.

Spirits(3/10) : Un sous "Ring" ni passionnant, ni effrayant avec comme seul atout la jolie Rachael Taylor

Les cerfs volants de Kaboul (6,5/10) : Quelques maladresses de mise en scène et pas mal de longueur mais un bel effort est fait pour présenter un panel historique de l'Afghanistan le tout majoriterement en langue originale.

La jeune fille et les loups (3,5/10) : Malgré le casting de luxe et les décors naturels le tout ne décolle pas vraiment du telefilm familial avec une interprétation trop théatrale.

Troupe d'élite(7,5/10) : Entre The Shield et La cité de Dieu, l'ambiguïté de sa non prise de position en fait aussi sa force tant il génère le malaise.

Taken (2,5/10) : Si l'enchainement d'action evite l'ennui, le scénario régressif au relent xénophobe est proprement nauséeux. Tiens c'est une production Luc Besson ?!

Filatures (5/10) : Faute de scénario captivant on se raccroche à l'efficacité de la réalisation et à la fraicheur du casting.

Les femmes de l'ombre (5/10) : Le scénario est plutôt efficace, parfois même assez violent pour un film populaire, mais la réalisation de téléfilm, les situations parfois invrésemblables et l'interprétation aléatoire en font plus un "black book" du pauvre qu'un hommage à la resistance du type armée des ombres.

Paris(6/10) : Un film mélancolique, pas déplaisant, mais désespérément superficiel.

Manipulation (4/10) : Si le duo Jackman/McGregor tient ses promesses le scénario est si prévisible qu'il enlève tout suspens.

Mama Mia (4,5/10) : Un grand karaoké avec des passages musicaux à l'énergie communicative grâce à l'efficacité de la machine à tube ABBA mais miné par un scénario d'une rare pauvreté.

Mirrors (6,5/10) : Rythmé par l'Asturias d'Albeniz, Aja réalise un thriller fantastique plutôt bien maitrisé même si Sutherland a du mal a s'extirper de son rôle de Jack Bauer.

La belle personne (4,5/10) : Décidemment du mal avec le cinéma désincarné d'Honoré, le maniérisme de Garrel, le tout servi par une prise de son execrable. Par contre, Léa Seydoux sonne souvent juste et offre ses meilleurs scènes à cette adaptation plutôt vaine.

Get smart (6/10) : Une comédie burlesque pas révolutionnaire mais qui fonctionne malgré tout grace au duo Steve Carell/Anne Hathaway

Modern love (4/10) : Rien de neuf dans cette comédie romantique trentenaire affublée d'intermèdes musicaux assez horripilants.

Jar City (5,5/10) : Polar nordique à l'atmosphère dépaysante et à la photographie remarquable. Dommage que l'intrigue tarabiscotée desserve l'analyse psychologique de personnages désabusés.

Survivre avec les loups (3,5/10) : Débarrassé de son aura "film autobiographique", il reste un conte improbable et ennuyeux ou seules s'en tirent l'interprétation courageuse de la jeune Mathilde et l'humanité goguenarde de Guy Bedos.

Love Gourou(1,5/10) : Un sommet de parodie nombriliste désespérément plongée dans l'humour le plus régressif. Seules les rares séquences musicales à la Bollywood arrive à faire esquisser un sourire qui ne soit pas navré.

Coup de foudre à Rhode Island (5,5/10) : Si la tête de Droopy de Carell et le charme pétillant de Binoche offrent quelques sourires le scénario fait, lui, le minimum syndical de la comédie sentimentale.

La vie devant ses yeux (4/10) : Le casting est plaisant mais les incessants allez-retour passé/présent sont lourds et confus.

Married life (6/10) : Une comédie noire au style naphta ( on regretterait presque le n&b ) et au traitement un peu mou avec un casting ( dont la délicieuse Rachel Mc Adams ) convainquant.

MR73(5,5/10) : Profondément glauque et manichéen le film conserve l'essentiel de son intérêt dans la prestation impeccable de Daniel Auteuil.

Le royaume interdit (3,5/10) : Des péripéties ennuyeuses et un héros bien fade : totalement dispensable.

Shine a light(7/10) : Les papys font de la résistance. Solide.

Il y a longtemps que je t'aime (7,5/10) : Même si l'histoire joue parfois à l'excès sur le tire-larmes, la prestation de Kristin Scott Thomas est écrasante de vérité.

J'ai toujours voulu être un gangster (4,5/10) : Vaguement prétentieux dans ses références ( moi aussi je sais faire du Tarantino, Jarmush, Lautner, ... ) l'humour vaseux fini par supplanter le beau casting et le charme du noir & blanc

Harcelés(6/10) : Si la mécanique du thriller n'offre aucune surprise, les personnages de Samuel L. Jackson et Patrick Wilson sont suffisamment étoffés pour engendrer une tension certaine.

Une histoire de famille (5/10) : Le charme d'Helen Hunt et la tête de Droopy de Colin Firth ménage un certain plaisir mais le tout est plombé par des personnages bien trop stéréotypés à la limite de l'énervant.

La loi et l'ordre(3,5/10) : Un casting qui cabotine dans une mise en scène de téléfilm au rabais.

Course à la mort(4,5/10) : On pourra lui accorder une certaine efficacité si l'on choisi de laisser son cerveau au vestiaire, sinon on se contentera de ses références réchauffées ( de Ben Hur à Mad Max ) et la présence de Ian Mc Shane.

Les randonneurs à St Tropez(3,5/10) : Un comédie bling-bling qui fait plouf plouf.

L'heure d'été (7/10) : Un regard plutôt émouvant sur le temps qui passe et la valeur des choses.

Tonnerre sous les tropiques(4/10) : Une parodie qui hésite entre humour vachard et gag lourdingue.

La Zona (7/10) : Un thriller sombre qui trouve sa force dans sa capacité à nous rappeler certains évènements contemporains.

Vicky Christina Barcelona(6/10) : Un roman-photo sensuel et assez superficiel qui flirte parfois avec l'ennui poli.

Mersrine - l'instinct de mort (8/10) : Porté par un Cassel habité par le rôle, un polar français qui trouve ses références chez Melville et De Palma sans jamais souffrir de la comparaison. Vivement la suite.

Un coeur simple (5,5/10) : Si l'interprétation du duo Fois-Bonnaire réussie quelques beaux moments d'émotions, la mise en scène reste souvent trop sage voir scolaire.

Hellboy 2 (6,5/10) : Une richesse visuelle incontestable et un foisonnement de petits détails comiques ou poétiques arrivent à faire oublier un scénario sans surprise.

The visitor (6/10) : Un film d'une grande pudeur malgré une mise en scène un peu lisse.

Deux jours à tuer (6/10) : Un beau casting qui préserve une certaine authenticité parmi quelques clichés un peu faciles sur la société et l'argent.

Le premier venu (3,5/10) : Quelques scènes intimistes surnagent dans un scénario des plus ennuyeux.

Sans Sarah rien ne va (4,5/10) : Une comédie longuette qui se réveille parfois en forçant un peu sur la vulgarité. Seule découverte, la très jolie et petillante Mila Kunis.

Tu peux garder un secret (2,5/10) : Vaudeville laborieux ou seul Arditi évite le surjeu.

Mon espion préféré (3/10) : Comédie lourdingue au scénario convenu ou le duo Ryan/Banderas cabotine à tour de bras.

Quantum of solace (6,5/10) : Un Bond à l'action épileptique et au scénario parfois confus sauvé par un Daniel Craig implacable.

Entre les murs (7,5/10) : Un numéro d'équilibre entre réalité et fiction totalement maitrisé.

Mensonges d'état (5/10) : Malgré une mise en scène plutôt efficace, le manque de parti pris rend l'ensemble terriblement apathique

Julia (6/10) : Une Tilda Swinton très convaincante perdue dans un scénario improbable

Saw V (3,5/10) : Un scénario construit sur les miettes des épisodes précédents, des séquences gores que l'on suit comme des épreuves de Fort Boyard et un final "viande hachée" qui présage de l'ultime "Saw 6".

Eden Lake (5,5/10) : Un survival parfois efficace avec une petite touche de critique sociale mais qui n'atteint pas la puissance destabilisante d'un Funny Games.

Max Payne (3,5/10) : Polar urbain mou du genou avec des incursions fantastiques incompréhensibles et un Mark Wahlberg des plus inexpressif.

Un jour, peut-être (Definitely Maybe)(6/10) : Comédie romantique loin d'être inoubliable mais qui offre quelques clins d'oeil sympathiques sur l'amérique de l'ère Clinton

L'échange (8/10) : Un mélodrame de facture classique mais doté d'une grande force émotionnelle.

Passe-passe (3/10) : Si le duo Baer-Baye marche au charme, le scénario se perd dans le n'importe quoi et fini par dissoudre complétement le film.

Lady Jane (6/10) : Un scénario très noir pour une incursion en demi-teinte de Guediguian dans le cinéma de genre.

Sans état d'âme (2,5/10) : Telefilm hautement prétentieux et tellement mal joué qu'on se croirait parfois dans un betisier.

La famille Savage (6,5/10) Un sujet pas très sexy et une mise en scène plutôt plate mais le couple Hoffman/Linney fait des merveilles dans cette chronique sur les rapports familliaux face à la vieillesse.

Délire express (3,5/10) : Si la touche Apatow est bien présente, le rythme est poussif et les gags se perdent souvent en bavardage ennuyeux.

Un conte de Noël (7/10) : Destabilisante, iritante, loufoque, cette histoire de famille filmée comme une guerre de religion s'avère convaincante sur la longueur.

Nés en 68 (4,5/10) : Une saga à l'interprétation inégale et aux clichés persistants, plus naïve que didactique.

Le prix de la loyauté (5/10) : Le casting sauve un scénario ultra balisé.

Step brothers (4,5/10) : Une comédie régressive épuisante sur la longueur.

Le témoin amoureux (3,5/10) : comédie romantique laborieuse qui ne tient que par le charme de ses acteurs.

Burn after reading(6/10) : Scénario sans grande ambition, on se raccroche à la brochette d'acteurs et à quelques répliques bien senties.

The Duchess (5,5/10) : Si la reconstitution historique tend à la perfection, la linéarité du récit n'évite pas l'ennui poli.

Tabarly (7/10) : Montage judicieux et musique attachante de Yann Tiersen pour un portrait sobre du navigateur.

Les citronniers (7/10) : Un fable fataliste sur la réalité palestinienne qui offre surtout de beaux portraits de femmes.

Les insoumis (2,5/10) : Si le casting est plutôt de haut vol, le scénario, lui, touche le fond et cotoit l'invrésembable à chaque séquence. Un bon nanard.

Two lovers (8/10) : Une mise en scène impeccable et des acteurs bouleversants.

Mesrine, l'ennemi public n°1 (6,5/10) : Moins puissant que le premier volet mais tout aussi maitrisé dans ses scènes d'actions.

La cité de l'ombre (5,5/10) : Faute d'un scénario passionnant, on reste un peu sur sa faim dans cette fiction qui propose pourtant un univers original entre Carot et Gillian

L'oeil du mal(5/10) : Thriller high-tech pas très crédible ou l'enchainement d'actions fini par épuiser. Reste un duo LaBeouf/Monaghan au charme malgré tout assez convainquant.

Rockn'rolla (4/10) : Polar bavard qui a oublié de raconter une histoire.

Une fiancée pas comme les autres (7/10) : Une curiosité décalée et mélancolique qui arrive à nous émouvoir avec simplicité et qui doit beaucoup à la prestation de Ryan Gosling déjà formidable dans le Notebook du fils Cassavetes.

Appaloosa (7/10) : Casting excellent.

Il divo (6,5/10) : Une biographie construite comme un opéra rock qui nécessite de connaitre un peu l'histoire contemporaine italienne sous risque de décrocher.

Tout sauf en famille (4/10) : comédie assez lourdingue qui finie dans le politiquement correct.

I feel good (7/10) : On a parfois l'impression d'être dans un sketch groslandais mais le tout respire suffisamment l'émotion et la joie de vivre pour en sortir enthousiaste.

Battle For Haditha (7,5/10) : Malgré des aspects parfois trop didactiques, un docu-fiction choc qui a le mérite d'aborder le point de vue des deux camps.